Rousseau Conception Progrès

d’idées pré-démocratiques, telles que le renouvellement de l’éthique, de l’esthétique et sur un savoir fondé sur la « raison éclairée » de l’homme. Les inspirateurs de ce mouvement se voyaient comme une élite courageuse d’intellectuels œuvrant pour un progrès du monde, dépassant des siècles d’irrationalité, de superstition et de tyrannie passée. L’ensemble de ce mouvement doit être rapproché des révolutions américaine et française, de la montée du capitalisme. Artistiquement, il correspond à la période

devenir et progrès. Ce qui ait difficulté, c'est le verbe devenir qui incite à la substitution par le verbe être et à s'inscrire dans une opposition trop schématique. Ainsi, il faudrait éviter de ne pas être soi-même et se soustraire à l'absorption par l'altérité. Il faudrait se désintoxiquer de la contamination d'une altérité uniformisante en vue de se recueillir et de là se cultiver sans cesse. On se retrouve au retrouve au carrefour de plusieurs attitudes. On pourrait, solliciter Rousseau qui considère

pour le combat des idées selon Voltaire. Les lumières selon Condorcet se forment sous trois idéaux : Tolérance, humanité et raison. Les Lumières se sont tout particulièrement développées en France ainsi qu’en Angleterre et en Allemagne, grâce aux progrès de l’époque. Elles consistent à « éclairer » les mentalités plutôt fermées du peuple ainsi qu’à se révolter contre l’absolutisme politique et l’intolérance religieuse. Ce sont les philosophes qui voulaient redonner cette envie de savoir, de diffuser

possessifs « mes », « mon »… La présence de verbe exprimant le sentiment, comme « j’aime » (V. 9), insiste sur la singularité de son auteur. Il exprime ainsi son enthousiasme pour une conception épicurienne du bonheur. b) Voltaire développe une conception épicurienne voire hédoniste (l’homme doit avant tout rechercher son plaisir) de l’existence en insistant sur les plaisirs liées aux sens . Ainsi il évoque la

une violation des libertés de l’homme. Etant privés de leur liberté, ils ne peuvent plus être considérés comme des hommes car selon ROUSSEAU dans Du contrat social affirme que : « renoncer a sa liberté, c’est renoncer a sa qualité d’homme, aux droits de l’humanité, aux droits de l’humanité, même a ses devoirs. » par là nous pouvons donc comprendre le refus de ROUSSEAU face à la civilisation car pour lui, elle dépouille l’homme de ce qu’il a de plus chère et discrédite sa qualité d’homme . Ainsi, Les

lesquels les indigènes étaient des sauvages, Masi il poursuit l’analyse en réfutant la supériorité de la culture sur l’état de nature. Montaigne remet en cause l’intégralité des valeurs européennes. La pensée de Montaigne sera riche en héritier : Rousseau, «  le mythe du bon sauvage » et Lévi-Strauss qui développera la pensée ethnologique en récusant définitivement l’ethnocentrisme européen. L’impact de la découverte de l’autre La découverte du nouveau monde réactive le questionnement des européens

Lumières (philosophie) Pour les articles homonymes, voir Lumière (homo- progrès du monde, combattant l’irrationnel, l’arbitraire, l’obscurantisme et la superstition des siècles passés, ont nymie). Le mouvement des Lumières est un mouvement culturel, procédé au renouvellement du savoir, de l’éthique et de l’esthétique de leur temps. L’influence de leurs écrits a été déterminante dans les grands événements de la fin du XVIIIe siècle que sont la Déclaration d'indépendance des États-Unis et la

Les régimes politiques. Section 1 : démocratie, dictature, République. I- la démocratie : Il y a deux conceptions de la démocratie : la démocratie littérale et la démocratie libérale. A- la conception littérale de la démocratie (Turpin aime pas cette conception) = la démocratie au sens littéral du terme. 1- la démocratie directe : La démocratie est une conception qui part de l'étymologie, formé de 2 racines grecs, démos (le peuple), cratos (le pouvoir). La démocratie c'est le

classique exprimait une conception des buts de sa doctrine, de l'action politique, de l'ordre politique, du statut de son savoir – bref, tout un ensemble de représentations qui furent remises en cause à l'aube de l'époque moderne. Aujourd'hui, la rivalité des courants doctrinaux, la concurrence des modèles d'organisation correspondants, peut masquer le fait que l'arrière-fond de notre culture politique contemporaine reste largement dominé par l'opposition fondatrice entre une conception classique et une

les passions humaines et les surmonter, attention accordée aux mouvements intérieurs, déchirement entre passion et raison. L’homme est une conscience plutôt qu’un corps conception universaliste de l’homme : description de l’Homme ou de grands types (avare...) plutôt que des individus particuliers → analyse à portée générale conception fixiste du beau : plaire avec le bon goût et les valeurs universelles : nature, raison, ordre et équilibre, clarté et discrétion de l’expression... Corneille : raison >