Rivière-du-Loup

d'autorisation pour la mise en ligne. [Le texte est disponible par exemple à cette adresse : http://site.ifrance.com/poemier/jacob/avenue.html] Texte B — Robert Desnos, Langage cuit Un jour qu’il faisait nuit Il s’envola au fond de la rivière. Les pierres en bois d’ébène les fils de fer en or et la croix sans branche. Tout rien. 5 Je la hais d’amour comme tout un chacun. La mort respirait de grandes bouffées de vide. Le compas traçait des carrés et des triangles à cinq côtés

Quartier épiscopal dans le castrum (petite agglomération fortifiée, maison seigneuriale avec la localité qui en dépend). Exemple de Beauvais : quartier cathédral étendu : env. 10 ha. (ensemble du castrum) + entourés de fossés alimentés par la rivière. Riches abbayes : souvent à l’origine des bourgs actifs. II – La ville, un centre de commandement La concentration des pouvoirs judicaires L’ecclésiastique peut rendre la justice : Beauvais Evêque détient toute la basse justice

___________________________________________ Patrimoine naturel et culturel En suede , les touristes ont la possibilité de faire et voir de nombreuses chose extraordinnaires .En effet, 53% de la surface de la Suède est occupé par des forêts, 11% de montagnes, 9% de lacs et rivieres et 8%de terres cultivées. Avec une surface totale de 731 589 ha répartie sur 29 parcs nationaux, la Suède est pratiquement un grand parc national. Le tout premier parc national de Suède et d’Europe, Sarek, a été établi en 1909. Même s’il y a de vastes

rien d’angoissant ou d’épeurant sans l’aide de certains procédés stylistiques et des images découlant des descriptions. Au commencement du récit, avant même que le vieux canotier commence à raconter son aventure, ce dernier décrit ce qu’est une rivière pour un pêcheur : « […] c’est la chose mystérieuse, profonde, inconnue […] où l’on voit, la nuit, des choses qui ne sont pas, où l’on entend des bruits que l’on ne connaît point, où l’on tremble sans savoir pourquoi, comme en traversant un cimetière :

ni loups ni renards », « les tourterelles » (v. 11 et 12), le « lion » (v. 15), « force moutons » (v. 27), « le renard » (v. 34), « »Du tigre, ni de l’ours, ni des autres puissances » (v. 45), « aux simples mâtins » (v. 47), « l’âne » (v. 49), « Un loup » (v. 56). > des animaux topiques des fables du fabuliste, > déjà une impression de pouvoir : par le nombre et par l’idée de deux « camps » : des carnivores et prédateurs / un herbivore, contraste pluriel/singulier. 2) des animaux typés et symboliques

raison de ces nombreux cours d’eau et sa proximité avec les Amérindiens pour faciliter le commerce des fourrures La Nouvelle-France est située au confluent de deux cours d’eau importants : le fleuve Saint-Laurent et la rivière Saint Charles. À cette époque, le fleuve et les rivières sont les seules voies de communication donc, les canots et les bateaux sont grandement utilisés. Pour ceux qui ont le «mal de mer », ce n’est pas très pratique! Il est toutefois possible d’utiliser les sentiers forestiers

guerre il y a, la mort devient banale, elle devient un fait divers. C’est un peu le sentiment qu’on a en lisant ce poème. Au début, un magnifique paysage nous est dévoilé, où tout est beau, tout est nature. « C’est un trou de verdure où chante une rivière, Accrochant follement aux herbes des haillons, D'argent ; où le soleil de la montagne fière, Luit : C'est un petit val qui mousse de rayons. »  «  Ou la lumière pleut » Mais en continuant la lecture, c’est la mort d’un jeune soldat innocent qui prend

vivants. Ils ne cessent de susciter la curiosité et l’intérêt du lecteur et d’engendrer de nouvelles écritures et réflexions. Le Petit Chaperon rouge à lui seul a inspiré plus d’une centaine de textes, où la fillette n’est pas forcément victime et le loup pas toujours prédateur. La transposition des textes d’autrefois aux évènements contemporains les enrichit en créant une nouvelle matière avec des regards différents sur des textes bien connus. La multiplicité des textes transposés et réécrits prouve

prises avec des pulsions meurtrières. II L’expression bestiale de ses pulsions. - Eveil d’un désir, celui de la chair. - Sauvagerie dans ses pulsions. Champ lexical de la sauvagerie - « bête enragée » : liaison avec le titre. Métaphore du loup qui connote le prédateur. Jacques subit une perte de contrôle de lui même et bascule dans un rôle effroyable de mangeur de femmes. Une seule explication : ses origines Macquart. III L’atavisme de la famille Macquart - Atavisme est rappelé

Territoire inuit Baie d’Hudson Fleuve St- Laurent Lac Huron Lac Érié Lac Ontario Collines Collines Plaines Plaines Fleuve, lacs ou rivières Collines : petite élévation de terrain arrondi Plaines : Grande étendue de terrain plat. 12 Document créé par Stéphanie Cordeau Les ressources du territoire L’eau Les forêts Sources d’eau : Lacs, rivières et fleuve Saint-Laurent Nord : Forêt mixte Feuillus, pin, sapin et épinette Utilités (Atout) : boire, pêcher, arroser les champs et