Rivage

de Lamartine (1790-1869) Méditations poétiques (1820)    « Le Lac » Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âges Jeter l’ancre un seul jour ? Ô lac ! l’année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu’elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m’asseoir

thérapeutique..................................................................................... 31 2. Evolution de la perception du littoral : l’émergence du désir de rivage..............................10 2.1. 2.2. Le rapport entre nature et art.............................................. 11 L’émergence du désir du rivage............................................ 13 3. Le territoire de la côte d’Opale et son évolution touristique...............................................20 3.3

au monde où, durant la période estivale, l’absence de précipitations et la chaleur sont à l’origine d’une sécheresse qui arrête le cycle de l’écoulement. C’est un climat d’alternance toujours irrégulier et imprévisible (On exclut de ce climat les rivages de la mer Noire et ceux des pays situés au sud du 32ème parallèle qui ont un climat désertique: Libye, Egypte, Palestine, Israël et Jordanie). La préoccupation des habitants à l’égard de l’eau est une constante que l’on retrouve partout. Pourtant

au dvp de l’imaginat° : « yeux fermés, automne ». Au bout du 3ème v « Je vois se dérouler des rivages heureux », le poète entre ds rêverie inspirée par « odeur de ton sein » (v. 2). femme aimée + parfum => origine de ce voyage. Voyage progressif : Structure -> 2 parties (2 phrases) : - 1ère = divagat° de Baudelaire puis descript° de l’île = paradis -> « paresseuse » (l 5) la vie y est oisive. Rivages heureux (v.3). Nature généreuse -> renforcé par l’enjambement v.5-6. Monde qui ignore les pêchés

vers 17 une apparition quasi-surnaturelle, fantastique, lorsque le poète écrit : « Tout à coup des accents inconnus à la terre/ Du rivage charmé frappèrent les échos » ; le narrateur y décrit ainsi Julie/ Elvire comme un être « supraterrestre » (cf. note a ), dont la voix est à celle de nul autre humain pareille et est capable de « charmer », d’ensorceler le rivage. Et enfin, il est possible de rappeler, comme nous l’avons déjà vu précédemment, que tout le poème est écrit dans le registre lyrique

l'allusion "les arbres profonds" et le tutoiement amoureux aux vers 4, 7 et 8. L'hymne à la nature: - il s'agit d'une scène printanière, riante et gaie. Le champ lexical de la nature est présent : "joncs", "arbre", "oiseau", "bois", "eau", "rivage". Toute autre trace d'humanité a disparu, faisant de ce couple un couple édénique. - la femme semble sortir de l'eau. C'est une sorte de sirène. Tout est naturel en elle : "pieds nus", "cheveux décoiffés", "sauvage". Cette rencontre est située hors

sonorités douces, les rimes riches, les enjambements (v.3 et v.4) et les alexandrins montrent et sont là pour la lenteur du poème. B- la description de l'île nous permet de nous imaginer un paradis, elle laisse place à l'immagination : v.3 « des rivages heureux » et v .5 « ile paresseuse ou la nature donne » -v.2 et v.3 : symétrie : l’odorat amène la vision intérieur et retrouve le paysage de la Réunion. -le paysage marin est immédiatement définit comme le paradis → « heureux ». Le bonheur est renforcé

discuté, de quatre facteurs sociaux qui ont une incidence sur le dopage à des fins de performance, et d’une conclusion formulant les répercussions sociales de ce défi. [1: HAUTEFEUILLE, Michel. Dopage et vie quotidienne, Paris, Éditions Payot & Rivages, 2009, avant-propos ] [2: Ibid., introduction ] Description du défi social La consommation de drogues de performance dans les sociétés modernes contemporaines est à l’étude depuis le XXe siècle. Plus précisément, les études ont débuté vers les

le personnage ici Lucien est sur le point de mourir, et métaphores  « incapable de résister à ce flot qui le submergeait » ( l 10-11 ) cela nous montre que le personnage est au bord de l'asphyxie qui ne peut plus luter,  « l'entraînant loin des rivages familiers […] de la tête au pieds » ( l 11-12). Il y a aussi le champ lexicale de la souffrance comme « infligée » ( l 8), « souffrance » ( l 10), « néant » (l 13), « C'est la fin » ( l 8 et 15), ceux-ci accentuent le côté tragique. Nous observons

beaucoup de force ds les jambes => faut planche longue stable qui a une accroche max pour aider celui-ci (grande vitesse) (?) (définir amplitude : distance verticale etc / Lorsque la vague atteint le rivage, son amplitude varie en fonction du relief sous-marin et de la configuration du rivage) DERIVES Sont indispensable fonctionnement planches, nbre variable, differentes combinaison... Single : 1 derives grande taille, positionnée