Rivage

dans son dème que chaque citoyen est inscrit sur un registre, et les dèmes sont gérés par des magistrats, les démarques. Clisthène répartit ensuite ces dèmes en trois espaces : ville, intérieur, rivage, puis il en fait dix tribus. Chaque tribu comprend des dèmes de la ville, de l'intérieur et du rivage, car cela doit permettre un brassage de la population et des opinions, et ainsi rendre plus difficile les mouvements de foule du type « ceux de la campagne contre ceux de la ville ». Cette précaution

l'Impossible 1988 : Danse, Danse, Danse 1992 : Au Sud de la Frontière, à l'Ouest du Soleil 1992 - 1995 : Chroniques de l'Oiseau à Ressort 1999 : Les Amants du Spoutnik 2002 : Kafka sur le Rivage 2004 : Le Passage de la Nuit 2009 : 1Q84 RECOMPENSES Sixième prix Franz Kafka, pour Kafka sur le Rivage Prix de docteur honoris causa de l'Université de Liège (2007) Prix de docteur honoris causa de l'Université de Princeton (2008) Prix Jérusalem pour la liberté de l'individu dans la société

ceux de la gent menue12, vieillards, enfants et femmes, pleurant et priant, escortent Tristan jusqu’au rivage. Ils espéraient encore, car l'espérance au cœur des hommes vit de chétive pâture13. Tristan monta seul dans une barque et cingla14 vers l'île Saint Samson. Mais le Morholt avait tendu à son mât une voile de riche pourpre, et le premier il aborda dans l'île. Il attachait sa barque au rivage, quand Tristan, touchant terre à son tour, repoussa du pied la sienne vers la mer. «  Vassal15, que

toujours plus de touristes. La fréquentation touristique a entraîné une disparition des dunes bordières. Les aménagements de front de mer (routes littorales, parkings, postes de secours...) ont des effets néfastes lorsqu'ils sont implantés trop près du rivage. Ce qui provoque à long terme une avancée de la mer. Le phénomène de « colonisation de la côte » va s’accroitre. Au cours des 30 dernières années, nous avons assisté à une urbanisation rapide (65% des côtes sont urbanisées) souvent au-delà de leurs

Alphonse de Lamartine (1790-1869) Méditation Poétique, « Le Lac » Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âges Jeter l’ancre un seul jour ? Ô lac ! l’année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu’elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m’asseoir sur cette pierre Où tu la vis s’asseoir ! Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes, Ainsi tu te brisais sur leurs flancs

poème se donne comme le déploiement d’un voyage, L’évocation des « rivages heureux » succède à celle du « sein chaleureux » Le paysage exotique se substitue à la figure féminine Rôle de la femme d’une libératrice de l’esprit et de la vision, prétexte au rêve Apparition de la femme seulement à travers son parfum, aucune apparition dans les visions suivantes : « guidée par ton odeur » Cheminement du poème selon le schéma : Odeur  rivage  île  arbres  fruits  hommes et femmes  port  voiles et mâts

malfaisant, environné d'une foule innombrable de mensonges ailés qui voltigent autour de lui, vint répandre une liqueur subtile et enchantée sur les yeux du pilote Acamas, qui considérait attentivement, à la clarté de la lune, le cours des étoiles, et le rivage d'Ithaque, dont il découvrait déjà assez près de lui les rochers escarpés. Dans ce même moment, les yeux du pilote ne lui montrèrent plus rien de véritable. Un faux ciel et une terre feinte se présentèrent à lui. Les étoiles parurent comme si elles

artistes New-Yorkais qu’elle part régulièrement représenter à Paris. Baignant depuis longtemps dans le monde des artistes et galeristes, un pied de chaque côté de l'Atlantique. En 2002 finit par fuir l’agitation parisienne et pose ses valises sur les rivages de la côte d’Émeraude en Bretagne. Quelques saisons et des enfants plus tard, elle laisse alors libre cours à l’expression de son art ; la peinture ! C’est sous les cieux des embruns de la Manche que Katell crée son monde à Saint-Lunaire à quelques

placée légèrement en biais, afin de suggérer le mouvement imprimé par les vagues et le vent, en direction du rivage en bas à droite. Vénus présente un imperceptible contrapposto, ou hanchement, destiné à suggérer qu’elle s’apprête à poser le pied droit à terre, tandis que son pied gauche s’appuie sur le bord de la coquille. Le vent qui ébouriffe les cheveux de Vénus et la pousse vers le rivage, c’est le souffle que nous voyons sortir de la bouche de Zéphyr Au centre se situe Vénus qui se tient sur

Malgré des creux, capables d’engloutir deux fois la hauteur du mât, je nageais de toutes mes forces pour essayer de rejoindre le rivage. Je senti en moi une force étrange. Celle qui prend le relais quand on est au bord de l’épuisement. Pour moi le moment de partir n’était pas encore arrivé. J’étais déterminé à livrer bataille. J’y étais presque, j’apercevais au loin le rivage. Je me mis sur le dos pour reprendre quelques forces avant d’affronter ce dernier obstacle. Après un effort titanesque, je pouvais