Noyade
Une fois mes esprits retrouvés, j’essayais de voir s’il y avait encore des survivants parmi mes compagnons. Mais à mon grand désespoir, aucun signe de vie autour de moi. Je pris conscience à quel point la mer pouvait se montrer cruelle.
Le découragement commença à me guetter. Avec cette mer menaçante, me maintenir à l’eau fut déjà un exploit.
Malgré des creux, capables d’engloutir deux fois la hauteur du mât, je nageais de toutes mes forces pour essayer de rejoindre le rivage. Je senti en moi une force étrange. Celle qui prend le relais quand on est au bord de l’épuisement. Pour moi le moment de partir n’était pas encore arrivé. J’étais déterminé à livrer bataille.
J’y étais presque, j’apercevais au loin le rivage. Je me mis sur le dos pour reprendre quelques forces avant d’affronter ce dernier obstacle. Après un effort titanesque, je pouvais enfin marcher sur le bord de la mer, soulagé d’avoir survécu à cette épreuve mais dépité d’être le seul rescapé.
Le souvenir de cette terrible expérience me hanta des années durant.
4 –
a) Robinson remplace la pioche par des leviers de fer
b) Il fabrique une pelle ou une bêche avec un arbre au bois dur qui ressemble à l’arbre de fer chez les brésiliens.
c)Il lui donna la forme d’une pelle ou d’une bêche. Elle avait un manche exactement fait comme ceux dont on se sert en Angleterre.
5- La pièce manquante pour la fabrication de la brouette est la roue. Robinsson n’avait aucune ntion de la fabrication d’une roue ni le talent pour le faire.
6- Pour mener à bien sa tâche, il lui manquait 3 outils indispensables : Pioche Pelle Brouette
Il songe à la manière de fabriquer ces outils
Il regarde autour de lui les matières qu’il peut utiliser pour fabriquer