Rivage

| | |« ardent foyer » (chaleur), « odeur du tabac », « opium », « sucre », « l’infini|« je respire » (odorat), « je vois » (vue), « je | | |de l’azur tropical », « rivages duvetés », « goudron », « musc », « huile de |m’enivre » (goût) | | |coco » |

Belgique, 1964 5. Girault, René, Diplomatie européenne. Nations et impérialisme. Histoire des relations internationales contemporaine, Tome I, Payot et rivage, Paris, 1997. P.411 6. Girault, René & Robert, Frank, Turbulente Europe et nouveaux mondes 1914-1941, histoire des relations internationales contemporaine, Tome II, Payot & Rivage, Paris, 2008 7. De la Gorce, Paul –Marie, La première guerre mondiale, volume I, Flmmaration, Paris, 1991 8. Milioukov, Paul. Histoire de Russie,

«champs ? »(v.4) « arbres profonds ? »(v.8) « au fond des bois ! »(v.12) « le rivage ! »(v.13) insistent sur l’harmonie entre les protagonistes et la nature. En effet, la nature joue un rôle important dans l’aventure sentimentale des deux amoureux, elle appelle a l’amour comme le montre la personnification  « l’eau caressait doucement le rivage » (v.13). De surcroit,  l’allitération en [v] et [f] dans la dernière strophe « rivage » (v.13) « vis venir » (v.14) « fille » « effarée et sauvage » (v.15) « cheveux »

pourquoi les bourgades médiévales de Bad- Buchau, Alleshausen, Tiefenbach, Moosburg, Oggelshausen et Seekirch, construites jadis au bord du lac sur des petites buttes dans les marais de rives, soient aujourd’hui distantes d’environ 1 kilomètre du rivage (fig. 2). Le lac comporte en outre une petite île au Nord, appelée l’île de Buchau, du nom du territoire de la bourgade sur laquelle elle se trouve (SCHLICHTERLE à paraître, pp. 268-269 ; ZIMMERMANN 1961, pp. 8-21). 1.2. Données historiques :

fermés » - – je vois – «  -œil » Le goût : « fruits savoureux » V6 L’ouïe : « le chant des mariniers » V14 Les sensations sont mises en valeur par des sonorités : des assonances et des allitérations. La sonorité « i » évoque la légèreté « respire » « rivages » « ile » « e » est une sonorité douce liée à la femme, à la sensualité, à l’érotisme « étonne », « voile », « a » évoque la langueur « vagues », « nature », climats ». Le son « s» invite à l’abandon : « paresseux », « singulier », « savoureux »

Conditions de vie : Littoral de Guyane Ces habitats changent, parfois alternent que ce soit dans l’espace ou dans le temps du fait de l’extrême mobilité des rivages. La côte guyanaise est en effet, marquée par l’un des plus importants phénomènes d’envasement et d’érosion au monde, provoqué par les importants rejets sédimentaires de l’Amazone et la dynamique des courants marins dans cette région. Bien que distant de 400km, au sud de la Guyane, le fleuve Amazon influe sur la dynamique de nos côtes

3-1 Les études nécessaires avant l’implantation d’un brise-lames 4 - Dimensionnement et structure des brise -lames 9 4-1 Hauteur des brise-lames : 4-2 La largeur du brise-lames (au niveau de la mer) 4-3 Longueur du brise-lames et sa distance du rivage : 4-4. la Largeur en crête du brise-lames 4- Les brise-lames immergent : 16 5- Structure des brise-lames : 17 7 - Mode de construction des brise-lames 19 8 L’impact du brise-lames sur l’environnement : 20 Conclusion Bibliographie 21 Les

réaliste. Thèmes principaux La femme aimée ; l’idéal. Citation caractéristique du passage Premier quatrain : « Quand, les deux yeux fermés, en un soir chaud d’automne, Je respire l’odeur de ton sein chaleureux, Je vois se dérouler des rivages heureux Qu’éblouissent les feux d’un soleil monotone : » Bref résumé de l’extrait Dans ce poème, le narrateur qui rêvasse est guidée par sa bien aimée vers une île utopique. Principal enjeu du texte Il s’agit pour Baudelaire de livrer

sentiments : Et la mer et l'amour ont l'amer pour partage, Et la mer est amère, et l'amour est amer, L'on s'abîme en l'amour aussi bien qu'en la mer, Car la mer et l'amour ne sont point sans orage. Celui qui craint les eaux, qu'il demeure au rivage, Celui qui craint les maux qu'on souffre pour aimer, Qu'il ne se laisse pas à l'amour enflammer, Et tous deux ils seront sans hasard de naufrage. La mer est plus souvent décrite dans les modèles classiques par les autres poètes. Le champ lexical

devenue une icône internationale de l'indépendance et de la liberté, le symbole le plus reconnaissable de la démocratie dans le monde. Le Nouveau Colosse Non pas comme ce géant de cuivre célébré par les Anciens, Dont le talon conquérant enjambait les rivages, Ici, devant nos portes battues par les flots Et illuminées par le couchant Se dressera une femme puissante, La flamme de sa torche Est faite de la capture d’un éclair Et son nom est Mère des Exilés. De son flambeau S’échappent des messages de bienvenue