Rivage

Sans y penser je me trouve hors de peine. Puis, quand je crois ma joie être certaine, Et être au haut de mon désiré heur, Il me remet en mon premier malheur. Le Lac de Alphonse de Lamartine : Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour? O lac! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde! je viens seul m'asseoir

chacune d’elles ? Transgression et régression Fluviale plage rivage étagère ouverte Transgression de la mer entraîne des modèles d'empilement de rétrogradation Transgression : rivage vers la terre et changement de faciès Régression de la mer se traduit par des schémas d'empilement progressifs Régression: rivage vers le large et changement de faciès Transgression Régression MANUEL PROF SVT 1AC 2ème SEMESTRE Année

BACCALAUREAT PROFESSIONNEL RESTAURATION Nom de l’élève : GAILLARDON Simon Approfondissement : OPC ( SC ( Nom de l’établissement : Beau rivage FICHE DESCRIPTIVE D’ACTIVITE PROFESSIONNELLE N°1 Session : 2010 |1 |IDENTIFICATION DE L’ENTREPRISE |PERIODE : | | | |

inerte": une forme qui n'est plus humaine qui est sans vie le champ lexical du naufrage et de la tempete: --déclin expression metaporique tres proche de la métaphore filée. "dérivait","les eaux de la peste","s'immergeait","naufrage","Rieux sur le rivage" --tempete "orage" , "eclairs", "tempete", "les vents haineux" : on a ici une personnification de la peste, du mal. la ponctuation permet aux phrases de se derouler sur differentes longueurs les sonorités -- idée d'agressivité:

« divan », « chambre » et le port : « un beau navire » et « roulis imperceptible du port ». Et dans le sixième paragraphe, l'univers tropical : « ardent foyer » (chaleur), « odeur du tabac », « opium », « sucre », « l’infini de l’azur tropical », « rivages duvetés », « goudron », « musc », « huile de coco » et les sensations : « je respire » (odorat), « je vois » (vue), « je m’enivre » (goût). Certains thèmes évoqués dans un paragraphe sont repris dans un autre, ce qui assure la fluidité et la continuité

Copeaux de bois, extraits de Bokusetsu-roku, œuvre en kanbun. 1905-1907 : Je suis un chat (Wagahai wa neko de aru), Gallimard, 1978. 1906 : Botchan ou Le jeune homme, Le Serpent à plumes, 1993. 1906 : Oreiller d'herbe (Kusamakura), Rivages, 1987. 1906 : Le 210e jour, Rivages, 1990. 1907 : Le mineur (Kōfu) 1909 : Petits contes de printemps (Eijitsu shōhin) 1909 : Sanshirô, Picquier 1990, Galliamard, 1995. 1909 : Et puis (Sorekara) 1910 : Dix rêves, Gallimard, 1989 (Anthologie de nouvelles japonaises

tropical « un beau navire », « roulis imper­ceptible du port », « pots de fleurs », « gargoulettes » | Paragraphe 6 | L’univers tropical « ardent foyer » (chaleur), « odeur du tabac », « opium », « sucre », « l’infini de l’azur tropical », « rivages duvetés », « goudron », « musc », « huile de coco » | Les sensations « je respire » (odorat), « je vois » (vue), « je m’enivre » (goût) | Ainsi, on observe que les paragraphes sont thématiquement liés les uns aux autres : un thème qui

répondent dans la nature. ex : couleur vous mène vers une odeur, etc. = Univers des sensations. XXII - Parfum exotique Quand, les deux yeux fermés, en un soir chaud d'automne, Je respire l'odeur de ton sein chaleureux, Je vois se dérouler des rivages heureux Qu'éblouissent les feux d'un soleil monotone; Une île paresseuse où la nature donne Des arbres singuliers et des fruits savoureux; Des hommes dont le corps est mince et vigoureux, Et des femmes dont l'œil par sa franchise étonne. Guidé

d’Ambre n’était qu’une vaste nappe d’écumes blanches, creusée de vagues noires et profondes. Ces écumes s’amassaient dans le fond des anses à plus de six pieds de hauteur, et le vent, qui en balayait la surface, les portait par-dessus l’escarpement du rivage à plus d’une demi-lieue dans les terres. A leurs flocons blancs et innombrables qui étaient chassés horizontalement jusqu’au pied des montagnes, on eût dit d’une neige qui sortait de la mer. L’horizon offrait tous les signes d’une longue tempête ;

maître, pour lui aussi accéder au paradis ou s’ il doit continuer à servir fidèlement.) et conclut par dire que tout ce qu’il a fait et entreprit n’aura servit à rien et que donc il est et restera inutile… (Les vers12/ 13 sont des antithèses : Semer le rivage infertile ne sert à rien, cribler l’eau est impossible et le vent est imbattable) Ses efforts sont sans résultats et il ne sert à rien… (Cela se rapporte à son désir de retourner en France et de revoir sa terre natale. Il veut quitter Rome au plus