Rimbaud Et La Modernité Poétique

l’Armistice, le 9 novembre 1918, des suites de la grippe espagnole. Œuvre V. A quel(s) courant(s) littéraire(s) Apollinaire est-il parfois associé ? Profondément inspiré dans sa jeunesse par la poésie « décadente » et les auteurs symbolistes (Rimbaud, Mallarmé, Moréas, etc.), il est un temps associé aux poètes « fantaisistes », dans la lignée de Max Jacob ou André Salmon, ses amis. Puis il défend le « futurisme » de l’Italien Marinetti avant de forger le terme de « surréalisme », courant né

appropriées de la Troisième République. La modernité littéraire s’affirme dans ce siècle de l’histoire mouvementée avec des courants importants qui affectent les arts, tels que le romantisme, réalisme, naturalisme et symbolisme. Les créateurs de la plus importante, cependant, au-delà d’une étiquette étroites et proposer des œuvres multiples et encore près de nous, en particulier dans le domaine de la poésie (avec Lamartine, Vigny, Musset, Hugo, Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé …) tant dans le domaine

de l'exceptionnel. La poésie du concret, du présent vivant et donc du changement s'oppose alors à celle de l'abstrait, du passé mort, de l'immobilité de l'idéal. Les poètes modernes doivent avoir la volonté d'atteindre la puissance d'une création poétique, à même le présent vivant du monde, à même la vie. Est-il vraiment possible de créer cette poésie qui ne prétend pas atteindre un arrière-monde, plein de beautés et de vérités cachées par les apparences, mais qui au contraire, les atteint dans

liée à la présence d'éléments résolument prosaïques. Ainsi, la scène se situe dans le « métro », et le récit mentionne les « affiches » publicitaires qui en couvrent les murs et les « wagons ». Toutes ces références inscrivent donc le poème dans la modernité. De façon provocante, le titre lui-même confère d'emblée une dimension triviale au texte, puisqu'il s'agit d'une citation exacte des consignes de sécurité généralement diffusées dans les transports en commun. De plus, le poème comporte des termes

conflictuelles dans le couple ou dans mes rapports sociaux « la caresse et la mitraille » , le temps qui passe et me rattrape « la marée monte », la tendance à essayer de comprendre pourquoi l'on vit sans y parvenir « chacun refait ses comptes » la modernité scientifique « génétique » ou technique « taxis pour les galaxies » qui nous fait oublier la poésie « Et mon tapis volant dis ? » Autant d'éléments qui éloignent de l'essentiel que le départ, « la route », peut permettre d'atteindre. Enfin, partir

Nom de l’auteur : Apollinaire (1880-1918) Date : 1913 Mouvement littéraire : Surréalisme Registres principaux : Pathétiques, lyrique Résumé de l’oeuvre: (5 à 10 lignes) Ce recueil, écrit en 15 ans, est un début de recherche de la modernité. L’auteur y fait une poésie expérimentale, il explore divers aspects de la poésie. Il est un des pionniers du mouvement surréaliste. Il allie parfois semi perfection et art du choc ce qui lui valut d’être qualifié de mystificateur. Alcools montre

Decaisne. Si le mot « poétique » a dans son acception quotidienne le sens d’harmonieux et de sentimental, c’est à l’importance de la poésie lyrique qu’il le doit. Celle-ci, orientée vers le « moi » du poète13, doit son nom à la lyre qui a appartenu à Orphée et Apollon et qui, dans l’Antiquité, accompagnait les chants qu’on ne distinguait pas alors de la poésie mais ne doit pas se limiter à la petite musique personnelle du poète chantant un des thèmes traditionnels et à priori poétiques comme l’amour, la

dans la 3ème strophe et le dernier vers.  La troisième strophe est en fait un récapitulatif du poème et de la poésie d'Appolinaire en général ; c'est un monde mystique où se mélangent les oxymores poétiques (" Le Rhin le rhin est ivre... ", la répétition renforce cette idée), les " lieux-communs poétiques " (" l'or des nuits "), les figures légendaires (" les fées ") et les éléments bien réels (" Le Rhin... où les vignes se mirent ", le Rhin est une région viticole).  Mais ce poème libérateur, amenant

plusieurs écrivains majeurs : « Whitman et Melville » L6 et « Racine et Mallarmé » L7.De plus, on remarque que le poète Rimbaud est cité longuement ce qui resserre encore ce thème de génie créatif au domaine de la littérature et plus particulièrement a la poésie. En effet, la poésie a été considéré jusqu’au XX siècle comme la noblesse de la création littéraire. Depuis Homer jusque à Rimbaud en passant par Virgile, Ronsard, Du Bellay… Les poètes sont au sommet de la création littéraire. La société considère

La Pleiade : XVIe siècle : La Pleiade est un courant poétique formé par un groupe de sept poètes de la Renaissance entre 1549 et 1560. Ils sont rassemblé autour de Joachim du Bellay (1522-1560) et Pierre Ronsard (1524-1585). D'abord nommé « la Brigade », ce courant a emprunté son nom à une constellation de sept étoiles. Le genre de ce mouvement est la poésie. Ils soutiennent en même temps l'imitation des auteurs gréco-latins et la valeur culturelle de la langue française. Ils déterminent l'alexandrin