Rig-Véda

1925) Marcel Thiry : Années-lumière, 1938 (dans Poésies) Philippe Soupault : Année Lumière (dans Crépuscules, Gallimard) Charles Dobzynski :La dernière galaxie (extrait de L'Opéra de l'Espace, Gallimard, 1963) La Naissance des Mondes Rig Véda, X, 190 Hésiode : Théogonie (extrait, Les Belles Lettres) Ovide : Métamorphoses (extrait, Les Belles Lettres) Guillaume Salluste Du Bartas : (extrait, La Sepmaine, Premier Jour, 1581) Théodore Agrippa d'Aubigné : La Création (extrait du chant

moteur de l’univers, c’est-à-dire encore une fois Dieu, mais cette fois-ci avec une dimension supplémentaire qui est la hauteur, ou verticalité. III – QU'EST CE QUE L'UNIVERS             - le big bang Une formidable explosion… de vide ! Dans le Rig-Véda, il est écrit : En ce temps-là Rien n'existait. Le Rien n'existait pas non plus. Ni l'espace ni le firmament au-delà. Il n'y avait pas de mort en ce temps-là, ni de non mort. Il n'y avait pas le jour et pas la nuit. L'Un respirait sans souffle, mû

hommes. Les Çruti se composent de quatre Védas:  Le Rig-Veda: « Sagesse des Versets ». Ce texte est le plus ancien et le plus important de tous. Il provient du nord-ouest de l'Inde et comprend mille vingt-huit hymnes.  Le Yajur-Veda: « Sagesse des Sacrifices ». C'est le livre des formules sacrificielles.  Le Sama-Veda: « Sagesse du Chant ». C'est le recueil de liturgies et de chants religieux, ils sont écrits en forme poétique.  L'Atharva-Veda: « Sagesse des Prêtres Arthavan ». Il s'agit d'un livre

majoritaire en Inde et au Népal, en dehors de ces pays, il n’est guère pratiqué que par des populations expatriées d’origine indienne, et à l’exception de l’Ile de Bali ou il constitue une survivance du passé Hindouiste de l’Indonésie. E . livre sacré - Veda : livres sacrés de l’Inde au nombre de quatre, attribués à la révélation de BRAMA. Ce sont des recueils de prières , d’hymnes, de formules se rapportant au sacrifices et a l’entretien du feu sacré. F. Nombre d’adeptes - 750 millions dont 675

Nés du soleil et de la déesse des nuages Saranyu, les Ashvins épousèrent tous deux des filles de la lumière. Chaque matin, ils traçaient un chemin dans les nuages pour la déesse de l'aurore Ushas et répandaient la rosée avec leurs fouets. Dans le Rig-Veda, recueil d'hymnes sacrés de l'hindouisme, les Ashvins interviennent auprès des dieux en faveur des hommes. Ils empêchent les Risi, ou prophètes, de se noyer dans l'océan de l'ignorance. Médecins des dieux, ce sont les amis des malheureux. Ils guérissent

Battambang qui dit que le buffle mangera l’herbe mais qu’à son tour l’herbe mangera le buffle lorsque l’heure sonnera 81 … Est-ce dès lors tout à fait un hasard si, au terme du roman, la femme-buffle prend une dimension mythologique ? Dans le Rig Veda, le buffle, c’est la monture de Yama, le dieu de la mort, gardien infernal associé, comme il se doit, à toute une série de figures solaires. Fils de Surya, l’astre du jour, il a pour frère Shani, lequel correspond à la planète que les Romains

de la vie, de l’énergie cosmique et biologique (fait circulter sève et sang, ouvre les nuages…). Tout ce qu’il fait déborde de force et de jactance. Chef des Maruts, divinités mineures « nés du rire de l’éclair » qui possèdent eux aussi la foudre (Rig Veda, I, 23, 12) et sont invoqués à de multiples reprises pour qu’elles ne jettent pas leurs projectiles sur les hommes et le bétail. Les fécondateurs et le symbole du taureau. Spécialisation génésico-taurine (fécondité) de la divinité de l’atmosphère

va imposer une certaine forme d'hégémonie intellectuelle. En d'autres termes, l'«indomanie» va laisser la place à «l'Inde des savants»31. 30 31 A. Durand, 1859-1860; A.-L. Loiseleur-Deslongchamps, Lois de Manou, Paris, 1830; A. Langlois, Rig-Veda, 2e éd., 2 vol., Paris, Maisonneuve et Cie, 1872; E. Burnouf, La Bhagavad-Gita, Paris, 1867; E. Burnouf, Bhâgavata-Purâna, 5 vol., Paris, 1840-1885; L'abbé Migne, Les Livres sacrés de toutes les religions, sauf la bible, traduits par M.M. Pauthier

temps, nous montre que dans le passé, dans les traditions les plus anciennes, l’homme ne vivait pas le rapport à la parole sur un mode seulement utilitaire. Aux sources de la poésie grecque, aux sources de la tradition indienne, jusque dans l’antique Rig-Veda,« les mots possédaient non seulement une vie propre, une vie intense et bien réelle, mais celui qui les prononçait en était plus conscient que nous ne saurions l’être nous-mêmes, avec nos intellects mécanisés et sophistiqués. Cela provenait de la

comme le plus vieux et le plus important texte de la tradition Hindoue du Dharma. Il est sous forme de discours prononcés par le sage Manu2 à un groupe de voyants (« rishis »). Ce texte édicte les lois régissant les rapports entre les hommes. • Le Rig-Veda est l’un des écrits indous les plus saints. Il s’agit d’une collection d'hymnes (sūkta) sacrés de l'Inde antique composés en sanskrit védique. 1.1.1 Origine religieuse des castes en Inde Alors que les colonisateurs étaient perdus dans la complexité