Rig-Véda

Les castes en Inde : En inde, existe un système de caste. A l'origine, le mot caste vient du portugais castiços, qui signifie habit venant de l'Inde. Les castes sont définies dans un livre, le Rig-Veda ( livre saint en Inde ). Un texte tiré de ce livre dit : « Qu'est-il advenu de son visage ? Qu'est-il advenu de ses deux bras ? Qu'est-il advenu de ses deux cuisses ? Comment les deux pieds se sont-ils appelés ? De son visage sont venus les brahmanes. De ses deux bras est venu les kshatriya. De

et -1500). En -16ème au -7ème siècle, il y a les Aryens qui arrivent et qui amènent le système des castes et ils parlent le sanskrit (langue savante dans les textes) qui est écrit en védique (langue dans laquelle est écrit le Veda, livre sacrée des Hindous). La Rig-Veda, est un texte sacré avec plusieurs chants, c’est le plus ancien livre de l’Inde. Toutes ces populations se mélangent ensemble et forment le védisme = hindouisme. C’est en perpétuelle évolution. Temps cyclique Le temps chez

mort, soit la libération de la nécessité de se réincarner par la délivrance finale. Chaque mois 1 millions et demi d’hindous se rendent à Bénarès, 10 000 étrangers, et de nombreux morts et cendres. Bénarès est une réelle industrie. a) Le véda Véda signifie en Hindi « ce qui a été vu ». Il s’agit d’un texte religieux « révélé » par les Dieux qui au départ seraient transmis de maître en maître juste par les mots et non transcris puis ils ont été écrit seulement entre 1800 et 1500 av. J.-C.

vint naturellement à l'esprit de l'homme car celui-ci est d'une nature contraire car mortel et condamné à vieillir. La première mention écrite de l'immortalité remonte probablement au bouddhisme, entre le V et le I millénaire avant J.C, dans le Rig Veda, l'un des textes fondamentaux de cette religion. L'immortalité occupe aussi une place importante dans beaucoup de religions comme le christianisme où l'âme est dite immortelle. Les Egyptiens, par exemple, avaient pour leur part Osiris, le dieux pesait

système de castes. Le peuple aryen imposa dès lors son panthéon de dieux à prédominance masculine, une éthique guerrière et un culte sacrificiel. Le nom de religion védique est donné à l’ensemble des croyances et pratiques religieuses décrites sans le Veda, un corpus d’écrits sacrés rédigés en sanskrit archaique autour de -1800 a -800. Ces textes sont nos seules sources pour connaitre la religion védique. 2. Les textes sacrées et le sanskrit Sanskrit signifiant "parfait", est une langue indo-aryenne

la ville, étaient les prêtresses de la déesse Vesta dont le nom grec « Hestia » désignait pour les pythagoriciens le grand feu du centre de l’univers. • Enfin, l’Orient lointain de la tradition védique indienne a fait du feu le dieu Agni du Rig-Véda. Agni désigne à la fois l’aspect matériel de la flamme et le principe de toute vie. Envisagé dans les animaux, il se transmet de l'un à l'autre et devient le principe masculin contenu dans la semence. Symbole janusien à La Saint-Jean d’été : Cette

de la pauvreté Origines - les castes viennent de la société indienne primitive avec les 4 varna (ou couleurs) : dans la tradition hindouiste : castes basées sur qualités et compétences, pas sur la naissance pas comme aujourd'hui, dans le Rig-Veda, écrit saint hindou : ils parlent d'un esprit cosmique : Qu'est-il devenu de ses deux cuisses, de ses deux pieds, de sa bouche : bouche : brahmanes (prêtres), bras : kshatriya (combattants), cuisses vaishya (marchands), pieds shudra (travailleurs

philosophiques du sous-continent, mises à part les religions d'origine indienne distinctes comme le sikhisme, le boudhisme, ou le jaïnisme. Ainsi, selon ce point de vue, un hindou est celui qui respecte la philosophie exposée dans les Vedas (le mot Veda peut être traduit par savoir), et accepte son autorité. Le terme Hindou a été introduit dans le monde occidental par le biais de la langue anglaise. En France, jusqu'au XIXe siècle, on utilisait le terme de brachmanisme, ou de « religion des brachmanes1»

retour à la vie est une renaissance qui est régénération. Certaines parties du mort se reconstituent de façon naturelle, mais aléatoire, partielle quant aux éléments (chairs, liquides, os…), totale quant aux êtres (humains, plantes, etc.). Selon le Rig-Veda récent, les éléments de l’individu à sa mort passent dans le Soleil, le vent, les eaux, les plantes, et se redistribuent, puisque la plante va se nourrir d’eau, l’animal mangera la plante, et l’animal à son tour sera mangé par l’homme. L’orphisme

Yajur-Veda blanc, apparaît la notion de renaissance, de réincarnation ; dans sa Brihadâranyaka-Upanishad 18, la notion de rétribution des mérites et des fautes apparaît, karman signifie maintenant "acte moral et résultat de l'acte" (et non plus "acte rituel"), l'homme se dissout à la mort, mais son karman est cause d'une naissance nouvelle qui héritera de ses actes bons ou mauvais de l'existence antérieure. Dans un ouvrage attribué au même Yâjñavalkya, le Shatapatha-Brâhmana, du Yajur-Veda blanc