Rien Que Cette Lumière Philippe Soupault

automatique laissant aux mains toute liberté pour tracer les lignes qu'elles voulaient, l'équivalent en somme de l'écriture automatique à laquelle se sont adonnés les écrivains surréalistes à partir des premières expériences d'André Breton et de Philippe Soupault. Les peintres, de même, ont exploré cette voie. Calligraphie de Michel Til publiée dans Flournoy, p.105 et reprise dans Minotaure, p.56 Dans un article intitulé « Le message automatique », paru dans le numéro 3-4 de MInotaure en décembre 1933

de Nerval, « Fantaisie », Odelettes 24 Victor Hugo, « Fonction du poète », Les Rayons et les Ombres 25 Théophile Gautier, « La Rose-thé », Émaux et Camées 26 Guillaume Apollinaire, « Il y a », Poèmes à Lou 27 Jean Cocteau, « Rien ne m’effraye plus que la fausse accalmie », Plain chant 28 Robert Desnos, « Un jour qu’il faisait nuit », Coups et biens 29 Paul Éluard, « Le miroir d’un moment », Capitale de la douleur 30 Charles Baudelaire, « La Beauté », Les

de répugner à donner des leçons de morale, point de vue général au XIXe siècle. Théorie de l’art pour l’art, l’œuvre d’art doit se suffire à elle-même, elle doit rester indépendante des causes politiques, sociales ou morales. La poésie doit servir à rien si ce n’est à créer la beauté.  Théophile Gauthier Préface de Mademoiselle de Maupin1835. La doctrine de l’art pour l’art est devenue une religion de l’art, une doctrine pour ceux qui désespéraient d’incarner des valeurs

mouvements culturels (livre de l’élève, chap. 2 et 3, pp. 24-37). *2. Situer auteurs et œuvres dans différents mouvements L’humanisme  : Montaigne, Essais – Le classicisme : Molière, Tartuffe ; Racine, Andromaque ; La Bruyère, Les Caractères – Les Lumières : Rousseau, Le Contrat social ; Beaumarchais, Le Mariage de Figaro – Le romantisme : Musset, Lorenzaccio – Le réalisme  : Flaubert, Madame Bovary – Le naturalisme  : Zola, Germinal – Le surréalisme  : Aragon, Le Paysan de Paris – Le Théâtre de l’absurde :

; le Purgatoire ; les Enfers) et la chute dans la fragmentation (ou la bien fameuse « fêlure », avec une version dynamique : « l’oscillation » irrésolue entre des extrêmes irréconciliables, comme celle entre l’ange et le démon : soit, cette fois-ci rien qu’en clé amoureuse, entre la mulâtresse Jeanne et la blonde Apollonie). La nostalgie du paradis perdu (troisième terme clé de notre modèle analytique) est aussi une constante aiguë de la situation « démoniaque » de l’homme dans le monde. Elle s’exprime

Sicile et mort vers 374. On lui attribue des théories physiques mais c'’est comme technicien de la parole, orateur, improvisateur et styliste qu’il devient célèbre. Il a écrit un traité Du nonêtre, ou De la nature où il démontrait successivement “que rien n’est; que, même si quelque chose était, l’homme ne pourrait pas le connaître; et que, même si l’homme pouvait le connaître, le langage ne pourrait pas l’exprimer.”17 Né entre 470 et 460, mort après 399, théoricien de la pédagogie, Prodicos est

Ce qui intéresse l’écrivain classique c’est l’analyse psychologique ; il veut montrer pourquoi et comment l’homme se comporte de telle ou telle façon dans la vie. -----Souci de la beauté. Pour l’écrivain classique, beauté est synonyme de vérité ; ‘‘Rien n’est beau que le vrai’’ écrit Boileau. Mais le souci de la vérité conduit l’écrivain classique à rechercher la beauté de la forme, c’est-à-dire l’harmonie, l’équilibre et la pureté du style. -----Présence de l’idée de Dieu. La littérature classique

est le lien tissé plus ou moins explicitement entre émergence et décolonisation. Or, on a là un problème essentiel car nous avons besoin d’une théorie applicable aussi bien à la Belgique, à la Roumanie, etc. qu’au Burkina-Faso. Sinon nous n’avons rien et surtout pas de concepts pour penser les littératures francophones. Si l’on s’en tient à la partition entre espaces dominés et espaces dominants, l’émergence de littératures peut apparaître comme une des formes de la modernisation forcée des

|Enfin, même si on veut l'oublier, Zola faisait faire, du moins en partie, ses fameuses documentations par des tiers et aurait utilisé des | | |nègres pour produire son oeuvre. Il ne connaissait, de première main, à peu près rien de ce au sujet de quoi il écrivait. L'orientation des | | |Rougon-Macquart avait été décidée dès le départ et les recherches faites ne servaient qu'à illustrer la pensée de Zola, ce qui renforce, il me| | |semble,

téléphoniques, congélateurs), mais aussi bureaux des temps, plans directeurs temporels, plans de déplacements d’entreprise, dispositifs de régulation du trafic en temps réel, etc. Les discussions entre les experts et le groupe ont donc clairement mis en lumière trois traits saillants de nos sociétés contemporaines : l’individualisation des modes de vie et la privatisation du lien social, la banalisation des distances, l’articulation concurrentielle des temporalités. Elles ont aussi souligné l’imbrication