Revenus Des Ménages Pendant Les Trentes Glorieuses

de mettre en place des " discriminations positives ". Les principales inégalités et comment les mesure-t-on ? En dépit de l’idéal égalitaire les inégalités économiques et sociales demeurent et sont diverses. Elles sont quantitatives (montant du revenu, patrimoine, niveaux de consommation différents selon les groupes sociaux…) et qualitatives (inégalités hommes/femmes, espérance de vie différente selon la PCS, chances différentes de réussite scolaire selon le milieu social, modes de consommation

pas ce nouvel argent, ou ne réussissent à y mettre la main que plus tardivement. Par la suite, les revenus réels baissent non pas parce qu'il y a augmentation générale des prix, mais parce qu'il y a augmentation de l'offre de la monnaie. En d'autres mots, l'inflation, la vraie, diminue le stock des biens disponibles et mine ainsi la production de la richesse réelle, c'est-à-dire diminue les revenus réels. L'augmentation générale des prix ne fait qu'indiquer l'érosion du pouvoir d'achat de la monnaie

nature profonde de l’homme. Pour Baudelot au contraire ces conditions renforcent le côté obscur de l’homme. Des lois cachées dès l’origine du monde : - revenu moyen des habitants de la planète est resté stagnant depuis la création du monde, et s’élève à 1$ / jour. - prblm dû à la croissance démographique ⎝ frein à la baisse de ce revenu moyen en dépit des efforts technologiques - écart de richesse entre Europe et le Japon qui s’explique par la différence de la place de l’hygiène : européens

quasi plein emploi. C’est le passage d’une situation de pénurie et de restrictions à un monde doté du nécessaire et même du superflu. Galbraith parle ainsi de « L’ère de l’opulence ». Le pouvoir d’achat des individus est en essor spectaculaire, les ménages consomment de plus en plus et s’équipent de nouveaux produits. L’avancée des technologies, la démocratisation de la mode et de la publicité amène sans arrêt de nouveaux produits sur les marchés en faisant naître de nouveaux besoins. Le terme de consommation

valeur du travail incorporé. La loi de SAY (ou des débouchés) : « l’offre créé sa propre demander ». Il démontre que tout bien produit sur le marché génère des revenus qui permettent au titulaire de les utiliser pour acquérir des biens de même valeur que ses revenus. Ces biens étant produits par d’autres individus qui génèrent des revenus. Les produits s’échangeant contre des produits, toute quantité offerte créé une demande. L’état dans cette conceptualisation n’a pas à intervenir. La monnaie

modèle traditionnel qui assurait une certaine stabilité relationnel et sociale à ses members. Sont apparu le modèle de la femme au foyer, du couple homosexuelle, de la famille nombreuse puis le modèle contraire, avec en 2010 avec seulement 26,8 des ménages francais compose d’un couple avec enfant. Le modèle familiale s’est peu à peu fissure avec la montée de l’individualisme qui a enclenché une recherche d’épanouissement personnel primant sur l’épanouissement de la famille. En plus de cela, la famille

prémices de la mondialisation. C'est à cette époque de transition que se développe également la bourgeoisie. II - Des économies précaires A - La terre au cœur de l'économie La population française est à ~80% agricole. La majeure partie des revenus venait de l'exploitation de la terre, qui est l'objet majeur des investissements. Pour autant l'industrie n'était pas inexistante mais gravitait autour du monde agricole (utilisation des matières premières issues de l'agriculture), et produisait

population changent, l’enrichissement général permet à la majorité, aux États-Unis d’abord, puis dans les autres pays occidentaux, de ne plus se limiter à la satisfaction des besoins primaires (se nourrir, se loger, se vêtir) mais de disposer d’un revenu croissant pour des dépenses moins immédiatement indispensables. Le monde entre alors dans l’ère de la consommation de masse (ou société de consommation). Problématique Quelles sont les grandes étapes de la croissance économique mondiale de 1850 à

monétaires ont maintes fois montré leur efficacité que ce soit pour tempérer les périodes de surchauffe (pendant les Trente Glorieuses) ou pour amortir les périodes de récession (comme actuellement.) Mais les deux ont également montré leurs limites. La lutte obsessionnelle contre l’inflation a par exemple favorisé la hausse des taux d’intérêts laquelle on le sait contracte la consommation des ménages. Il faut donc s’interroger sur l’ambivalence de ces deux stabilisateurs annonce du plan En

POLITIQUES DE PROTECTION SOCIALE EN FRANCE DEPUIS LES ANNEES 1990 INTRODUCTION Tout salarié tire son revenu de la vente de son travail. Mais que faire lorsque la vieillesse, la maladie ou le chômage l’empêche de vendre sa force de travail ? C’est là qu’intervient la protection Sociale qui se définit comme l’ensemble des mécanismes de prévoyance collective qui permettent aux individus ou aux ménages français de faire face financièrement aux conséquences des risques sociaux, c'est-à-dire aux situations