Revenus Des Ménages Pendant Les Trentes Glorieuses

possible, grâce à l’internalisation des externalités et en particulier au rôle positif du progrès technique, de concilier à la fois croissance et développement durable au niveau mondial. L’ensemble des pays de la planète pourrait ainsi connaître pendant une période longue une augmentation du PIB qui assurerait la satisfaction des besoins actuels de la population tout en limitant les répercussions de la croissance actuelle sur l’environnement, ce qui permettrait de répondre aux besoins des générations

2006 l’ensemble des consommations annuelles des ménages était de 2.5% de plus que l’année précédente. Investissement : acheter ou remplacer quelque chose. Prime à la casse mise en place par l’Etat. Quand on veut envoyer sa voiture à la casse, l’Etat aide le propriétaire à acheter une nouvelle voiture. Ceci dans le but de relancer l’économie, d’inciter les gens à acheter. PIB (Produit Intérieur Brut) : somme des richesses produites pendant un an sur un territoire, par les résidents (production

représenterait 40% des actifs. D’après J.Y Carfantan dans Le choc alimentaire mondial (2009) citant McKinsey il y aurait en Chine : une classe moyenne supérieure de 105 M de consommateurs avec un revenu annuel de 4 800$ à 12 500$ et une classe moyenne inférieure de 190 M de nouveaux consommateurs avec un revenu de 3 000 $ à 4 800 $. Le constat général est que les chinois des villes, ceux qui constituent une part importante de la classe moyenne consommatrice, se posent des problèmes assez proches des

considérablement changé les découvertes se succédant à un rythme de plus en plus rapide. Cette évolution c'est faite dans deux grands contextes socio-économiques très différents : une période de croissance et une période de crise. A. LES TRENTE GLORIEUSES (1945-1973). I. LES CARACTÈRES DE LA CROISSANCE. Qu'est-ce que la croissance ? 1. La société de consommation. Image Magnard p 175.1 ou tickets de rationnement 1947 et Nathan p 85 Quelles sont les préoccupations des femmes dans les deux images

des baisses de prix de vente, ce qui accroît le pouvoir d'achat des ménages et peut conduire à une augmentation de la demande en fonction de l'élasticité prix de cette dernière. D'autre part, les gains de productivité peuvent permettre une hausse des salaires du fait de la richesse créée supplémentaire, ce qui peut se traduire par une augmentation de la consommation de biens et services en fonction cette fois de l'élasticité revenu. 5. Entre 1995 et 2001, la productivité du travail a augmenté de 10

observée dans les pays développés, s'appuyant sur un relatif consensus dans le corps social quant aux méthodes de production. On parle alors fréquemment de croissance fordiste pour qualifier cette période (jusqu'à la crise de 1974, soit pendant les Trente Glorieuse pour simplifier). Pourtant les salariés témoignent de la difficulté du travail à la chaine et des contraintes physiques imposées par les cadences de production. Autre difficulté: le travail est très largement déqualifié, ce qui ne

Economica ou Economie générale (bouquin type) ; à la documentation française, des cahiers sur des thèmes dont un sur les concepts de base de l’économie en deux tomes. La presse. Les grandes fonctions de l’économie sont la production, la distribution de revenus, et la consommation. A. La fonction de production 1. Qu’est-ce que l’on produit ? On produit des biens et des services. Un bien c’est une chose stockable à la différence du service. Un bien stockable c’est un bien produit et vendue ensuite

pouvoir d’achat des salariés. C’est une logique productive différente du taylorisme : production de masse et consommation de masse. Le fordisme c’est répandu dans les entreprises après la Seconde Guerre Mondiale, système qui coïncide avec les Trente Glorieuses dit aussi la croissance fordiste. c. Le Toyotisme. Le mot toyotisme vient bien sur de la marque Toyota mais on l’appelle aussi Ohnisme (Taïchi Ohno). Ce mode d’organisation a été mis en place chez Toyota au Japon dans les années 60. La différence

sur la diminution du revenu/tête moyen (à cause de la hausse de la population) et sur l’insuffisance inévitable des terres pour se nourrir. Cette loi immuable déclarée par Malthus a brisée l’essor des sociétés en croissance. Ainsi les revenus ont stagnés jusqu’au 17ème siècle. L’espérance ainsi que les conditions de vie n’ont d’ailleurs que très peu évoluées entre les sociétés aborigènes et le début des sociétés modernes (condition de vie d’un ouvrier). Les différences de revenu proviennent plus des

puisqu’il est évident que la croissance touche de manière différentielle les différentes couches des populations concernées. De faîte la redistribution des richesses produites est extrêmement différentiel et on a vue même au delà de la distribution de revenu au sens premier du terme se sont déclenché une cause d’une production agricole insuffisante, négligé dans certains pays au profit d’une accélération à tout vent, sans tenir compte des problèmes de l’agriculture lié au problème de l’augmentation de