Revenus De Transfert Et Inégalités De Revenus

valeur ajoutée et inégalités en FranceSOMMAIRE I- La diminution de la PSVA au profit du taux de marge contribue à accroitre les inégalités 2 Analyse et évolution de la PSVA et du taux de marge 3 L’impact de la financiarisation 4 Autres facteurs contribuant à la baisse de la PSVA conduisant à l’augmentation des inégalités 5 II-L’évolution de la part des salaires dans la valeur ajoutée n’est pas représentative des inégalités car ce n’est pas un bon indicateur. 6 Déséquilibre des revenus au sein de la PSVA

de la London School of Economics et spécialiste reconnu de l'«économie du bonheur», est arrivé à des conclusions semblables pour ce qui est de la capacité des augmentations de revenus à accroitre la satisfaction des individus. Cette capacité diminue au fur et à mesure que le revenu augmente. Il en déduit que les transferts sociaux sont justifiés puisque les riches perdent moins de satisfaction à être taxés d'un montant x que les pauvres n'en gagnent à recevoir le même montant en prestations sociales

et corrigés des exercices sont dans un 2ème fichier annexe Plan du cours 1.Introduction 2.La production de B&S 3.Le circuit économique 4.L’Etat 5.Le marché 6.Le PIB 7.La consommation 8.Mesurer le coût de la vie 9.Les revenus Bibliographie Diulio Eugène A. (1986). «  Macroéconomique: cours et problèmes », Série Schaum, Edition McGraw-Hill. de Wasseige Yves (2005) . « Comprendre l’économie politique », Editions Couleur Livres, Bruxelles. Euzéby Alain (2000). « Introduction

dilation du travail et de multiplication des subordonnées)  La bureaucratie, élément de la croissance de l’Etat et des coûts publics d) Le marchandage politique et les cycles politiques Le marchandage politique : des groupes de pression obtiennent des transferts à leur profit  une hausse des dépenses publiques improductives et une perte de bien être collectif Les cycles politiques : les politiciens cherchant la réélection manipulent les politiques économiques  des politiques inopportunes et des cycles

Les impôts directs et indirects représentent plus de 60 % du total des prélèvements obligatoires en 2011 (cf. tableau 2). Les ressources de l’État sont presque uniquement  fiscales, les principales étant la taxe sur la valeur ajoutée, l’impôt sur le revenu et l’impôt sur les sociétés. À l’inverse, les organismes de Sécurité Sociale sont financés en grande partie par des cotisations sociales ; les impôts, dont la contribution sociale généralisée (CSG) et la contribution pour le remboursement de la

par des organismes privés mais n’appartiennent pas au secteur public. Les services non marchands (gratuits ou quasi gratuits) produit par l’état sont les offres sur la santé, l’éducation et le logement, en participant à la réduction des inégalités de revenu et à l’amélioration du bien être des individus. B. L’état redistributeur La politique de redistribution consiste à soutenir les familles en difficulté financière et à assurer la possibilité à tous de se soigner. La politique de redistribution

Partie I Les revenus primaires des ménages ne correspondent pas exactement à ce dont ils peuvent disposer pour consommer ou pour épargner. Les ménages ont d’abord l’obligation de payer des impôts, ce qui vient limiter leurs revenus. Ensuite, ils doivent verser des cotisations sociales et ils reçoivent en contrepartie des prestations sociales (remboursements de soins, retraites, indemnités…). Cotisations et prestations représentent les transferts sociaux ; les prestations sociales constituent

s’opérer sur différents critères : il existe des impôts sur le revenu, sur la consommation, sur le capital (ISF), sur la production (taxe professionnelle) etc. Le prélèvement peut toucher différents acteurs : les ménages, les entreprises. L’impôt répond à des règles ; il est le résultat d’un calcul. L’assiette de l’impôt est la base sur laquelle le contribuable est imposé (Selon les cas elle peut s’appuyer sur la déclaration de revenu ou le chiffre d’affaire s’il s’agit d’une entreprise.). L’impôt

effets sur les inégalités au sein et entre les pays.1. Le commerce international a des effets sur les inégalités au sein des pays (creusement des inégalités) : a. La fragmentation de la chaine de valeur entraine un renforcement des inégalités au sein des pays dans la mesure où les écarts de rémunération se creusent entre les plus diplômés (revenus augmentent) et les moins diplômés (revenus diminuent) dans les pays développés et dans les pays en développement on retrouve ces inégalités entre les travailleurs

modèle Bismark est plutôt une assurance alors que le modèle Beveridge est une assistance. Partie 2: Etude d'un document. Ce document élaboré par l'INSEE en 2008, nous présente un document présentant les contributions à la réduction des inégalites de revenus entre les individus. On y constate 4 grandes catégories qui sont les prélèvemens, les prestations, les transfers en nature des services publics, puis les impôts indirects, avec chacunes leurs sous catégories qui leurs correspond. On