Retable

romain régnait principalement. Il fit une copie de la Madona à la Perle, de Raphaël, et y peignit, à 20 ans, un tableau d'autel où l'on retrouvait déjà l'influence de Titien. Il est à Venise en 1550 pour la premère fois. A 25 ans il réalise le retable de la famille Giustiniani à San Francisco della Vigna, dans des teintes éblouissantes, pures et lumineuses. Il n'entre pas dans la catégorie des dramatiques, comme Tintoret. Ses personnages ont une sérénité céleste, une énergie solaire. Le noir

cathédrale St Front frappe essentiellement de l'extérieur par son style byzantin avec ses 5 coupoles. Mais elle possède aussi les styles mérovingien et carolingien par les précédentes églises, roman et gothique par son cloître, et baroque par son retable. une actuelle reconstruction issue de deux édifices: une ancienne église construite aux VIIIe et IXe siècles et qui servait de lieu de pèlerinage dédié à saint Front, et une église à coupoles construite au XIIe siècle par Raoul de Couhé, à la

décoratifs en 1910 à Dresde, et il est toujours là-bas quand la 1ère guerre mondiale éclate en 1914, il s'engage donc comme volontaire dans l'artillerie de campagne. Il est boulversé par l'atrocité de la guerre. Composé par le peintre sur le modèle d'un retable, entre 1929 et 1932, La Guerre est un grand témoignage sur le traumatisme des soldats sur la Première Guerre mondiale. Présentation de l'œuvre, Ce tableau se nomme la Guerre, il a été peint par le célèbre peintre Otto Dix, entre 1929 et 1932

Première Guerre Mondiale. Les couleurs utilisées par les expressionnistes sont souvent froides et sombres La référence Otto Dix s’inspire directement du retable* (Dans une église, tableau placé sur un autel et sur lequel sont représentés les épisodes de la vie du Christ et des saints.) d'Issenheim Dans le retable d'Issenheim il est également question de mort, de souffrance et de résurrection puisque le panneau central est une crucifixion (c'est à dire le Christ sur la croix).

démultipliée - Accumulation du décor -Lieu favori : le retable (tableau sur l’autel faisant face aux fidèles, grouillant)( façade = grand retable Baroque espagnol Développement de valeurs décoratives 1686 - Inspiration de la contre réforme sur le maniérisme hererien - Caractérisé par l’austérité, clarté des lignes et des volumes, formes géométriques, décoration plane plus ou moins chargée - Retables scénographiques - Façades deviennent des retables - Colonnes salomoniques 1680-1720 :Baroque

premiers tableaux de chevalet sont deux retables religieux33,7, inspirées des peintres de la Renaissance : La Vierge des moissons (1819, Église St Eutrope d'Orcemont, près de Rambouillet), influencé par les Madones florentines33de Raphaël(1483-1520), notamment La Belle jardinière (1507-1508, musée du Louvre). La Vierge du Sacré-Cœur (1821, Cathédrale d'Ajaccio), rappelle Michel-Ange (1475-1564), par l’aspect massif et statique de la figure de la Vierge. Ce retable a été commandé, à l’origine, àGéricault24

(3è1 et 3è4) Récapitulatif : dans ces cours, 5 séquences spécifiques (au total 6 à 7 heures de cours) ont été dispensées dans l’ordre que voici : 1/ Otto Dix, La Guerre. La séance a consisté à analyser le triptyque, en lien avec le célèbre retable d’Issenheim, puis d’autres œuvres d’Otto Dix. Thématique « Arts Etats et Pouvoir », l’engagement dans l’art. Voir fiche associée et sujet, pp2 à 5 2/ Octobre d’Eisenstein, deux extraits : scène d’ouverture jusqu’au carton « A tous ! » (DVD chapitre2

sentiments affectifs intenses qui unissent les personnages entre eux. Ces liens s'expriment à travers les regards. Les oeuvres: Les noces de la Vierge (1504, huile sur bois, Brera): le retable est peint pour la chapelle Saint Joseph de l'église Saint François de Prato, suivant le modèle du retable du Perugino pour la cathédrale de Perugia (1499). La scène est divisée en deux parties: les personnages au 1er plan, un temple au second plan. Le temple: le plan est circulaire, rejoignant la courbe

partir de 1530: on n'a plus d'émail potassique Emaux précoces finXVe- début XVIe: altérations => avant 1530 A partir du 2e quart du XVIe: grands retables religieux associant plusieurs cadres Seuls cinq exemplaires avec leur cadre d'origine existent en Europe = très rare On trouve plus facilement des plaques autonomes issues de ces grands retables. 1530: les changements de la Renaissance - fin de la polychromie, début de la grisaille - sujets mythologiques - diversification des formes

répète à l’infini (la vie, la guerre, la mort et cela recommence à jamais). L’absence de perspective ne permet pas au spectateur de poser son regard, de s’offrir un moment de repos car l’horreur est partout. Ce tableau ressemble au retable d’Issenheim. Dans le retable d'Issenheim et le notre, on parle de mort de souffrance et de résurrection: le panneau central est une crucifixion (le Christ sur la croix). Ils choisissent de peindre sans rien voiler de la souffrance du corps crucifié: corps amaigri