Requiem De Mozart

mars 20XX Cher Monsieur, Je me permets de vous 匐rire au nom de la fraternit�musicale qui nous unit : nous avons chant�il y a trois mois le requiem de Mozart (Rencontres musicales de Compi璞ne) et nous avions pu, si vous vous en souvenez, partager l'intense 覆otion de ce jour. Mon propos n'est pas d'ordre musical, mais professionnel : je suis jeune

vos artistes modernes ne sont déjà plus que des anciens ; ils ont deux ou trois mille ans d’existence, et je les confonds dans mon esprit. Les maîtres n’ont pas d’âge. – Et ces musiciens ? dis-je, en montrant des partitions de Weber, de Rossini, de Mozart, de Beethoven, d’Haydn, de Meyerbeer, d’Herold, de Wagner, d’Auber, de Gounod, et – 127 – nombre d’autres, éparses sur un piano-orgue de grand modèle qui occupait un des panneaux du salon. – Ces musiciens, me répondit le capitaine Nemo, ce

artistes modernes ne sont déjà plus que des anciens ; ils ont deux ou trois mille ans d’existence, et je les confonds dans mon esprit. Les maîtres n’ont pas d’âge. – Et ces musiciens ? dis-je, en montrant des partitions de Weber, de Rossini, de Mozart, de Beethoven, d’Haydn, de Meyerbeer, d’Herold, de Wagner, d’Auber, de Gounod, et nombre d’autres, éparses sur un piano-orgue de grand modèle qui occupait un des panneaux du salon. – Ces musiciens, me répondit le capitaine Nemo, ce sont des

artistes modernes ne sont déjà plus que des anciens ; ils ont deux ou trois mille ans d’existence, et je les confonds dans mon esprit. Les maîtres n’ont pas d’âge. – Et ces musiciens ? dis-je, en montrant des partitions de Weber, de Rossini, de Mozart, de Beethoven, d’Haydn, de Meyerbeer, d’Herold, de Wagner, d’Auber, de Gounod, et nombre d’autres, éparses sur un piano-orgue de grand modèle qui occupait un des panneaux du salon. – Ces musiciens, me répondit le capitaine Nemo, ce sont des

artistes modernes ne sont déjà plus que des anciens ; ils ont deux ou trois mille ans d’existence, et je les confonds dans mon esprit. Les maîtres n’ont pas d’âge. – Et ces musiciens ? dis-je, en montrant des partitions de Weber, de Rossini, de Mozart, de Beethoven, d’Haydn, de Meyerbeer, d’Herold, de Wagner, d’Auber, de Gounod, et nombre d’autres, éparses sur un piano-orgue de grand modèle qui occupait un des panneaux du salon. 141 – Ces musiciens, me répondit le capitaine Nemo, ce

vos artistes modernes ne sont déjà plus que des anciens ; ils ont deux ou trois mille ans d’existence, et je les confonds dans mon esprit. Les maîtres n’ont pas d’âge. — Et ces musiciens ? dis-je, en montrant des partitions de Weber, de Rossini, de Mozart, de Beethoven, d’Haydn, de Meyerbeer, d’Herold, de Wagner, d’Auber, de Gounod, et nombre d’autres, éparses sur un pianoorgue de grand modèle qui occupait un des panneaux du salon. — Ces musiciens, me répondit le capitaine Nemo, ce sont des contemporains

Marivaux, même s’il utilise des déguisements de domestiques pour des personnages nobles (Le Jeu de l’amour et du hasard, p. 123-124) ne remet pas foncièrement en cause la hiérarchie sociale. On peut faire écouter un extrait des Noces de Figaro de Mozart comme ouverture sur l’histoire des arts. ⁄‚ Alfred Jarry, Ubu Roi, ⁄8·6  p.⁄‹¤-⁄‹‹ Objectifs : – Analyser les procédés de la satire au théâtre (parodie, caricature, burlesque). – Analyser le rapport du texte à l’espace théâtral (dans

Marivaux, même s’il utilise des déguisements de domestiques pour des personnages nobles (Le Jeu de l’amour et du hasard, p. 123-124) ne remet pas foncièrement en cause la hiérarchie sociale. On peut faire écouter un extrait des Noces de Figaro de Mozart comme ouverture sur l’histoire des arts. ⁄‚ Alfred Jarry, Ubu Roi, ⁄8·6  p.⁄‹¤-⁄‹‹ Objectifs : – Analyser les procédés de la satire au théâtre (parodie, caricature, burlesque). – Analyser le rapport du texte à l’espace théâtral (dans