Republique Et Particularismes Religieux

récente de la France a été marquée par des décisions politiques qui ont donné l’occasion à beaucoup d’observateurs de se poser des questions sur la place des immigrés musulmans en France. Plus particulièrement, la loi sur l’interdiction des signes religieux ostentatoires, adoptée par le gouvernement français en 2004 était une interdiction de fait contre le port du voile musulman dans les lieux publiques. Les débats qui ont alimenté l’adoption de cette loi ont donné l’occasion aux chercheurs et aux activistes

que ce dernier est libre de voter ou libre de ne pas voter, c’est donc un droit civil et politique commun a tout citoyen français. Pourtant, cela n’a pas toujours été le cas dans les anciens régimes qui ont régit le royaume, l’empire, ou encore la République Française. Dans certains de ces régimes, le vote n’était donné qu’aux hommes riches et instruits, car ceux qui avaient de l’argent étaient ceux qui avaient reçu l’éducation, l’on appelait cela : le suffrage censitaire (il fallait le cens pour pouvoir

unifier le monde arabe (panarabisme) et faire de l’Irak la seule puissance régionale. La même année, la Révolution islamique triomphe en Iran. Son dirigeant, l’ayatollah# Khomeyni a des ambitions opposées à celles de Saddam Hussein : instaurer un Etat religieux et être le leader du Proche-Orient. Les deux Etats ont, par ailleurs, un litige frontalier qui porte notamment sur la région iranienne du Khouzistan, riche en pétrole. Envisageant une guerre, Saddam Hussein cherche le soutien arabe régional. Il obtient

l'initiative de Georges Morin27 qui, à l'époque, est chargé des « questions maghrébines » au sein du PS. La stratégie suivie par France-Plus consiste, au départ, à tenir un discours républicain « pur et dur », conforme à la tradition de la Troisième République. En ce sens, la démarche pragmatique prônée par la nouvelle association, apparaît tout à fait « exemplaire » aux yeux des pouvoirs publics, obsédés par la recherche d'interlocuteurs crédibles sur les questions d'intégration. Forte de ce consensus

La coutume a Rome: 1.mos/mores: c'est une tradition encrée dans le religieux. Ce ne sont pas des coutumes formelles, ce sont des traditions puisqu'elle n’existe que lorsqu'elle sont énoncés par les pontifes. On les appelle les responsa. C'est une tradition orale. Elle vont devenir les mores majorum puisqu'elle sont partagé entre les pontifes et deviennent une loi, à un même cas on a la même responsa. 2. Sous la république romaine la coutume devient consuetudo. Cette coutume s'est émancipé de

Richelieu. La guerre de " la fronde ", de 1648 à 1653, une guerre civile. La révolte en Angleterre, de 1649 à 1688. La révolte aux Pays-Bas (sous domination espagnole). Les différentes guerres menées par Louis XVI dans la deuxième partie du siècle. Religieux : Le Quiétisme: Théories venant d’un mystique espagnol, Molinos, qui furent introduites à la cour de Versailles par un Noble. L’idée est qu’il faut accorder moins d’importance aux actes et aux œuvres, qu’à la contemplation et l’abandon à Dieu.

l’organisation du droit public (opposé : droit privé).Ex : activités des puissances publiques ≠ activités privé des individus ; contrat de travail ≠ dissolution constitution Le droit constitutionnel est une branche a part. Ex : facteur et président de la république. Tout les deux assurent une activité étatique. Les règles sont des règles de droit public. Le facteur est un fonctionnaire tandis que le président est un gouvernant, c'est-à-dire une personne qui exerce le pouvoir politique. Seul le président a

particulièrement de l’Église (I). (Elle résulte corrélativement de la construction d’une bureaucratie.(II) I. Une autonomisation du politique Cette autonomie de la sphère politique n’a été rendue possible que par la séparation du politique et du religieux et le phénomène de sécularisation qu’ont connu les pays chrétiens. Cf. « Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui lui appartient ». La Réforme a achevé ce processus en consacrant l’Etat comme « un mal nécessaires » (Luther) II. Une dé-patrimonialisation

des agrandissements du territoire et problème de successions. Exposé : La révolte de Gand 1539-1540. Rébellion qui sera un dernier tour de force. I/ Gand et la politique impériale. a) l’administration exceptionnelle de Gand Il garde les particularismes de chaque ville, la ville dispose d’un conseil municipal nommé Collace, ou est représenté plusieurs corps de métier. Les métiers détiennent une place lourd dans le conseil de la ville, de plus elle possède une grande liberté dans son rôle de gestion

Etat-candidat); la cour pénale interantionale (créé par l'ONU en janvier 1998, il est compétent pour les crimes de guerre, les génocides(=serie d'actes commis dans l'intention de detruire en tout ou en partie un groupe national, ethnique, racial, ou religieux),...) Tous ces systemes sont récents (début des années 1970, ils sont créés coup par coup); le mode politique des nominations des membres du conseil constitutionnel constitue une critique; les droits de l'homme servent souvent la politique par ailleurs