Représentation Morphine

aussi d’améliorer la qualité de ma pratique soignante. a) définition des mots clés : Dans le but de définir mon thème de recherche, j’ai dégagé les mots clés suivant : Morphine[1] : De Morphée, dieu du sommeil. Principal alcaloïde de l’opium, doué de propriétés soporifiques et calmantes. Au sens courant, sel de morphine employé comme analgésique, calmant ou hypnotique. Douleur[2] : La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable, associé à une lésion tissulaire réelle

serait à 7. Je lui explique donc qu’il a une pompe à morphine et qu’il ne doit pas hésiter à s’en servir. Le patient se braque alors et m’explique qu’il ne veut pas de « cette chose » ainsi que de la morphine qu’il considère comme de la drogue. Les questions que ma poser cette situation sont : Que faire face à la douleur d’un patient ? doit-on lui enlever la pompe ? est-ce que les antalgiques paliers 1 vont suffire ? pourquoi considère-t-il la morphine comme tel ? II. Analyse. Les concepts que j’ai souhaité

de Madame D, âgée de 75 ans mais paraissait plus jeune, présente dans le service depuis 1 semaine. Elle était atteinte d’un avc, elle était dépendante pour tous les soins et ne communiquait pas, elle était sous morphine mais émettait constamment des gémissements de douleur malgré la morphine. Sa famille notamment son mari et sa fille étaient très présents et venaient la voir très souvent. Madame D n’était pas ma patiente à charge mais de part ses gémissements qui me touchaient étant donné que Je

production de morphine François Magendie (1783-1855) : 1819 : prescrit des sels de morphine pour calmer les névralgies 1821 : emploi et préparation de médicaments tels que la morphine 1847 : la perte de conscience est quelque chose de dégradant et d’avilissant que tout homme un peu courageux ne saurait souffrir Concurrence avec les préparations d’opium De la morphine aux autres alcaloïdes : codéine (1832), papavérine (1848) III La chimie de synthèse a. Les dérivés de la morphine 1874 : découverte

EVALUATION DE LA DOULEUR : QUELLE PLACE POUR LES REPRESENTATIONS SOIGNANTES? _____________________________________________ Promotion 2007-2010 Février __________________________ SOMMAIRE I- Introduction............................................................................................................p.4 II- Situation et questionnement

cherché ses solutions pour soulager ou améliorer le sort des souffrants. Mais l’histoire de la prise en charge de la douleur n’est pas celle d’un progrès continu, elle est marquée par des ruptures, des avancées, des dénis , liés aux différentes représentations culturelles philosophiques et religieuses Sociétés primitives La Douleur Démon qui pénètre dans le corps, Mauvais esprit à l’intérieur de l’individu Fluide magique Valeur initiatique Antiquité gréco-romaine Homère (800 ans Av JC) Hippocrate

l’accord de l’infirmière, j’effectue un autre bilan sanguin afin de remplir tous les tubes. Mademoiselle D est plus détendue pendant le soin et me dit avoir eu moins mal que lors de la pose du cathéter périphérique. Une demi-heure plus tard, 2 mg de morphine lui sont injecté et elle s’endort par la suite. La problématique choisie pour cette situation est : Quelles actions auraient pu être mises en place pour diminuer l’appréhension et la douleur générée par les soins ? Analyse : La colique

indiqué pour le soin des brûlures, les pansements d'escarres et d'ulcères de jambes en phase de bourgeonnement. Enfin M.D a eu une pose de cathéter central, et d'un artériel fémoral. M.D a une prise en charge de la douleur par un bolus de 2mg de morphine en IVD ( injection intraveineuse directe ) avant les soins, et si il a une BPS > 3, on doit lui préparer 1g de perfalgan en IVL ( injection intraveineuse lente ). La morphine6 est un médicament antidouleur, un antalgique majeur et de référence

l’observance (historique de PCA) * Traiter les accès douloureux Rechercher des douleurs neurogènes Traiter anxiété ou dépression Filtres ou émotions ou représentations soignantes présente dans l’équipe ? * Post discussion avec les ides du service analyser leur dire et corrélations ou pas * Afin de comprendre l’influence des représentations du duo douleur morphinique * L’influence possible de leurs filtres sur une attitude en contradiction avec le rôle propre Mes actions, interrogations

du mal de mer, de la neurasthénie ou comme traitement des addictions à l'opium, à la morphine et à l'alcool11 dans deux articles en juillet 1884 et mars 1885, avant de la proscrire en 1887 dans l'article « Cocaïnomanie et cocaïnophobie ». Il l'a notamment prescrite pour essayer de soigner l'un de ses amis médecins, Ernst von Fleischl, de sa morphinomanie. Non seulement Fleischl continuera à prendre de la morphine, mais il développera une telle dépendance à la cocaïne qu'il sera contacté par le laboratoire