Représentation Du Corps Chez Rabelais

d’articuler l’analyse d’un phénomène de réitération des caractéristiques d’un personnage dans les romans algériens des années 90. Elle s’interroge sur la manière dont des auteurs donnent naissance au personnage terroriste. Notre analyse de la représentation du personnage terroriste dans le roman algérien des années 90 se fonde sur une hypothèse résolument énonciative se basant sur la dichotomie signifiant/ signifié. C’'est la considération de la référence, autrement dit le renvoi aux composantes

entre le spectacle et le spectateur, sinon le poëte complétant son épopée ? Le théâtre des anciens est, comme leur drame, grandiose, pontifical, épique. Il peut contenir trente mille spectateurs ; on y joue en plein air, en plein soleil ; les représentations durent tout le jour. Les acteurs grossissent leur voix, masquent leurs traits, haussent leur stature ; ils se font géants, comme leurs rôles. La scène est immense. Elle peut représenter tout à la fois l’intérieur et l’extérieur d’un temple, d’un

Pan, le Feu inextinguible du Temple de l’Acropole ou du Temple de Vesta, les étincelles des chevelures des Dioscures ou de la tête de la Gorgone, la Flamme du Casque de Pluton, ou de Pallas, le Bâton de Mercure. C’était aussi, chez les Grecs, le grand Zeus Cataibatès ; chez les Égyptiens Ptah-Ra ; pour les Hébreux le Buisson ardent de Moïse, la Colonne de Feu de l’Exode, la Lampe d’Abraham ; les langues de Feu des Apôtres ; les Vapeurs de l’Oracle de Delphes et de celles de l’antre de Trophonius,

pénétration des officiers et des troupes du roi. Ce n’est que de l’extérieur qu’il peut tenter de reprendre ses États en englobant sa reconquête dans une guerre générale contre le royaume : cela lui vaut sa réputation de traître, déjà colportée par Rabelais. Il combat, en effet, dans les armées de Charles Quint, gagne la bataille où Bayard trouva er la mort, prend une part active à la défaite de Pavie où François I est fait prisonnier en 1525, conquiert un temps la Provence… Le sort aurait donc

entre le spectacle et le spectateur, sinon le poëte complétant son épopée ? Le théâtre des anciens est, comme leur drame, grandiose, pontifical, épique. Il peut contenir trente mille spectateurs ; on y joue en plein air, en plein soleil ; les représentations durent tout le jour. Les acteurs grossissent leur voix, masquent leurs traits, haussent leur stature ; ils se font géants, comme leurs rôles. La scène est immense. Elle peut représenter tout à la fois l’intérieur et l’extérieur d’un temple, d’un

et l’on vient trop tard depuis plus de sept mille ans qu’il y a des hommes et qui pensent. Comment pourrait-il y avoir dans ce cas une quelconque originalité possible. A la base du concept d’intertextualité, on trouve le concept de « dialogisme » chez Bakhtine dans son étude sur le roman. Ce concept désigne le dialogue qui s’établit entre le narrateur, le narrataire, l’auteur, les personnages, les discours sociaux, les genres, etc. et qui doit se trouver au sein du roman afin que celui-ci soit une

littérarité tient d’une organisation spécifique de matériaux linguistiques. * Bakhtine Mikhail: Il va travailler sur le concept de «dialogisme» ou d’«hétéroglosie» pour définir le texte avec une pluralité de sens. Pour cela il étudie l’oeuvre de François Rabelais et aussi la polyphonie qui va faire éclater l’univocité du langage. Le dialogisme est définit comme un cas particulier de d’intertextualité. *Julia Kristeva: La notion d’intertextualité va inspirer Julia Kristeva. Elle propose une nouvelle méthode

le discours, la parole, la mesure, les sciences. Dans ce contexte, la parole va commencer à se répandre, et on est dans le début de la démocratie. Début également des politiques démocratique. Ce que montre Jean Pierre VERVANT dans mythe et pensées chez les Grecques, ils vont inventer la politique (restreinte), l’art, la philosophie et la réflexion pédagogique. L’éducation, qui est objet de pratiques empiriques, de façon expérimentale, va devenir un enjeu théorique. On va s’intéresser à la manière

tout entière fondée sur ce modèle. Unie aux autres par une relation d’interdépendance légitimant la sujétion d’une d’entre elles (le peuple), chacune des trois classes est investie d’une mission bien définie, dont le respect garantit l’harmonie du corps social sous le regard de Dieu, Seigneur des seigneurs. La supériorité du chevalier s’exprime symboliquement par sa position dominante d’écuyer perché sur son cheval. On pourra se fonder sur la symbolique multiple de la Table ronde pour montrer que

bricoleur », si ce terme n’avait pas, à tort, une connotation péjorative qui s’y rattache. Il y a par exemple de très belles pages dans la « Pensée sauvage » de Cl. Lévi-Strauss sur les modes de pensée, les savoir-faire et les logiques à l’oeuvre chez l’ingénieur d’un côté et le bricoleur de l’autre. A l’image de l’ingénieur, il élabore des projets, des plans d’action, prépare minutieusement les séquences, pense à l’avance le déroulement des activités, organise des progressions, propose aux élèves