Reprise Lexicale Définition

inutile » et « Ne savez-vous pas qu'elle commence à peine franchies les portes de chêne de ce couvent ? » I – Un débat A. 2 personnages opposés. - Identification des personnages : Sepulveda et Las Casas. Reprise nominale : « du philosophe » (l10) + « le professeur » (l12) = reprise nominale de Sepulveda. --> Sepulveda = un philosophe, réfléchit sur l'humanité. + le cardinal assume la fonction de juge // Mission de Joffé. --> lexique respectueux : « Eminence » = signifie que la personne

LB éclaire-t-il son lecteur sur « le paradoxe de la tyrannie » ? 1. Pourquoi obéit-on ? Une définition de la tyrannie Sous-parties suivent l’ordre des paragraphes a. Les conséquences de la servitude Servitude est un produit de la Coutume et histoire : «serfs et esclaves » (66-67) + exemple de la cité d’Athènes (20-24) + récurrence sans être modèle unique (quelquefois 4/ « si commune » 9) Définition de la tyrannie : floue (termes génériques, absence contexte spatiotemporel) + un portrait mais

le droit de condamner ou non les actes d’Yvain (« Et celui qu’elle out refusé, a mout laiaument escusé »). D’ailleurs, le narrateur emploi des termes se ralliant au champ lexical de la justice : « A mout laiaument escusé », et par le terme de « plaidoiee » employé à deux reprises. Elle emploi d’ailleurs elle-même ce champ lexical aux vers 1771-1772 dans la phrase : « Por ce, mien escïent, cui gié que j’ai a droit et bien jugié »  elle montre d’ailleurs, par le verbe d’opinion « croire » rattaché au

XXVII. UNE CHAROGNE Les Fleurs du Mal I. Une description d’un objet répugnant A. Description réaliste du répugnant a. Champs lexical de la décomposition : « charogne » v3, « pourriture » v9, « carcasse » v13, « putride » v17… b. Champs lexical de l’immoralité > le dégoût est transposé en sens moral > personnification : « lubrique » v5 et « cynique » v7 qui se répondent à la rime c. « charogne infâme » adjectif rejeté à la rime : amplification du sens + nuance de superlatif de plus qu’il s’agit

que la poésie est un genre littéraire. Faire définir aux élèves ce qu’est un genre littéraire, ce que l’on considère comme littéraire et enfin tenter de définir la poésie. L’analyse du poème de RONSARD peut fournir des pistes pour obtenir une définition de ce genre littéraire. 2ème lecture du poème avec questionnement suivant : 1-Précisez la situation de communication à propos de ce poème. 2-Quels thèmes sont abordés dans ce poème ? Réponses attendues : 1-Le poète (s’agit-il de Ronsard 

utilisant essentiellement l’octosyllabe. Ce type de vers combiné aux très nombreux enjambements (6) permet de souligner la rapidité et l’enchaînement des actions. • Les obsèques de le Lionne donnent à voir le chagrin du Roi. Toute une isotopie lexicale de la tristesse est, pour ce faire, développée : « consolation », « affliction », « aux cris s’abandonna ». L’allitération en [r] crée une harmonie imitative qui nous fait presque entendre les rugissements du lion et ceux de ses courtisans : « Le

vers 5. On présente d’abord l’instinct, ensuite sa réflexion. Présence du champ lexical du combat : ceci donne le profil du loup Utilisation du mot « mâtin » : le mot est plus impressionnant que Dogue, ce qui montre l’évolution du jugement du loup à propos du gabarit du chien. Il s’affine. Présence d’un enjambement Les pieds des vers changent lorsqu’il y a un passage à une autre péripétie. Présence du champ lexical de la parole, qui est une antithèse aux véritables intentions (faire la guerre)

globale de ce qui est mis de l’avant par l’auteur (souvent un sentiment, une émotion, un état ou une situation). Cette interprétation doit être basée, dans un premier temps, sur un travail précis fait à partir des mots regroupés (dans un champ lexical), des phrases mises ensemble (dans l’élaboration de procédés syntaxiques) ou encore des associations faites au niveau stylistique (dans le déploiement de figures de style) : il s’agit de l’interprétation textuelle. L’interprétation entière doit s’appuyer

Ses doutes et ses peurs – Scène 16 l.18 : aveu de son ignorance Il a besoin des conseils de la duchesse p.113 : 2 questions : répétitions de « comment cela s’appelle-t-il ? », position d’un enfant qui découvre le monde et le langage. Cf. champ lexical de la fragilité l.30 à 32 + métaphore l.31 II – Des réactions contrastées de femmes qui ne peuvent plus condamner ni admirer 1) La colère et l’incrédulité – Scène 15 Mademoiselle de la Tringle manifeste une violence verbale : didascalie +

divertissement n’est il point le moyen privilégié pour l'homme de se détourner du spectacle de sa condition misérable, et d’échapper à l’ennuie ? « Un roi sans divertissement n’est il pas un homme plein de misères » ? C’est en s’inspirant de cette définition pascalienne, du mot que Giono, écrivain français du 20ème siècle, écrira en 1948, « Un roi sans divertissement ». Il inscrira alors sa chronique dans un rapport d'intertextualité évident avec Les Pensées de Pascal. Ce roman apparaît alors comme