Reponse Helene Ronsard

(implicitement) - sur la signification de la citation latine : « l’Ingénu qui ne savait pas le latin, se fit expliquer ces paroles » -concernant le pouvoir du pape : « Et pourquoi ne le reconnaîtriez vous pas ? » - sur la profession des protestants réponses brèves, réplique à réplique, au style direct. * rythme varie : exposé du pasteur, interprète de la communauté (« alors un petit homme noir prit la parole »). * discours est résumé par la voie narrative (« parla, exposa, déplora »). à déclenche

fin de la séquence 6, un exercice concernera ce roman. Dans la première séance, tu vas travailler sur un poème de Ronsard (1524-1586) qui faisait partie de La Pléiade, un groupe de sept poètes comme les étoiles de la constellation du même nom. Ronsard est célèbre pour ses sonnets qu’il dédie à des femmes nommées Cassandre, Hélène et Marie. Prends d’abord ton cahier. En haut d’une nouvelle page, recopie en rouge le numéro et le titre de la

aussi, exprimer la sensibilité des personnages. Exercice de reconnaissance du genre littéraire d’un texte. Lis les différents extraits proposés ci-dessous. Indique, pour chacun d’eux, s’il s’agit d’une pièce de théâtre ou d’un poème. Justifie ta réponse. © Cned, Français 3e — 97 © Cned – Académie en ligne Séquence 4 — séance 1 a) « Je m’en allais, les poings dans les poches crevées ; Mon paletot aussi devenait idéal ; J’allais sous le ciel, Muse ! et j’étais ton féal ; Oh ! là ! là

d’Aubigné pour sa vision protestante et de la guerre à laquelle il a pris part. Mais aussi Les Essais de Montaigne pour sa réflexion humaniste personnelle sur les abus de la religion catholique. Et enfin le Discours sur les Misères de ce temps écrit par Ronsard pour son point de vue catholique. Nous verrons dans un premier temps les sources et les valeurs de l’humanisme et dans un second temps, les divergences d’opinions religieuses du XVIe siècle. I/ Les Sources et les Valeurs de l'Humanisme

remarques en fonctions d’axes de lecture (axes de lecture = parties du développement = doit amener à l’élaboration d’un plan). La problématique c’est une question, et le développement c’est la réponse. L’idée c’est que les différentes parties du développement sont les différents éléments d’une réponse à une question posée. Une fois que l’on a posé le questionnement et qu’il nous semble juste, on ne doit pas faire de hors sujet en traitant d’autres sujets qui n’ont aucun rapport ! La problématique

religions au XVIe siècle pour Ronsard et d’Aubigné) ou au XIXe siècle qui a placé l’Histoire au centre de ses préoccupations. La question que se posent les poètes, et qui peut constituer une entrée efficace auprès des élèves, est celle du regard spécifique que le poète peut poser sur l’Histoire. Quelle légitimité a-t-il à s’en emparer ? Ne risque-t-il pas de dénaturer son art ? On pourra partir de Ronsard et d’Aubigné pour établir une filiation jusqu’à Hugo. Ronsard dans la préface de la Franciade

du droit et de l'administration, en lieu et place du latin et des autres langues du pays[4]. 1542 : Le concile de Trente est le dix-neuvième concile œcuménique reconnu par l'Église catholique romaine. Convoqué par le pape Paul III en 1542, en réponse aux demandes formulées par Martin Luther dans le cadre de la Réforme protestante, il débute le 13 décembre 1545. Étalées sur dix-huit ans, ses vingt-cinq sessions couvrent cinq pontificats (Paul III, Jules III, Marcel II, Paul IV et Pie IV) et se

quatrième sonnet, il a un incipit qui est également un refus, une recusatio. S onnet 4 Je ne veulx feuilleter les exemplaires Grecs, Je ne veulx retracer les beaux traits d’un Horace, Et moins veulx imiter d’un Pétrarque la grâce, Ou la voix d’un Ronsard, pour chanter mes regrets. Ceulx qui sont de Phoebus vrais poëtes sacrez, Animeront leurs vers d’une plus grand’ audace: Moy, qui suis agité d’une fureur plus basse, Je n’entre si avant en si profonds secretz. Je me contenteray de simplement

quatrième sonnet, il a un incipit qui est également un refus, une recusatio . sonnEt 4 Je ne veulx feuilleter les exemplaires Grecs, Je ne veulx retracer les beaux traits d’un Horace, Et moins veulx imiter d’un Pétrarque la grâce, Ou la voix d’un Ronsard, pour chanter mes regrets . Ceulx qui sont de Phoebus vrais poëtes sacrez, Animeront leurs vers d’une plus grand’ audace: Moy, qui suis agité d’une fureur plus basse, Je n’entre si avant en si profonds secretz . Je me contenteray de simplement escrire

autour de laquelle elle était repliée, me piqua au col, et je m’éveillai. 1. Question (4 points) En insistant tout particulièrement sur l’ironie vous comparerez l’efficacité argumentative (critique) de chacun de ces extraits. Vous appuierez votre réponse sur l’analyse des genres littéraires employés par les auteurs. 2. Travail d’écriture (16 points) Commentaire Vous ferez le commentaire de l’extrait du conte de Diderot, Les deux amis de Bourbonne (texte B). ➠ Durée de l’épreuve au baccalauréat