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Ray NEMR TES Economie: Politiques conjoncturelles et structurelles. 2012-10-15 | | 1] Politique conjoncturelles Q1: John Maynard Keynes est l’économiste à l’origine de la politique de relance. Q2 : La politique conjoncturelle est une politique économique destinée à minimiser les fluctuations économiques autour d´un trend. Q3 : La phrase souligné veut aussi dire que si les impôts augmentent et les revenus de transfert baissent, les gens n’auront plus d’argent. La production

CONJONCTURELLES SONT-ELLES EFFICACES ? Introduction Une politique conjoncturelle est une politique à court terme qui vise à améliorer le fonctionnement de l’économie sans toucher à ses structures. Elle comprend une politique de rigueur et une politique de relance et vise à rétablir les équilibres du carré magique qui sont la croissance, la stabilité des prix, l’emploi et le solde extérieur. Cette politique se veut aussi être une politique contracyclique. La politique budgétaire est l’ensemble des mesures

Phillips ? quelles sont les conséquences de son interprétation par la classe politique ? Cette courbe est-elle toujours d’actualité ? Dans les années soixante, les thèses keynésiennes sont prépondérantes, les dépenses étatiques peuvent provoquer la relance privée, les autorités jouent sur les instruments de la politique monétaire et budgétaire pour freiner l’accroissement du chômage. Les politiques sont dits (souligné par le correcteur ) de « stop and go ». Dans les années soixante-dix, la courbe de

développement d'industries de guerre), baisse du chômage (embauche sur les chantiers, dans les organisations nazies, dans l'armée) mais blocage des salaires. Le tout dans le cadre d'une dictature féroce. Le gouvernement du Front populaire : politique de relance de l'économie par la consommation : d'où les augmentations de salaires, la loi sur les 40h hebdomadaires, le renforcement des syndicats (accords de Matignon : lois économiques et sociales : congés payés, nationalisation des des chemins de fers et

plans de relances économiques lui coutent très chère. Les recettes fiscales ne suffisent plus à couvrir les dépenses de l’état. C’est pour cela que l’état français en ce moment essaye de faire des économies et de minimiser les dépenses pour orienter sa politique budgétaire différemment. La dette de l’état s’élève à 882 milliard d’euros en 2005. 2) La contrainte extérieur. Les états membre de l’Union Européenne par exemple ne sont plus totalement libre, les décisions de blocages de prix, relance doivent

intervenir quand l'économie présente des faiblesses par le biais de politiques : Monétaire, budgétaire, fiscale, conjoncturelles ou structurelles. Avec une politique conjoncturelle l'Etat agit a court terme en cherchant à réguler soit par une politique de relance : dynamiser l'économie en produisant plus, soit par une politique de rigueur : hausse de la fiscalité et baisse des dépenses publiques. Son but etant de maintenir un équilibre entre stabilité des prix, croissance, emploi et équilibre extérieur (Carré

facilement épargnés. Keynes estime donc qu’une politique de relance doit s’accompagner de mesures augmentant les bas revenus (fixation d’un salaires minimum, allocations). Si cette mécanique fonctionne correctement l’état peut même se payer le luxe de dépenser plus d’argent qu’il n’a. Le déficit budgétaire provoqué par une injection de dépenses sera en effet résorbé automatiquement par les rentrées supplémentaires induites par la relance obtenue. Si tout va bien... La politique monétaire. Emettre

l'objet d'oppositions :. -- Dans une optique keynésienne, la consommation est essentielle et doit être stimulée pour “ doper ” la machine économique. -- Les classiques et néo-classiques, quant à eux estiment qu'une relance de la consommation peut provoquer de l'inflation et déséquilibrer la balance extérieure. -- Les marxistes rejoignent en quelque sorte les keynésiens sur l'importance de la consommation en tant que fonction économique stimulante pour

et de multiples courants de pensée apparaissent, chacun ayant des idées divergeant plus ou moins de celles de Keynes. Ces mouvements s’identifient comme les post-keynésiens ou encore les néo-keynésiens. De nos jours encore, les vastes plans de relance Européens et Américains déclenchés fin 2008 sont d’une logique keynésienne. Et le 2 janvier 2009, le figaro affichait « John Maynard Keynes, l’homme de l’année 2009 » . Sources : Hachette 2005 http://www.toupie.org/Biographies/Keynes.htm http://artic

limités 1/ Rappel des critères du Pacte de Stabilité et de Croissance: le déficit des administrations publiques ne doit pas dépasser 3% du PIB, et la dette publique ne doit pas excéder 60% du PIB (document 4) 2/ Par conséquent, les politiques de relance par les dépenses publiques sont limitées: le seul instrument dont disposent les États-membres semble être celui des stabilisateurs automatiques* budgétaires (les déficits publics varient de façon contra cyclique, parce qu'un ralentissement de l'activité