Rejet Des Immigrés

(Société Française plus particulièrement) : 1) Une phénomène historique Immigré : une personne qui viens dans un pays étranger. Etranger : Une personne qui vis dans un état sans en avoir la nationalité. Expatrié : une personne qui se déplace dans un pays pour travailler et revenir dans son pays. La France est un pays qui traditionnellement a un population d’immigré qui a une main d’œuvre d’origine immigré. Ses relations sont bien évidement venu des colonies d’avant. Une immigration faite

Le principe républicain d’égalité des chances Le principe d’universalité implique un principe de justice sociale propre. Après la Révo, l’Etat prd une posture nn-interventionniste, et il soutient pleinement le principe d’égalité d chances ms rejette celui d’égalité d situations. Pr Tocqueville, l’égalité d conditions est un fondement de la démocr. Principe d’égalité d chances : inég de rev et de patrimoine et inég d’accès aux services q propose la société (information, cult, loisirs, soins)

ou bien pour rejeter la faute sur une catégorie de personnes, l'individu a tendance à attribuer ses malheurs, ses échecs à un phénomène extérieur afin de garder une estime de lui. La discrimination est peut-être alors une conséquence directe et inconsciente de ses attributions. En effet, on observe qu'au travers de la crise économique que traverse la France, c'est le parti d'extrême droite, le Front National, qui a le plus progressé. De fait, ce parti qui se dit contre les « immigrés », est en expansion

marquée par un recul spectaculaire du travail indépendant et une hausse du salariat, et main d'oeuvre féminine. Les travaux les moins qualifiés sont laissés aux immigrés (1973 : 7-12% de la main d'oeuvre) 3.L'impératif de mobilité. Affluence des réfugiés d'europe de l'est en Allemagne = main d'oeuvre bon marché pareil au Japon. Affluence immigrés en france et USA i.e Mexicains et Maghrébins. De plus favorisation de la mobilité avec l'exode rural france 10M de personnes. C.Rôle des entreprises.

s'est progressivement effacée laissant place, pour les non-qualifiés, à une attitude de retrait, entre rejet et résignation par rapport aux modèles dominants d'intégration sociale. Pour les salariés du bas de l'échelle, des formes différentes de construction identitaire opposent certaines sous-populations, les jeunes et les plus âgés, les hommes et les femmes, les immigrés et les non-immigrés. Thomas AMOSSÉ et Olivier CHARDON, Les travailleurs non qualifiés: une nouvelle classe sociale

portent aux nues les apports de leur pays à l'humanité et se disent inégalables en matière d'art culinaire, de vins, de mode et de parfums. Mais ils sont pleins de contradictions, enclins à la grève, aiment le verbe polémique. L'intégration des immigrés a radicalement changé leurs goûts ; l'insatisfaction les caractérise. » I. Le débat sur l’identité nationale à travers les âges A) Les symboles et les valeurs de la république • Les symboles de la république

négative face à un objet. Selon Allport, les attitudes comportent au moins trois facettes : - la facette mentale c'est-à-dire la représentation de l’objet, de l’idée ou de la personne considérée. - la facette affective c'est-à-dire les émotions (rejet, mépris, tendresse, amour, etc.) - la facette comportementale c'est-à-dire les conduites d’évitement ou de rapprochement adoptées. Une représentation sociale n’est donc pas une simple opinion mais un ensemble d’affects et de réactions émotives. Pour

migrations régulières qui alimentent les marchés du travail des pays en expansion revêtent un caractère moins dramatique. Elles suscitent toutefois des difficultés, notamment un phénomène de rejet de la part de la population en place lorsque celle-ci perçoit les nouveaux arrivants comme une menace économique : ce rejet prend la forme de discours et d'actions xénophobes, voire racistes, comme on l'observe partout en Europe depuis les années 1980 - 1990. 7. Pour les mêmes raisons économiques, des populations

l’Afrique du Nord. En 1982, sur 4 200 000 immigrés en France, on en comptait 2 000 000 originaires d’Afrique et particulièrement du Maghreb »[2]. L’immigration était essentiellement une immigration de main-d’œuvre. Les immigrés venant pour travailler, étaient le plus souvent affectés « dans les secteurs composés de postes avec des taux de pénibilité importante, avec des horaires inconfortables, des risques permanents importants. Ce faisant, les travailleurs immigrés permettent à des nationaux d’accéder

la ségrégation raciale de Jim Crow ou encore par la dépossession et l’assimilation forcée des peuples indigènes. Cela étant, depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, la révolution des droits de l’homme a progressivement, mais de façon décisive, rejeté ces idées dépassées de hiérarchie raciale ou ethnique. Depuis la signature de la Déclaration des droits de l’homme en 1948, nous vivons désormais dans un monde où l’idée d’égalité entre tous les hommes ne peut plus être remise en question, du moins