Règle de saint Augustin

normes juri-diques mais aussi morales et politiques, qui fondent l’idée de justice. Celles-ci peuvent provenir du droit naturel ou du droit positif, elles émanent aussi de conventions passées entre les hommes. 1.1 La question de la légitimité de la règle de droit. Le sentiment de justice et d’injustice est attaché au fait que nous vivons en société. Il nous faut en effet dans ce cadre trouver un accord et poser des règles. Cette organisation peut reposer sur le pouvoir d’un seul qu’il applique par

conviennent ni au bien-être, ni à l'être raisonnable, et cherche ceux qui peuvent exciter en lui des affections convenables à l'état où il se trouve. La raison est à l'égard du philosophe, ce que la grâce est à l'égard du chrétien, dans le système de Saint Augustin. La grâce détermine le chrétien à agir volontairement ; la raison détermine le philosophe. Les autres hommes sont emportés par leurs passions, sans que les actions qu'ils font soient précédées de la réflexion ; ce sont des hommes qui marchent

dans l’empire. On les appelle des dediticer. Ils sont accueillis à condition de défendre Rome contre d’autres barbares. Ils gardent cependant leurs droits et on observe la coexistence du droit romain et des droits barbares. L’ethnie détermine la règle juridique (c’est le système du statut personnel). Section 1 le statut personnel à l’époque franque Ce sont des sociétés pluriethniques et communautaires. Les structures politiques à la chute de l’empire romain d’occident. C’est une société

TERMES À CONNAITRE - NOUVEAU TESTAMENTTERMES À CONNAITRE - NOUVEAU TESTAMENT Les quatre évangélistes ( Marc, Matthieu, Jean et Luc ) - MARC : Son histoire: Marc, auteur du deuxième Évangile, l’écrivit peut-être à Rome à la suite de l’enseignement de saint Pierre. Il était le fils de Marie de Jérusalem, la femme qui mit sa maison à la disposition des disciples après l’Ascension. On considère aussi que c’est Pierre qui a baptisé Marc. Des Actes des Apôtres il ressort qu’il est allé prêcher avec Paul et

neptiques), mais aussi dans la tradition latine (Augustin) : La philocalie et la philosophie ont presque même nom et veulent paraître et sont comme de la même famille. Qu'est-ce, en effet, que la philosophie? L'amour de la sagesse. Et la philocalie? L'amour de la beauté : demande-le aux Grecs. Mais, qu'est-ce que la sagesse? N'est-ce point la beauté véritable? La philosophie et la philocalie sont donc tout à fait soeurs et nées du même père. (Augustin, Contre les académiciens, II,3). Ce devoir

alors en conclure que tout peut devenir œuvre ? Mais si tout peut être œuvre, alors rien ne l'est plus, et la distinction entre objet courant et œuvre d'art semble s'effacer. Alors, quel statut faut-il attribuer à la règle en art ? Sans doute faudra-t-il d'abord élucider le concept de règle artistique lui-même afin de déterminer ensuite dans quelle mesure l'art pourrait éventuellement s'en passer. I. Le génie comme pouvoir créateur des règles Nous ne sommes pas face à un marteau comme face à une

Le caractère s'éduque, la justice s'éduque : les grecs ne considèrent pas l'enseignement comme de l'instruction, c'est aussi une éducation des règles de la Cité. Le droit, pour les grecs, n'est pas dans la loi : le droit est, dans la justice, une règle à appliquer avec justesse. Les grecs conçoivent aisément qu'une loi peut aboutir à une situation injuste, et dans ce cas la justice prévaut. Il n'y a pas non plus de distinction chez les grecs entre une justice parfaite divine, et une justice nécessairement

Les libertés La question du libre arbitre ● L’approche des Docteurs de l’Eglise – – Augustin : le libre arbitre est nécessaire pour comprendre le péché tout en dédouanant Dieu Thomas d’Aquin : le libre arbitre est nécessaire pour sauvegarder la responsabilité morale Les libertés Le problème du libre arbitre ● L’approche moderne de Descartes ● La raison et la volonté est la cause du libre arbitre. L’action libre est une action autogérée. Le pouvoir de juger suppose que le sujet

actions qui en émanent ne sont pas les mêmes pour différents individus, époques, civilisations et sociétés. La question se pose alors de savoir qu’est-ce qui caractérise essentiellement la morale ? Autrement dit, qu’est-ce qui fait la spécificité de la règle morale ? D’où émane l’obligation morale ? Mieux, quel est le fondement de la morale ? I / APPROCHE PHILOSOPHIQUE DES FAITS MORAUX. Le constat est sans équivoque : toutes les communautés humaines possèdent des règles de vie et savent distinguer

soit l’autre. Quel est la raison d’être du droit ? Ces deux paradigmes apportent des réponses très différentes. Le positivisme consiste à penser que le droit positivisme se suffit à lui-même. Il s’impose en tant que tel sans prétendre traduire une règle supérieure (règles d’inspiration divine par exemple). Pour les positivistes en droit juste ou injuste, le droit doit être obéit. D’ailleurs les devoirs l’emportent sur les droits. A partir de cette idée de base, deux approches on était développées :