Registre

des codes, des rites, des signes verbaux et non verbaux qui sont dictés par le statut et le rôle des acteurs. Le registre de langage, le territoire, les codes vestimentaires répondent à des normes sociales importantes. a. le registre de langage Il dépend fortement de la position sociale des interlocuteurs et de la fonction occupée. Registre familier entre collègue registre courant dans les rapports hiérarchiques. b. le territoire occupé et la distance entre les interlocuteurs. L’occupation

du narrateur. REGISTRE : * Registre pathétique : souffrances qui attirent la compassion * Registre Tragique : souffrances suivie par un destin contraire * Registre Epique : exploits guerriers qui provoquent l’admiration et l’effroi * Registre Lyrique : l’auteur partage ses sentiments personnels * Registre Polémique : l’auteur combat des personnes ou thèses qui lui déplaisent * Registre Fantastique : exprime la peur provoquée par le surnaturel * Registre Réaliste : cherche

chanson est un texte pacifiste. Boris Vian se dit être pro-civil et non anti-militariste. Cette chanson engagée semble-t-elle efficace ? Quels sont les registres de ce texte ? Nous verrons dans un premier temps que le registre pathétique domine ce texte et que ce dernier est provocateur et pacifiste. I) Une victime du passé 1) Le registre pathétique Absence d'une ponctuation expressive. CL Mort et souffrance ( "mourir, tombe, mortes " / ( pleurer, souffert) Insistance sur la souffrance

et B ont été écrits au XVIIIème siècle, époque des Lumières. Ils sont issus du Dictionnaire philosophique et de l’Encyclopédie. On pourrait s’attendre à ce qu’ils soient objectifs pourtant ils sont argumentatifs. Dans le texte de Damilaville, le registre est didactique. Il définit sérieusement les bienfaits de la paix, avant de les opposer aux méfaits de la guerre, dans les domaines politique (« vigueur aux empires », « lois forcées de se taire ») et économiques (« elle favorise l’agriculture »,

: Folio Année d'édition : 1998 Remarques : Genre et registre littéraires (2points): -Genre : Roman -Registre : 1) Tragique : L’émotion qu’il suscite naît de la conviction intime qu’il n’y a plus d’issue, que le destin s’acharne inéluctablement sur l’homme voué au désespoir et à la mort. 2) Lyrique : Ton de l’expression des sentiments personnels ; évocation exaltée de sentiments communs à tous les hommes. 3) Pathétique : Ce registre cherche à provoquer l’attendrissement en portant à son

étudier un texte à l'écrit pour le commentaire littéraire, ou pour la question à quatre points et à l'oral également. On peut parfois dégager des plans en s'aidant de ces registres. Définition : Le registre d'un texte littéraire dépend de l'état d'esprit, ou de l'état d'âme que l'on veut créer chez un lecteur. II. LE REGISTRE LYRIQUE A. TEXTE L’extase "La nuit était venue, la lune émergeait de l’horizon étalant sur le pavé bleu du ciel sa robe couleur soufre. J’étais assis près de ma bien-aimée

le désordre, cent, mille « et » « et » ) b- Un humour noir/ironie au premier plan. (se moque des individus fous héroïques, nous étions jolis ! pour suggérer, faire passer le message pour ne pas trop choquer en faisant des antiphrases) c- Registre Polémique et Tragique. (monstruosité de la guerre champs lexi de l’horreur quand même)(fatalité : j’étais condamné…)(donnant une vision négative de l’homme) Commentaire : L’extrait présenté met en scène un champ de bataille de guerre observé du

répétitive révélatrice de sa nervosité et de son hésitation. Ces différents moyens participent à créer un registre tragique : pour Raskolnikov le tragique naît de l’inéluctabilité de l’aveu : la terreur contamine Sonia et l’amène à deviner la culpabilité de son interlocuteur, le tragique né aussi du style emphatique d’Hamlet que l’on retrouve chez Gargantua mais dans ce dernier texte le registre tragique est détourné. En effet, le caractère sérieux du dilemme est tempéré par des accumulations aux expressions

actanciel, particularités de la narration... Étude du registre fantastique : les signes du réel, l'irruption de l'irrationnel, la peur sournoise, l'absence d'explication, le plaisir de l'inquiétude...Présentation de l'auteur, de l'oeuvre, son inscription dans un courant... Il faut d'abord montrer que c'est une nouvelle : récit court, présence de la chute, étude des schémas narratif et actanciel, particularités de la narration... Étude du registre fantastique : les signes du réel, l'irruption de l'irrationnel

personnel de celui qui écrit. Comme si l'Histoire se révélait à travers eux. C'est ce que fait Chateaubriand dans ce passage que nous allons étudier de forme linéaire et suivie. Nous allons nous demander en quoi cet extrait des Mémoires s'inscrit dans un registre épique et quel est le jugement qu'en porte l'auteur ? Tout d'abord il peint un tableau de l'atmosphère de l'époque, du village jusqu'à Paris, puis il nous raconte un événement précis en se consolidant comme témoin historique de ce qui se déroule