Régicide

Dans le judaïsme ancien on trouve la responsabilité des fils pour les fautes des générations antérieurs. Quand la civilisation s’est développée on a commencé à admettre l’individualisation de la peine. Même dans le cas de régicide un fils dont le père aurait commis le régicide ne serait plus assassiné avec son père coupable comme il pouvait y avoir auparavant. Désormais dans la civilisation hébraïque le principe de la responsabilité individuelle est important et il constitue l’un des apports majeurs

la tradition (valorisation du passé) et l'attachement sans faille à la religion catholique (non seulement en tant que base morale mais aussi en tant que régulateur de toute la vie quotidienne). Pour lui, le principe même d'un constitution est un régicide. C'est donc avec cet arrière-plan qu'il commence son règne, et avec une volonté claire : opérer un retour aux valeurs de l'Ancien Régime. Il le prouve notamment avec la loi du sacrilège et la loi du milliard des émigrés (20 et 27 avril 1825), toutes

songeant à une Restauration. Les monarchistes demandent au comte de Chambord de monter sur le trône. Celui-ci publie un manifeste le 5 juillet 1871 où il déclare sa fidélité au drapeau blanc. Il rejette le drapeau tricolore comme étant le drapeau des régicides. Des débats s'ensuivent au sein des monarchistes sur la question du drapeau. Les monarchistes sont aussi divisés sur la forme du régime : si le groupe extrémiste des « Chevau-Légers », du nom de la rue où se trouve leur salle de réunion, entend restaurer

l'Institut et se prend d'admiration pour Napoléon Bonaparte. Il se met à son service quand celui-ci accède au pouvoir impérial, et il réalise pour lui sa plus grande composition Le Sacre de Napoléon. Sous la Restauration, son passé de révolutionnaire régicide et d'artiste impérial lui vaudra d'être exilé. Il se réfugie à Bruxelles et continue jusqu'à sa mort en 1825 son activité artistique. Son œuvre, importante par le nombre, est exposée dans la plupart des musées d'Europe et aux États-Unis, et pour

dans le midi. Elle se fait de différentes manieres on poursuie des individus tel que Ney et on les execute on poursuie des individus tel que Fouchey, ou Lazard Carnot et on les exiles Les victimes de la Terreru Blanche sont accusés de régicide puisqu'ils ont été membre de la covention de 1793, convention votant la condamnation à mort du roi Louis XVI. Ce vote était nominatif, les votes n'étaient pas anonymes/de plus la Terreur Blanche s'est égaleme,t manifeté contre le sprotestants

contemporaine, et l’on en veut pour preuve la tentative anonyme d’assassinat de Louis-philippe le 19 novembre 1832 ainsi que l’attentat manqué de Fieschi le 28 juillet 1835. Musset était conscient de la signification politique de l’assassinat d’Alexandre, régicide « techniquement » réussi même s’il ne résout pas réellement la problématique de la tyrannie dans la pièce. Dans ce contexte général de profondes remises en questions politiques, Lorenzo ne risquait nullement de passer inaperçu, il devait effectivement

pour un assassinat. L'huile bouillante : pour les faux-monnayeurs ; L'écartèlement, avec ensuite exposition des restes aux quatre portes de la cité : pour la haute trahison, pour les parricides, dans la pratique, il n'était utilisé que pour les régicides (le Roi étant le père de la Nation) ; La tête cassée, peine militaire, dont sont aussi menacés les civils qui forçaient les blocus en cas d'épidémie de peste. Adoption de la guillotine Le premier débat officiel sur la peine de mort en France

traditionnels africains consiste en « la mise à mort rituelle du roi »[53]. Cette pratique serait attestée, notamment chez les Yorouba, Haoussa, Dagomba, Tchambas, Djoukons, Igarka, Songhoy, Shillouks. Selon Diop, les Égyptiens auraient également pratiqué le régicide rituel, qui serait devenu progressivement symbolique, à travers la fête du Sed, un rite de revitalisation de la royauté[54]. Matriarcat [ Pour Diop[55], le matriarcat est au fondement de l'organisation sociale « négro-africaine ». Aussi serait-il

supprime les principaux personnages incarnant le bien dans Macbeth : macduff, le justicier, et Fléance, représentant l’espoir d’une dynastie meilleure. le rôle du roi duncan, qui cesse de représenter le parfait souverain dont le meurtre est à la fois un régicide, un parricide et un sacrilège, est considérablement allongé et amplifié pour révéler son tempérament autoritaire, lâche et corrompu, partagé par son fils macol. ionesco ajoute à ces personnages ceux des traîtres Glamiss et candor, seulement évoqués

garantissent la vengeance, sentie comme une forme indiscutable de justice par Électre ou Oreste. Clytemnestre, elle-même, qui semble être la plus injuste, justifie le meurtre d'Agamemnon par la vengeance de sa fille Iphigénie : l'amour maternel cautionne le régicide, tout comme le devoir filial autorise le matricide. Au contraire, Pascal s'inscrit contre cette idée en montrant que la justice est relative et ne peut s'exercer pleinement que dans un cadre social bien réglé et défini. C) L'indépendance vis-à-vis