Régicide

le peuple de paris, fav à la centralisation des pouvoirs à paris et à la révolution extrême. Il y a Danton, Desmoulins, Robespierre, Marat. Ce même jour, la royauté est abolie. Le 21 Janvier 1793, le roi Louis 16 est exécuté. Cette assemblée est régicide. A Partir de l’exécution du roi, c’est le début de la dictature de la convention. On va mettre en place des tribunaux, et on va crée les comités de la convention. On la divise en 21 comités parmi lesquels le salut public. C’est ce dernier qui va

date. II. L’offensive parlementaire : 1750 - 1770 A. Les crises religieuses 1. L’expulsion des Jésuites a. Renaissance du sentiment antijésuite -Après l’attentat de Damiens (1757), certains comme les jansénistes associent régicide et jésuitisme. -Opposition parlementaire face aux Jésuites, les parlementaires voyant en eux les inspirateurs de la Bulle Unigenitus. b. Affaire de La Valette -1741 : Faillite de la maison de commerce crée par le Supérieur jésuite La Valette

2) En janvier 1793 la Convention va se charger de juger le Roi et de décider la peine, peine qui est soit pour ou contre la mort du Roi. La majorité vote pour la mort du Roi ( cette majorité qui sera plus tard appelés de régicides et qui vont s'exiler de France au retour de la monarchie ) et il sera exécuté le 21 janvier 1793 D - La nouvelle situation politiqueOn observe à la Convention la création de deux « clans ».Les Montagnards (Robespierre et Danton)Les

se sentant seul, se laisse gagner par le désir nostalgique d’une compagnie féminine. Marowsko : Marowsko est un personnage émouvant. Ce vieux polonais étrange a pu avoir par le passé la « réputation de conspirateur redoutable, de nihiliste, de régicide ». En fait, c’est le contraire d’un exalté dangereux. Il est plutôt touchant, avec son « air triste de perroquet », son accent « enfantin », son « amour de chien fidèle » à l’égard de Pierre. La structure du roman : 1.Une composition régulière :

19ème] mais très peu connu ». Sa célébrité est du au fait qu’il était régent, devenu maître de l’Angleterre, Ecosse, Irlande, à l’origine de la chute de la monarchie. Mais les gens, et Hugo le premier s’en faisait une « idée sommaire d’un fanatique régicide, grand capitaine » 25 juin 1657 Londres : Cromwell est sur le point de se faire couronner roi mais, après un discours de 3h, il renonce à son titre. Pourquoi ? Personne ne le sait mais V. Hugo, que cette liberté ravi, nous brosse ici un tableau

meurtres) avec plusieurs façons de l’appliquer comme la décapitation à l’épée ou à la hache (nobles) , pendaison (voleurs) bûcher (hérétiques et incendiaires), supplice de la roue (bandits et meurtriers), écartèlement (parricides (tuant sa famille) et régicides (tuant un roi)) et mort par ébouillantage (faux-sauniers et faux-monnayeurs (contre façon de sel et argent)) les avis des philosophes sur la peine capitale sont tous intéressant et différent les uns des autres . Comme le cite certains philosophes :

et des exécutants (les soldats d’Oreste, qui agissent à son signal). Il répond à des mobiles multiples, chacune des parties prenantes ayant des objectifs différents. Il cumule toutes les formes de transgression : Oreste ne commet pas simplement un régicide, il abat un ami ; en s’en prenant à un Grec, il trahit la mission qui lui avait été confiée ; il profane un lieu sacré, le temple, en y versant le sang, et il inverse une cérémonie de vie – le mariage – en cérémonie de mort. Enfin, le meurtre suscite

l'avant, bon gré mal gré et c'est à présent surtout qu'on peut dire : Vivre libre ou mourir !" Aller de l'avant et marcher, marcher vers la Terreur, marcher contre tous les "tyrans" de l'Europe. Tous ces Conventionnels régicides se serreront les coudes ils formeront cette "oligarchie régicide", décrite par Louis Madelin, rassurée seulement le jour où un autre tyran, Bonaparte, fondera un gouvernement fort qui leur promettra de les garder des représailles des autres souverains européens. La première coalition

troublée par le vertige de ce qui n’est pas, de ce qui sera, de ce qui pourra être ou ne pas être : « la peur présente est moindre que l’horreur que l’on imagine » murmure à part soi le protagoniste, « et plus rien n’est que ce qui n’est pas ». Dès le régicide qui l’inaugure, la carrière criminelle de Macbeth n’est rien d’autre que la quête désespérée d’un acte capable de refermer le piège du temps ouvert par le discours des sorcières. Hésitant encore devant son premier meurtre, le personnage n’accorde

refuses to bring them back, terrified by his crime, “look on’t again I dare not” (II,2,51). Macbeth knows his life will never be the same now, that he has irreversibly destroyed the natural order of things and so does the audience. He has committed regicide, killed the representative of God on earth, the one who ruled by divine rights. Macbeth feels all the more guilty that he truly appreciated Duncan and makes it clears on several occasions as he talks about him “his silver skin laced with his golden