Refus Soins Demarche Ethique

CONCEPTS EN ETHIQUE ET PHILOSOPHIE La responsabilité infirmière RESPONSABILITE : celui qui se porte garant, qui répond de ses actes. LEGALITE : conforme à la loi LEGITIMITE : juste et admis par la loi L’homme est doté du libre-arbitre ce qui lui donne des responsabilités. SPINOZA (1632-1677) philosophe néerlandais : tous nos actes sont déterminés par une cause antérieure. KANT : l’homme est pleinement responsable de ses actes et porteur de valeurs morales qu’aucune circonstance

diagnostic. (En savoir plus : Article L2213-1 du CSP) • Cas particulier des maladies à révélation tardive - Demande de DAN : point de vue médical • Le diagnostic prénatal est réalisable dans tous les cas où l'anomalie moléculaire a été détectée. • Refus premier de l’équipe obstétricale: naissance possible d’un enfant normal, ignorance du degré d’atteinte de l’enfant à naître. => Les parents sollicitent l’avis d’une consultation d’éthique clinique. - © Université Médicale Virtuelle Francophone

provoqué un débat éthique et législatif sur le thème de l'euthanasie, aboutissant à l'adoption d'un « droit à laisser mourir », la loi Leonetti, par le parlement français le 22 avril 2005. La loi relative « aux droits des malades et à la fin de vie » répond, sans légaliser l’euthanasie, à un grand nombre de situations douloureuses. Votée après l’affaire Humbert, elle embrasse même, au-delà de la fin de vie, la quasi-totalité des cas où se pose la question d’un arrêt des soins, en renforçant le

qu’elle induit nécessairement. Au cours de ma formation, je me suis sentie beaucoup plus à ma place dans la dimension relationnelle que comportent les soins. Ce TFE me permet de concilier technique, de par les connaissances et les gestes associés au don d’organe, à la relation d’aide qui se met en place avec le patient. D Institut de Formation en Soins Infirmiers MGEN La Verrière Tiphaine BLANCHET 2 J’ai eu l’occasion de m’en rendre compte en prenant en charge une femme qui a fait le choix de donner

suicide ( art. 223-13 du code pénal) , la non-assistance à personne en péril (art 223-6 C. pénal) pour, par exemple, l’absence de traitement à un mourant- toutefois cette infraction semble devoir être ré envisagée après la loi de 2005, si celui-ci refuse le traitement (nous reviendrons sur cette loi en deuxième partie)- les infractions concernant l’euthanasie sont également le meurtre (art 221-1 C. pénal) puni de trente ans de réclusion , si le projet a été formé à l’avance il s’agit alors d’un meurtre

trop compliqué.Monsieur G a de nombreux antécédents : anémie, asthme, maladie neurocognitive, cancer de la prostate…Le 23 janvier monsieur G est très angoissé et très fatigué. (Il est en fin de vie)Nous lui faisons des soins de confort : effleurage sur les points d’appui, des soins de bouche et brumiser le visage.Le médecin nous demande de continuer tous les traitements per os.Sa fille est présente avec la sœur de monsieur.Le 25 janvier : Nous n’arrivons plus à donner ses traitements per os, nous

la santé. Cependant même en milieu thérapeutique (hôpital, centre de santé…), son approche du bénéficiaire est globale, et sa prise en charge ne se limite pas au seul but thérapeutique. Pour que l’action en soins infirmiers, soit soignante (Caring: Jane Watson), elle nécessite une démarche (des attitudes et des interventions dont la résolution de problème et l’apprentissage interpersonnel) ; permettant de : Comprendre les perceptions du bénéficiaire ; de promouvoir des mécanismes d’ajustement

discipline » nouvelle, dans le courant des années 1960 et des interrogations au sujet du développement de la biomédecine et des technosciences 1. Si les interrogations éthiques concernant la médecine ne sont pas neuves, la bioéthique se distingue de la déontologie médicale classique, en ce que celle-ci constitue davantage un code éthique fondé par les médecins pour les médecins 1. La bioéthique, au contraire, fait intervenir une pluralité d'acteurs et de disciplines (outre les médecins, biologistes et

dernières découvertes en matière de traitement et de la technologie tout en pratiquant l’EUTHANASIE. Cette dernière fait partie des problèmes les plus débattu et les plus complexes dans le domaine médical en raison de l’affrontement des points de vue éthique. On peut considérer la pratique de l’euthanasie comme une solution finale qui vise à provoquer le décès d’un individu atteint d’une maladie incurable qui lui cause des souffrances morales ou physiques insupportables. C’est donc après une multitude

Article 36 (article R.4127-36 du code de la santé publique) Le consentement de la personne examinée ou soignée doit être recherché dans tous les cas. Lorsque le malade, en état d'exprimer sa volonté, refuse les investigations ou le traitement proposés, le médecin doit respecter ce refus après avoir informé le malade de ses conséquences. Si le malade est hors d'état d'exprimer sa volonté, le médecin ne peut intervenir sans que ses proches aient été prévenus et informés, sauf urgence ou impossibilité