Réel, symbolique et imaginaire

représentation pouvait tout à la fois offrir une image fidèle de la vie et un tableau vraisemblable de notre humanité ? Pour répondre à cette problématique, nous tenterons de démontrer que si dans un premier temps le théâtre vise à copier fidèlement le réel il tend également à le transgresser par le biais de la transformation et parfois du travestissement. Ainsi certains auteurs en quête de reconnaissance, ont pu considérer que le théâtre se devait d’entretenir une certaine proximité avec la réalité

correspondent pas forcément à notre corps réel.   -L'image inconsciente du corps, les grandes lignes   Quant à l'image inconsciente de notre corps, elle est une sensation qui perdure, et qui trouve son origine dans l'enfance. L'image inconsciente du corps est l'ensemble des toutes premières impressions gravées dans le psychisme infantile par les sensations corporelles qu'un bébé, voire un fœtus, éprouve au contact de sa mère, au contact charnel, affectif, et symbolique avec sa mère. Des sensations qui

un talus végétal et sa symbolique où se dévoile l'intimité du poète. Le regard du poète embrasse ce parc qui s'éveille et laisse aller son imaginaire sur les sillons laissés dans la nature par le temps. La lumière indécise du matin fait alors naître des fantasmagories, le défilé magique d'un cirque, puis celui d'un convoi funèbre. La nature en éveil, innocence et émerveillement "Ornières" est, le récit d'un songe poétique conduit en dehors de l'espace et du temps réel et qui se dissipe lorsque

peut-être un miroir de la réalité ? Comment l’auteur arrive-t-il à rester réaliste malgré la subjectivité qu’il véhicule à travers la beauté de son style, ou en d’autres mots, la beauté de son mensonge ? Après avoir montré que le roman est un miroir du réel, nous tâcherons d’expliquer qu’il s’agit également de l’imagination de l’auteur. Enfin, nous essayerons de montrer que le romancier est un illusionniste. Déjà, nous allons montrer que le roman est un miroir que l’on promène le long d’un chemin

|préopératoire, autour de 2 ans environ. | | |Indice : c’est la seconde période et elle va de 2 à 7 | |Jeu symbolique. | |ans environ. |Schème de la représentation. | | |

extérioriser les sentiments et les sensations du personnage joué afin que le spectateur en soit conscient. C’est là-dessus que se base le travail des gestes, des attitudes corporelles ainsi que les mimiques faciales ce dont on ne peut qu’avoir un aperçu imaginaire et flou lors de la lecture. Il est vrai par exemple que lors de la longue tirade de Don Salluste au commencement de Ruy Blas une pièce de Victor Hugo nous parait assez monotone si on ne fait pas ressortir tous les sentiments successifs que ressent

ancien ou nouveau testament), mythologique, allégorique, peinture d'histoire, paysage….. Choix de symboles, expressions, vêtements (…) différents selon époque et style, renseigne sur l'artiste. Moment choisi (si scène narrative) : volonté tragique, imaginaire…. choix délibéré ou commande, nouveauté ou copie…. Comment peut-on décrire les éléments représentés? Identification : vêtements, symboles, attributs, actions, interactions des éléments entre eux…. Décors…. Non exhaustif….. La composition

l'auteur est donc de raconter une histoire longue fictive ou réelle métant en scène des personnages inventées ou réelles et tout cela dans un cadres spacio temporels precis. Il est donc légitime de se demaner si la tâche du romancier quand il crée des personnages ne consiste qu'a imiter le réel. Nous verrons dans un premier que la tache du romancier consiste à imiter le réel et dans un second temps nous verrons pourquoi il ne faut pas que le réel. Oui car: un personnage : état civile : nom prénom profession

Problématique Montrez que Baudelaire donne à ce voyage apparemment réel une portée symbolique et en fait une sorte de métaphore de la condition humaine, prise entre idéal et spleen. Introduction [Amorce] Les voyages vers des paradis exotiques constituent le thème de nombreux poèmes des Fleurs du Mal de Charles Baudelaire, tels « L’Invitation au voyage » ou « Parfum exotique ». Dans « Élévation », le désir d’ailleurs se sublime dans l’évocation d’un envol de l’esprit du poète dans l’espace infini

définit un artiste par un tableau imaginaire d'où l'apposition en début de vers et de strophe de l'artiste sauf Puget (seul sculpteur). ex : De Vinci vers 5 = miroir profond et sombre Rembrandt = triste hôpital, le peintre est définit par un lieu imaginaire, cela constitue la métonymie. le lieu imaginaire définit lui-même l'univers du peintre que Baudelaire essaye de reconstituer dans chaque quatrain, mise en scène de créatures mystérieuses (avec des symboliques), (chez Rubens ce sont les « oreiller