Réel, symbolique et imaginaire

- Grands thèmes apollinariens apparaissent : amour et vie, but de l’art / la présence du réel/ thème élégiaque de la fuite du temps, le souvenir, l’identité du poète, la blessure et la mutilation ici reliées à la guerre / présence des mythes antiques mais aussi d’un imaginaire médiéval pour mythifier le poète et sa dame/ femme aimée à sublimer / poésie et cosmogonie liée à l’orphisme d’Apollinaire ( ce qui qualifie le mieux son inspiration) : poète capable d’enchanter le monde par le lyrisme

correspond à la raison, au fait de mobiliser des concepts : c’est une réflexion conceptuelle qui nous permet de penser les objets. KANT : on n’a pas accès à la nature, on ne voit jamais que sa représentation. Il y a un glissement de la nature dans le Réel : elle est symbolisée. L’homme devient alors sujet actif, et plus passif, il va définir la nature en l’appréhendant (esthétique) et via des concepts (entendement)- exemple : la taxonomie, car ainsi la nature appartient au discours. Ces deux modes

l’intérieur. Cette enveloppe groupale se constitue dans un mouvement de projection que les individus font de leurs fantasmes sur cette enveloppe et qui permet l’établissement d’un psychisme transindividuel. - Le soi de groupe est imaginaire, il fonde la réalité imaginaire des groupes, c’est le contenant de la circulation fantasmatique et identificatoire entre les personnes. Appareil psychique groupal : tout groupe humain résulte d’une topique subjective projetée sur lui par les personnes qui le

vue sémiotique, il a une distinction nette entre le mot et le signe. Les mots ne sont pas des choses. C’est une coupure qui est irrémédiable. Ce sont deux choses qui appartiennent à deux mondes différents. • Chose = réel • Mot = symbolique. La caractéristique du réel est qu’il ne se répète pas. Alors que le mot se répète. Les médias traitent avec quelque chose de totalement différent. L’évènement est à chaque fois unique. Or, pour rendre cette unicité, les médias vont prendre part à des

lecteur la même émotion parce qu'il évoque des sentiments intimes communs à tous les hommes. Il favorise la divulgation d'un enseignement. Il donne aux êtres et aux événements une dimension qui les dépasse, un caractère extraordinaire, surhumain et symbolique PROCÉDÉS UTILISÉS champs lexicaux des larmes, de la douleur; exclamations, lamentations; métaphores et comparaisons à forte charge émotive champs lexicaux de la mort, de la souffrance, des passions, des sentiments héroïques; alexandrins Ton

préférons dire que le mythe désigne une croyance manifestement erronée au premier abord, mais qui peut se rapporter à des éléments concrets exprimées de façon symbolique car il dépend de l’interprétation du symbolisme qui en fait le sens profond. Le mythe constitue un besoin fondamental de l’être humain à travers lequel il exprime son imaginaire et sa pensée. L’étude des mythes constitue un secteur de l’histoire et de la critique littéraire qui prend de plus en plus d’importance. Le mythe est

sont donc des faits qui sont compréhensibles à travers des lois qui sont universelles. On voit bien que s’opère le glissement, c'est-à-dire on va considérer qu’il existe quelque chose comme des faits purs à découvrir. Il y a une sorte de fétichisme du réel. Comme si on pouvait dépasser la simple perspective sur les choses par la connaissance totale des choses. Kant avait montré que les choses ne se montrent que sous un certain angle, donc il parle de phénomènes et non de choses. Ils se montrent en fonction

présente des héros qui ont une dimension imaginaire plus que réelle ; vivant plus au niveau du rêve que de la réalité- si bien qu’entre eux et le monde il y a une inadéquation fondamentale. Mais avant que ce constat ne soit davantage explicité, ne faut-il pas considérer la notion d’absence dans son acception absolu ; c’est-à-dire ou rien n’est présent pas même l’idée de roman. Et les critiques se sont chacune arrêtée à une des formes de cette absence : absence de réel, d’Histoire, d’héroïsme, de passion

nourrisson • Peau psychique et acquisition de la distinction dedans/dehors et des processus de clivage ; • En cas d ’échec, continuation de l ’identification projective pathologique ; • Formation d ’une seconde peau réactionnelle à l ’inadéquation réelle. (CICCONE & LHOPITAL, 1994, 10-11) Les archétypes psychosociaux 13 Espace psychique du nourrisson objet 1 2 3 4 Stimuli externes ........ self self Unidimensionnalité Bidimensionnalité Identification adhésive Agrippements

l’envie. On ne pourra jamais dire à quoi ça fait référence si on n’a pas le contexte. Ça part de l’index. La fonction de référence dépend toujours du contexte. Le langage animal est toujours au niveau iconique ou indexical, mais jamais au niveau symbolique. Signifiant sur signifié (le contraire de Saussure). Les flèches sont supprimée car pas de lien stables entre signifiant et signifié. Le sujet 3 façons de comprendre le sujet de l’inconscient : 1. LE SUJET DE L’INCONSCIENT (LACAN)