Récitatif

contexture intime de leur langage est dissimulée par la beauté, d’un caractère presque universel, du morceau. Je ne crois pas que l’essence particulière de la musique de Gluck se trahisse autant dans tel air sublime que dans telle cadence de ses récitatifs où l’harmonie est comme le son même de la voix de son génie quand elle retombe sur une intonation involontaire où est marquée toute sa gravité naïve et sa distinction, chaque fois qu’on l’entend pour ainsi dire reprendre haleine. Qui a vu des photographies

hier. Sur le balcon, Claire Zahanassian arrive en matinée. Elle remue la main droite, puis la jambe gauche. Ici, on peut faire entendre quelques pincements de guitare. Par la suite, ils accompagneront les scènes du balcon, un peu comme pour un récitatif d'opéra : valses ou fragments de chants nationaux, selon le texte. CLAIRE ZAHANASSIAN. Me voilà réajustée. Roby, le chant populaire arménien ! (Mélodie à la guitare.) L'air préféré de Zahanassian ; il voulait l'entendre tous les matins. C'était

le papier quelques airs d'une pastorale dans le style italien. Sur les encouragements de son hôte, il reprit ces morceaux et esquissa, en l'espace d'une semaine, les paroles et la musique d'un opéra-comique, ‘’Le devin du village’’. Il finit le récitatif et « le remplissage » en trois semaines à Paris. Son désir d'entendre l'œuvre l'incita à la faire répéter à l'Opéra : son ami, l'écrivain Duclos, servit d'intermédiaire et, sans que l'on connût le nom de l'auteur, la pièce fut jouée. Elle plut immédiatement

nous permet de savoir qu’il est purement africain, ce chant utilise les glissandi qui font la particularité de tous les chants africains. Il évolue sur un accent quelque peu archaïque, Il évolue entre le parler et la chanter ou sous forme de récitatif. Le fait que nous pouvons avoir le début d’une phrase récitée et la fin chantée donne au chant un rythme irrégulier. Son accompagnement est fait en tierce parallèle par le maitre .nous avons les fins de phrases qui sont répétées pour

dispositif choisi fait alterner les scènes de dialogue entre les membres de la famille et plusieurs monologues (I,5 ; I,10 ; II,1), tous attribués à Louis. Ces monologues, sortes d’absences suspendues au temps dramatique, figurent comme autant de récitatifs qui révèlent l’intériorité tourmentée du personnage, tout en exhibant sa singularité au cœur de sa famille. Il en va de même pour l’« Intermède » dont la scène 3 évoque un « rêve » dans lequel le protagoniste redevient un enfant. De cette façon

doré. Le narrateur insiste à nouveau sur sa voix : sa voix avait gagné en force et en étendue, et les fioritures infinies du chant italien brodaient de leurs gazouillements d’oiseau les phrases sévères d’un récitatif pompeux181. Il ne s'agit plus d’une chanson populaire, mais d'un récitatif, de plus, la scène est comparable à celle où se produit Aurélie. A propos de cette représentation allégorique, le narrateur précise qu’elle n’est pas du genre classique, mais remonte « aux premiers essais

tonique, dominante et sensible ;  les mesures simples et composées ;  les formes simples binaires (AB) et ternaires (ABA) ;  quelques formes élaborées (suite, forme-lied, rondo, variation, forme-sonate, fugue) ;  quelques genres (air, récitatif, opéra, cantate, suite, sonate, concerto, symphonie) ;  quelques chapitres (deux au moins) de l'histoire de la musique, à choisir parmi la liste proposée. Cela implique que le candidat puisse :  exécuter par cœur ou avec partition un morceau

et l’articulation compréhensible permettent de capter l’attention du jury. La capacité à parler sans notes et à entrer en communication avec le jury dès l’exposé est incontestablement un plus. Le jury a eu parfois à déplorer des exposés purement récitatifs (du type lecture d’un récit de vie) ou encore faisant un usage démesuré de la paraphrase (trop nombreux sont encore les candidats qui répètent à l’envi le contenu de leur dossier, qui plus est en lisant un papier !). Ce manque d’aisance et de naturel

mise en scène pour la Comédie-Française de 1946. Il souligne l’harmonie géométrique qui préside à la composition de la pièce en multipliant les effets de symétrie et en orchestrant l’ensemble selon un principe de grands mouvements qui alternent récitatifs personnels et déplorations collectives. En imaginant des « projecteurs saignants », qui restituent l’impression brûlante du soleil crétois, perçant l’atmosphère par des faisceaux lumineux serrés, disposés dans les murs, il structure l’espace entier

petites bulles, elle indique que le personnage pense. • La réplique : il s’agit de la parole du personnage, inscrite dans la bulle. • L’encart : c’est un cerne généralement rectangulaire qui contient les parole du narrateur. • Le récitatif : c’est la parole du narrateur ; il s’agit d’une compensation elliptique. • L’onomatopée : c’est le fond sonore de la bande dessinée. C’est la représentation figurée des sons qui émaillent la scène de l’action. • La planche : c’est l’ensemble