Recit Littéraire Transmettre Vérités Portée Universelle

dont il faut se débrouiller. S’y dessinent avant tout des formes langagières idiomatiquement attachées, non à des entités substantielles, ou à des actes catégorisés, mais à des expériences et des attitudes subtilement modalisées, à des esquisses de récits, des « petits mythes » portés par des jeux physionomiques et stylistiques dont les dimensions imaginaires et linguistiques se font indiscernables. On pensera bien sûr en priorité au proverbe dit métaphorique, dont le message se délivre dans ce que

DES DROITS À LA PAIX L’HOMME & VICE VERSA DE E n 1948 était signée la Déclaration universelle des droits de l’homme. En 1958, Dominique Pire, le fondateur d’Îles de Paix, recevait le Prix Nobel de la Paix. Aujourd’hui, tant les droits de l’homme que l’idéal de paix sont plus que jamais d’actualité, ils sont intimement liés à la question toujours plus cruciale du développement. En effet, comment promouvoir et assurer durablement le développement dans une société qui ne connaîtrait pas la paix

Elle réussit ou échoue et donc elle est utilitaire pour le pouvoir. * L’idéologie politique pourrait se rapprocher de la doctrine politique. Doctrine, « dockere »= enseigner, c’est quelque chose que l’on veut enseigner/transmettre, donc un système d’organisation, une vérité que l’on veut inculquer à d’autres, ressemble donc par certain côté à l’idéologie car est un peu partisan. * L’IP et la théorie politique. Complètement à l’opposé de l’idéologie et de la doctrine car il n’y a plus de côté

éA'idemment le vers de dix syllabes : l'alexandrin, au contraire, est si bien tombé en désuétude, que deux mots en passant lui sont à peine consacrés, et qu'il est dédaigneusement traité d' « antique manière de rilhmer ». L'effort de l'auteur a porté sur les préceptes multiples qu'il donne pour entrecroiser les rimes, et c'est là aussi qu'apparaissent clans toute leur niaiserie puérile ces jeux de la forme auxquels les rhétoriqueurs préten- daient réduire la poésie. Que de façons de rimer

celui qui a compris qu’il n’est pas un dieu et qui, de ce fait, demeure un apprenti toute sa vie, la ténacité de celui qui poursuit la quête d’un idéal (inaccessible ?), celui de la vérité. Étymologiquement, le philosophe est celui qui « aime la sagesse », celui qui est épris de savoir et de vérité. Le chemin de la vérité est une longue route sinueuse qu’ont empruntée et continuent d’emprunter de nombreux penseurs depuis des siècles. Cette aventure fût initiée par les Anciens, et c’est elle que nous

nous procédons à un ensemble de définitions de la parole afin d’éviter l’amalgame qui surgit des notions analogiques : « Je nomme parole le résultat d’un acte individuel de langage, quelles qu’en soient les limites et les contraintes6 ». L’œuvre littéraire est en principe une mimésis qui se base sur la réalité et Aristote trouve que le drame « est représentation (…) d’action7 ». En effet, la plupart des écritures dramatiques partent du principe de la mimésis définie par Aristote dans sa Poétique.

le déploiement millénaire du langage et des langues. La langue française et sa situation actuelle sont les produits, d'abord d'un immense métissage européen, puis de flux et de reflux planétaires. On la voit menacée, confinée, après l'avoir crue universelle, humiliée après avoir été glorieuse. On la croit percluse et moribonde, alors que, toute vive, elle avait étouffé et le latin et ses dialectes, et bien des langues qui eurent le malheur de vivre auprès d'elle, le celte breton par exemple. On dénonce

conviction qu'en traitant les « représentations collectives » comme des systèmes de signes on pouvait espérer sortir de la dénonciation pieuse et rendre compte en détail de la mystification qui transforme la culture petite-bourgeoise en nature universelle. Les deux gestes qui sont à l'origine de ce livre - c'est évident - ne pourraient plus être tracés aujourd'hui de la même façon (ce pour quoi je renonce à le corriger); non que la matière en ait disparu ; mais la critique idéologique, en même temps

faut certainement faire une place éminente à Descartes et Pascal lecteurs de Montaigne. Certes, le mot et, en apparence, l’idée de modernité n’y figurent pas. Mais en découvrant le lien qui unit les pensées de Descartes et de Pascal au scepticisme universel de Montaigne, Brunschvicg vise un déchirement que nous éprouvons précisément comme la marque de la modernité : Descartes, Pascal, au moins pour une partie de son œuvre, représentent la science moderne, telle qu’elle s’affirme dans son assurance croissante

écrit entre autres Prière sur l’Acropole dans Revue des deux mondes en 1876 ou Souvenirs d’enfance et de jeunesse. Renan dans Le miracle Grec, affirme que l’art grec a atteint un absolu, la perfection de la beauté, mais il parvient surtout à nous transmettre une émotion.   Le miracle grec a consistait dans le passage d’une civilisation orale à une culture écrite   Mais également dans le passage d’une parole poétique et prophétique avec les premiers auteurs (Homère, Hésiode) à un discours logique