Recit Imaginaire

le mythe cède la place à une multitude d’histoires individuelles. Sujets et personnages Le roman consacre l’avènement du sujet, de l’individu contre l’épopée qui évoque une destinée collective. Irruption du « je » en littérature au 18ème avec récits à la première personne, pseudo mémoires et romans épistolaires. Rupture avec la communauté et invention du personnage ou du sujet. L’épique privilégie le nous, le roman privilégie le « je ». Le héros épique ne connaît ni doute, ni solitude, il

sur l’homme et son comportement en société ? L’efficacité de ce message implicite passe par le côté divertissent, séduisant le lecteur qui devient plus ouvert à la critique. Mais la pensée du lecteur peut se dissimuler dans l’aspect « histoire » du récit et passer en arrière-plan. Ce qui nous amène à réfléchir sur autre genre d’argumentation offrant cette même réflexion sur l’homme. L’argumentation indirecte regroupe un ensemble de genre ayant un côté divertissent, humoristique, ce qui invite plus

Première partie Chapitre I : CADRE THEORIQUE DE LA SCIENCE-FICTION Au cours du XIX ème siècle, naît des littératures populaires elles-mêmes issues des récits de colportages – un genre artistique qui prend le nom de science fiction d’emblée, cette fiction narrative romanesque se distingue par des relations qu’elle entretient avec la science : elle porte un regard critique sur ce que pourrait être l’avenir et/ou sur les univers inconnus, à partir des connaissances scientifiques du moment Notons

publié dans Gil Blas, à Paris en 1886. Une seconde version fut publiée directement dans un recueil auquel elle donna son titre. Ce recueil fut publié chez Ollendorff en 1887. Le Horla est une nouvelle fantastique de Maupassant. C’est un des premiers récits fantastiques que Maupassant a écrit. Le Horla se présente sous la forme d’un journal inachevé qui laisse penser que son propriétaire n’ait sombré dans la folie. Il marque le début de la folie de son auteur, Guy de Maupassant, qui mourra 6 ans plus

volonté s'affirme particulièrement au siècle des Lumières, la publication de L'Encyclopédie en étant peut-être l'exemple le plus représentatif. Pour transmettre leurs idées, certains écrivains préfèrent utiliser des personnages et des situations imaginaires, ayant ainsi recours à la fiction. C’est pourquoi nous pouvons nous demander, quels avantages y a-t-il à recourir à une histoire fictive et divertissante pour argumenter. Nous verrons ainsi dans une première partie comment la fiction permet de toucher

ont-ils pourseul but de nous détourner de la condition humaine et de son néant ? Les mythes ne sont-ils qu’un divertissement ou peuvent-ils avoir des vertus pédagogiques ? Pour la plupart d’entre nous, les mythesne servent qu’à nous divertir. Ces récits des temps fabuleux et héroïques n’auraient donc pour seule utilité que celle de nous amuser et de nous distraire. Les mythes seraient alors semblables auxcomptines pour enfants. Pourtant les mythes s’adressent également aux adultes, ils ont donc également

l'Académie française, le sens premier du mot mythe, apparu au XIXe siècle, est » un récit fabuleux, contenant généralement une morale ». Le dictionnaire Larousse définit le « mythe », comme un « récit mettant en scène des êtres surnaturels, des actions imaginaires, des fantasmes collectifs » Les plus célèbres sont les récits de l’Illiade et l’Odyssée ou la Genèse dans la Bible. L'Iliade et l'Odyssée racontent des récits mythiques de la Grèce ancienne transmis de génération en génération, par la tradition

par le rêve, la surexcitation mentale, et se nourrit d'illusions et de terreurs. 1 Les hallucinations dont paraît souffrir le protagoniste du Horla ouvrent la voie du fantastique intérieur, plutôt psychopathologique. La folie devient dans le récit fantastique un thème qui par sa susceptibilité de recevoir plusieurs interprétations possibles peut être considéré comme un procédé particulier nécessité par les conditions spéciales du genre. D'autant plus quand on considère le fantastique,

Certains contes d’origine indienne se sont transmis oralement en Perse puis se sont propagés dans tout le monde arabe, s’enrichissant perpétuellement. Un récit arabe du X e siècle relate l’existence d’un volume persan racontant l’histoire de Shahrâzâd, intitulé Hezar Efsane (Les Mille Contes), mais dont ne subsiste aucune trace. Ces récits sont donc le fruit d’une tradition orale transmise par les marchands ; des conteurs arabes ont modifié cette première version et l’ont adaptée à leur culture

Le fantastique est un genre littéraire que l'on peut décrire comme l’intrusion du surnaturel dans le cadre réaliste d’un récit, autrement dit l’apparition de faits inexpliqués mais théoriquement explicables dans un contexte connu du lecteur, ressemblant au merveilleux mais différent tout de même. C'est-à-dire que le merveilleux est un récit imaginaire dans un monde imaginaire avec des personnages imaginaire tandis que dans le fantastique il y a des faits inexpliqués qui font apparition dans le monde réel. II)