Réalité scénarisée

recherche l’objectivité. Mais le portrait ne se résume pas qu’à cela puisqu’en tant que représentation il peut, plutôt qu’imiter le réel, le modifier. Le portrait nous pousse alors à nous interroger sur la liberté de l’homme face au portrait et sur la réalité qu’il exprime. Le portrait permet-il donc de représenter le réel tel qu’il est ou n’est-il qu’une illusion, une représentation subjective de ce que l’artiste cherche à exprimer ? Quelles sont alors ses fonctions ? A partir de cette interrogation

distinction est majeure et reconnue car il ya une certaine hiérarchie entre ces deux notions. La politique n’a pas toujours existé, ce n’est que depuis quelques siècles qu’un certain nombre de société vivent sous un régime politique. La politique est une réalité assez récente, alors que le politique a toujours existé. C’est quelque chose qui est une condition même de l’existence d’une société. I/ Aspects et limites de la communication politique A/ Aperçu du domaine La communication politique est

capacité des animaux à rire. Il faudrait en réalité distinguer l’humour du rire. Si le rire est un processus de réaction physique à un stimulus, l’humour a quelque chose de plus intellectuel. Ce serait donc dans cette brèche qu’il faudrait distinguer l’homme de l’animal, reformulant ainsi la phrase de Rabelais : « L’humour est le propre de l’homme. » Quant aux différentes images qui nous sont livrées montrant des animaux riant, elles ne résulteraient en réalité que d’une interprétation de l’homme par

on peut recuperer la deformation de la realite par son amplification et dramatisation et la tonalite epique introduite par la lutte de la machine dans la neige. Ces deux procedes forment les centres d’interet de cet extrait et on trouve leur argumentation dans la personnification de la locomotive, les images de la neige, les adverbes et les adjectif qui grossissent les dimensions et les contrastes de couleurs, en ce qui concerne l’ámplification de la realite dúne part et d’autre part, les phases de

d'obéir à ce que sa nature commande. Puis Kant, en vient vers la notion du devoir qui implique métaphysiquement, celle de liberté. Définition de la Métaphysique : « La métaphysique est une branche de la philosophie qui étudie les principes de la réalité au-delà de toute science particulière. Elle a aussi pour objet d'expliquer la nature ultime de l'être, du monde, de l'univers et de notre interaction avec cet univers. » La dualité intérieure de l'action accomplie librement par devoir est de la nature

divers (finance, informatique, banque, secteur de la santé…). Cette expérience très enrichissante, m’a permis tout d’abord d’être autonome dans mes missions, de la sélection des candidats sur CV aux entretiens, mais aussi d’être confrontée à la réalité de la sélection en cabinet, et à la réactivité imposée par ce type d’emploi. Cette expérience m’a donc permis de renforcer les connaissances que j’avais acquises lors de mon stage chez Y, en tant que « chargée de recrutement », lors duquel j’avais

reliefs par des ombres », le pouvoir de conviction de l’image cinématographique est démultiplié par la présence du mouvement, la présence du son et le fait que celui qui la regarde connaît sa genèse et sait que ce qu’il voit est l’enregistrement d’une réalité qui a existé. Il y a de fait une double illusion : celle de la perspective et celle de l’image cinématographique dont la nature-même 1 Nous considérons l’architecture dans ses dimensions d’édifice, de ville et de territoire, cf. F. Very « Projet

pratiquement réel avec la personne étant donné les progrès de cette technologie. De plus, les journaux ou la télévision nous permettent d’être informer sur les différents événements qui se produisent dans le monde qui nous entoure, ce qui est en réalité une espèce lien avec celui-ci. Cependant, cette prolifération de moyens de communication entraîne parfois, même souvent, un manque de communication réel. Comme nous le dit bien ce journaliste contemporain : «  Plus les moyens de communication se développent

histoire ». PROBLÉMATIQUE Le fait historique se donne-t-il tel quel à l’historien ou est-il (re)construit par ce dernier ? EXPLICATION Pas de trace ni de compréhension du passé sans historien C’est l’historien qui, rétrospectivement, institue une réalité présente comme document et comme fait historiques. En effet, le passé n’est plus et n’est connaissable qu’à partir de ses traces présentes. Mais le présent ne fait pas naturellement signe vers le passé : il faut lui poser certaines questions. Telle

Truffaut, Wenders ou Zvianguintev. A d’autres endroits, Guy Bedouelle délaisse les questions théologiques pour une approche plus classique (en se penchant par exemple sur la question du rapport de la fiction au réel dans le chapitre « Fiction, réalité, vérité ») ou résolument plus subjective (ainsi quand il fait l’éloge dans le chapitre « Le film-culte » de deux de ses films préférés : Dead again et In the mood for love). Ces passages peuvent sembler moins lumineux que ceux consacrés au « combat