Ray Bradbury

Compte –rendu de lecture Fahrenheit 451 a été écrit par Ray BRADBURY et publié en 1953 aux Etats-Unis et en 1955 en France. Il appartient à la catégorie des romans de science-fiction. Ray Bradbury est né en 1920 dans l’Illinois en Amérique. Il se destine très rapidement à une carrière littéraire, fondant à l’âge de quatorze ans un magasine amateur pour publier ses textes. Il rencontre le succès qu’à la fin des années 40, avec la parution d’une série de nouvelles plus tard réunies sous le

Vivre dans un monde où la vie est réduite aux divertissements, dans un monde où la pensée a presque totalement disparu, dans un monde où la technologie dépasse tout et que tous les livres sont brûlés, c'est dans cet univers que Ray Bradbury nous plonge dans son roman Fahrenheit 451. La plupart des personnages de cette œuvre sont enfermés dans la vision du monde d'une société uniforme, mais quelques-uns s'efforcent de vivre contre ce mode de vie. Le personnage Clarisse McClellan fait partit de ce

RAY BRADBURY – FAHRENEIT 451. Le titre parle de la temperature a laquelle le papier s'enflame. Il evoque deux facon de bruler un livre : les destruction par le feu organisé par les pompiers et la lecture qui est devenu impossible par le desinteret de la population pour les livres. Il crée un effet de chaleur, comme si on brulait sur place en lisant le titre; c'est l'effet que j'ai percu. 2. Il y a un situation initiale : Guy Montag est un pompier, pompier du livre science fiction :

Fahrenheit 451 est un roman écrit par Ray Bradbury en 1953 (année ou culmine aux Etats Unis la psychose anticommuniste engendrée par la guerre de Corée et les explosions atomique soviétique) Son but est de faire peur aux gens et pour que l’univers terrifiant qui est ici imaginé ne devienne jamais réalité. Tous les propos de ce roman restent malgré le temps parfaitement pertinents et le deviennent même de plus en plus. Tout le long de ce livre « l’Etat » maintient les citoyens dans l’ignorance et

Fahrenheit 451 prend place dans un futur proche, aux Etats-Unis. Ray Bradbury présente une vision dystopique du monde gouverné par l'hyper-consommation, l'individualisme et l'ignorance. Contrairement à d'autres dystopies comme 1984 de Georges Orwell, la population est globalement heureuse, abreuvée de divertissements divers (sports, émissions télévisées...) au détriment de la culture. C'est ainsi que naît la haine des livres. Ray Bradbury explique à travers la bouche du personnage Beatty qu'une personne

se laisse envahir par la télévision ainsi que le rôle de celui qui exerce le pouvoir de la télévision sur eux, il montre de façon claire et concise, les dangers de la télévision. Le quatrième document est un extrait du roman Fahrenheit 451 de Ray Bradbury qui dénonce l’absurdité de ce que l’on voit à travers cet écran et l’importance d’autre source d’informations telles que la lecture. Enfin le corpus se termine sur un dessin de Sergueï paru dans Le Monde le 4 mai 2001 et qui présente notre société

L'utopie dysfonctionnelle de Fahrenheit 451 : Une réflexion sur l'existence d'une société parfaite Dans le roman dystopique  Fahrenheit 451 de Ray Bradbury, l'auteur dépeint une société futuriste où les livres sont interdits et la pensée critique est supprimée. En effet, dans ce roman la société est dépourvue de créativité, de liberté d'expression et de la capacité de remettre en question les idées établies. Les individus sont passifs, accros aux divertissements

Biographie de l’auteur : Maître incontesté du récit de science-fiction, Ray Bradbury écrit tour à tour des romans, des essais, des nouvelles, des poèmes et des pièces de théâtre. Il quitte son Illinois natal avec sa famille pour l'Arizona, puis part à Los Angeles en 1934. Au collège, l'enfant noircit les pages de ses cahiers d'histoires fantastiques, et publie ses premiers récits en 1941, dans des magazines comme 'Weird Tales'. Son style onirique n'est pas au goût du public de l'époque et il

  Bonheur et liberté dans la science fiction        Aldous Huxley, Le Meilleur des mondes  Ira Levin, Un bonheur insoutenable  Ray Bradbury, Fahrenheit 451  Henrik Stangerup, L’homme qui voulait être coupable  Ievgueni Zamiatine, Nous autres        Aldous Huxley, ​ Le Meilleur des mondes   «  ​ Le   meilleur  des  mondes  (​ Brave  New  World​ )  serait,   selon  Aldous   Huxley,  un  classique  très  shakespearien.  Quels  sont  les   rapports  entre  cette  œuvre  et  la  sempiternelle  question 

  Bonheur et liberté dans la science fiction        Aldous Huxley, Le Meilleur des mondes  Ira Levin, Un bonheur insoutenable  Ray Bradbury, Fahrenheit 451  Henrik Stangerup, L’homme qui voulait être coupable  Ievgueni Zamiatine, Nous autres        Aldous Huxley, ​ Le Meilleur des mondes   «  ​ Le  meilleur  des  mondes  (​ Brave  New  World​ )  serait,  selon  Aldous  Huxley,  un  classique  très  shakespearien. Quels sont  les rapports entre cette œuvre  et la  sempiternelle  question  du bonheur