Ray Bradbury

d'esclavage se ferait grâceà la consommation et au divertissement. * Ce roman dystopiquee s’apparente au classique, Fahrenheit 451 de Ray Bradbury de 1953. Fahrenheit 451 se déroule aux États-Unis. Il présente une vision dystopique du monde gouverné par l'hyper-consommation, l'égoïsme et l'ignorance. Dans cet univers, naît la haine des livres. Ray Bradbury explique à travers la bouche d’un personnage, qu'une personne particulièrement inculte aura tendance à nourrir de la jalousie et la haine

gelée et 212 pour l'eau bouillante. A l'origine, Fahrenheit avait pris à la place de 212, la valeur 96 qui est la température du corps humain, mais elle a l'inconvénient de varier légèrement. A titre d'information, le livre 'Fahrenheit 451' de Ray Bradbury, fait allusion à la température à laquelle un livre prend feu, soit environ 232,8° Celsius. Kelvin : L'échelle Kelvin, du nom du physicien anglais Kelvin, est adoptée par tous les scientifiques de la planète. Elle se base sur l'échelle centigrade

tout texte d'anticipation sociale décrivant un avenir sombre Cette forme littéraire a été rendue célèbre par Le Meilleur des mondes (1932) d'Aldous Huxley, La Kallocaïne de Karin Boye (1940), 1984 (1948) de George Orwell, Fahrenheit 451 (1954) de Ray Bradbury et Nous autres (1920) de Ievgueni Zamiatine.

d’anticipation est bien une contre utopie il en détient les caractéristiques : présenter des situations réelles ou vraisemblables comme le totalitarisme en exagérant les traits pour faire réfléchir ou mettre en garde le lecteur. Ouverture : Fahrenheit 451, Ray Bradbury, 1953

et de cacher". On peut donc affirmer qu'il ne représentait pas la réalité. Il la déformait à ses besoins. L'imaginaire permet de faire passer un message peut-être plus facilement au lecteur en voyant plus loin dans le futur. De cette manière Ray Bradbury nous fera réfléchir sur la définition même de ce qu'est le bonheur, notion pourtant très abstraite car dépendant du caractère de chacun mais parviendra tout de même à nous faire prendre conscience du fait que le bonheur n'est pas ce que l'on peut

avec la curiosité nouvelle pour le pittoresque social, les traits de moeurs et de caractères hardis ou scandaleux. Balzac, Le Père Goriot Primo Lév Rabelais, Gargantua - Pantagruel Shakespeare, MacBeth Victor Hugo, Hernani Camus, La peste Ray Bradbury, Fahrenheit 451 Voltaire, Candide Guy de Maupassant Zola Flaubert

commence-t-il, un siècle où les intellectuels et la classe cultivée rêveront aux moyens d’éviter les utopies et de retourner à une société non utopique, moins parfaite et plus libre». Ce monde qui se veut parfait évoque déjà celui du Fahrenheit 451 de Ray Bradbury ou d’Un bonheur insoutenable d'Ira Levin. Toutefois, Le Meilleur des mondes est plus souvent rattaché à la littérature générale qu'à la science-fiction, comme d'ailleurs 1984 de George Orwell auquel il est souvent comparé, les deux ouvrages présentant

Dans sa nouvelle de science-fiction Un coup de tonnerre (A Sound of Thunder) publiée en 1952, l'écrivain Ray Bradbury expose la problématique du voyage dans le temps et montre, si de telles occasions se présentaient, quel serait l'impact sur l'avenir si des individus venus du futur altéraient un élément du passé, aussi petit qu'il soit. Dans la nouvelle, un voyageur du temps écrase un papillon au Jurassique et cette négligence entraîne des conséquences dramatiques 60 millions d'années plus tard.

Antoine SPEZZATTI DSY221 Professeur : Yvon PESQUEUX Fiche de Lecture Fahrenheit 451 Ray BRADBURY Édition Folio SF Année 2013 - 2014 Page 1 sur 24Sommaire Biographie de l’auteur..........................................................................................................................3 Postulats................................................................................................................................................4 Hypothèses...................................

guerre de Troie n’aura pas lieu ; Electre Jean Anouilh : Antigone Jean Genet : Les bonnes Jean Cocteau Bernard-Marie Koltès Ecrivains étrangers : Kafka : La métamorphose Aldous Huxley : Le meilleur des mondes George Orwell : 1984 Bradbury, Ray : Fahrenheit 451. Gabriel García : Marquez : Cent ans de solitude Cinéma : Jean Renoir, C. Lelouch, A.Techine, C. Chabrol, C. Berri, etc.