Rationalité limitée

de l’entreprise + pérennité. - Décisions opérationnelles sur du court terme ont un impact restreint : entreprise va privilégier les décisions opérationnelles au dépend des décisions stratégiques.  Document : Simon a une vision théorique de la rationalité qu’il a schématisée par un processus de décision. IMC : résolution de problème - I : Intelligence = Phase d’analyse du problème en cas de dysfonctionnement - M : Modélisation = évocation de différentes solutions - C : Choix = sélection de la

est opportuniste car face à des contraintes il utilise ses ressources pour améliorer la situation. Comme le démontrait Michel Crozier : « la prise en compte de la culture ne doit pas conduire à une vision essentialiste, la prise en compte de la rationalité ne doit pas dériver vers l’homo economicus. Alors que l'individualisme méthodologique est un must comme présupposé de méthode, sa réduction à l’homo economicus est d'une grande pauvreté et, pour cela, manque toute les réalités. Bien sûr, dans un

méthodologique et macroéconomique, étalon de mesure : valeur travail, rationalité des agents : homo oeconomicus (recherche intérêt personnel) et suivent une main invisible, autorégulation par le marché, concurrence pure et parfaite. • Approche néoclassique : Approche : individualisme méthodologique et microéconomique, étalon de mesure : valeur utilité ou profit, production réalisée à l'aide du facteur travail et capital, rationalité des agents : homo oeconomicus (recherche intérêt personnel) et suivent

sources de pouvoir sécrétées par l'organisation ? - Boudon : Peut-on considérer tout phénomène social comme un effet émergent ? - T1 : Peut-on se contenter d'une vision purement adaptative des comportements sociaux ? - T2 : La rationalité de l'acteur est-elle limitée ou générale ? - T3 : Comment relier comportements individuels et phénomènes collectifs ? 2004 - 2 - Merton : La distinction entre fonctions manifestes et fonctions latentes ? - Crozier : Intérêts et limites de la notion d'incertitude

considérations : l'une sur le comportement économique des agents, l'autre sur l'environnement de la transaction. Concernant tout d'abord le comportement économique des agents, il postule deux élément : d'une part, le fait que les agents ont une rationalité limitée (idée qu'il reprend à Herbert Simon), c'est-à-dire qu'ils n'optimisent pas comme le soutient la doctrine économique traditionnelle, mais qu'ils s'arrêtent une fois qu'une solution leur parait satisfaisante ; d'autre part, le fait que les agents

l'origine de l'incomplétude des contrats dans la théorie des coûts de transaction, à savoir la rationalité limitée des agents et l'incertitude à laquelle ils font face, sont selon Williamson, prises en compte de manière satisfaisante par la théorie des contrats incomplets : « Ainsi, Grossman et Hart emploient les termes de « non-contractualisation » et de « non-vérifïabilité » plutôt que celui de rationalité limitée. Ils font référence plutôt à des « investissements spécifiques à une relation » qu'à la

concurrence = dynamique, un processus. Section 2 Principaux concepts des nouvelles théories de la firme * Concept de rationalité Théorie économique traditionnelle fondée sur paradigme de homoeconomicus avec poursuite objectif donné & personnel & prise de décision pour maximiser objectif sous contrainte. Donc rationalité agents jugée f° résultat. Rationalité maximisatrice permet calculs d’optimisation sous contrainte qui supposent connaissance tous choix possibles & les résultats

L’existence d’une information imparfaite et asymétrique, • l’incertitude et l’aversion au risque de l’agent économique, • les concepts de rationalité limitée et d’opportunisme, • l’existence de coûts de transaction et de gouvernance, • l’existence d’un capital spécifique non mobile et non déployable. L’hypothèse de rationalité limitée et d’opportunisme remet en cause la vision de l’agent économique néoclassique qui serait capable d’analyser une information qui serait complète

d’investissement;  Décisions antagonistes : caractérisées par des éventualités constituées de stratégies des concurrents. Problèmes liés aux actions commerciales; II – LE PROCESSUS DE PRISE DECISION 1 – Le Modèle IMC (Herbert A. Simon) (modèle de la rationalité limitée) La prise de décision se décompose en plusieurs étapes qui permettent de comprendre et d’expliquer les étapes de la prise de décision. Le modèle sociologique élabore les processus mentaux de la décision de Herbert Alexander Simon dénommé IMC

de la firme. Dans les théories traditionnelles ou néoclassiques de la firme, la firme n’a pas fait l’objet d’une analyse détaillée. On a une idée simpliste de la firme. La firme est représentée comme un agent économique individuel, doté d’une rationalité parfaite et qui va mécaniquement chercher à s’adapter à son environnement. Cette conception issue de la micro-économie classique suppose également l’existence d’information parfaite et l’optimisation des choix. C’est pour cela que l’on la qualifie