Rapace

montre bien la tristesse et l'angoisse du moment. II Dans un monde bouleversé : On peut observer une métaphore vers 6 : les géants furieux se dressaient sur l'Europe. Les aigles évoqués vers 7 connotent à la fois la violence que peut faire preuve un rapace et aussi la noblesse, le symbole qu'il est pour les empires tels que l'empire russe ou Austro-hongrois. Apollinaire veut dire par là que Ces empires partent à la chasse. La succession de créatures : les géants, les aigles et les poissons vivant dans

dents» comme un cheval, les deux amis (Schucke et le Cousin Pons) sont deux mouches et même madame Sauvage a un prénom qui se rattache aux bêtes. Indépendamment des noms et des adjectifs qui qualifient les personnages, ils adoptent une attitude de rapace. Certes, tous veillent sur les deux amis, ils rôdents comme des vautours. Le mot d’ordre est le même pour tous :«veiller sur eux comme une araignée veille sur une mouche prise» (ligne 8). En plus des personnages secondaires, le Cousin Pons est

Staphylinide * Syrphe ceinturé | ------------------------------------------------- Les petits animaux du jardin * les vertébrés * les mammifères (rongeurs, insectivores) * les reptiles (lézards, serpents) * les oiseaux (rapaces, passereaux, pigeons) * les amphibiens (batraciens, grenouilles, crapauds) * les poissons (carpes, épinoches) * les mollusques * les gastéropodes (escargots, limaces) * les annélides (lombrics, sangsues, ...) * les

antiques sont dénigré, ils semblent être puéril, terre à terre, simple d’esprit: « pas du monde bien intéressant » ; « des rancuniers qui ne pensaient qu’à leurs histoires de coucheries » ; « à des bagatelles ». Ils lui « tournaient autour » comme des rapaces tournerai autour de leur proie. Le choix du vers : « Faut-il qu'un si grand cœur montre tant de faiblesse ? » dans lequel il ya a une antithèse apporte une touche d’originalité. Andromaque : utilisation de l’antonomase « la veuve »

Fénice qui, demi morte et blessée par les médecins, se fit soigner par Thessala. Pendant un ans, les amants se voient dans la tour secrette. Mais un jour ils sont surpris par un chevalier qui avait escaladé le mur à la recherche de son épervier (rapace voisin du faucon). Poursuivi par Cligès qui lui coupa une jambe, le chevalier en fait part à l'empereur, qui le prenant pour fou, se rend tout de même au tombeau et interroge Jean. Tandis qu'il dévoile à Alis comment ils ont procédé, sans pour autant

d'une monstache. Comme Arlequin, il arbore non pas une mais deux verrues sur le front... Verrues ou cornes du diable ? 4. Pantalon :Ce qui fait la force du masque brun de Pantalon est sans aucun doute son nez aquilin et proéminent, tel le bec d'un rapace. Il porte, en outre, de longues et fines moustaches grises, ainsi qu'une barbe blanche allongée en pointe au menton. Ce qui produit d'ailleurs un effet comique lorsqu'il parle. 5. Le Docteur :S'agit-il d'un masque, ou d'un morceau de masque ? En

regards et regarder l’effet qu’il produit, il se présente comme un séducteur à l’œuvre ; « un de ces regards de joli garçon, qui s’étendent comme des coups d’éperviers. » L’épervier étant un prédateur, il y a ici une comparaison implicite entre le rapace et Georges Duroy, on peut présager que celui-ci aura un comportement de prédateur vis-à-vis des femmes, ce qui ne le rend pas sympathique. - Le narrateur omniscient émet donc un jugement négatif sur son personnage : « Il ressemblait bien au mauvais

chasseur expert dans l’art du tir ; l’adjectif « extraordinaire » qui décrit cette habileté confère à la description réaliste une couleur légèrement fantastique. En effet, le personnage semble avoir un don de vision hors du commun, à l’image des rapaces qui ciblent leurs proies de très haut. 4. Dans le contexte descriptif qu’on vient d’étudier, la narration à la première personne augmente le réalisme de la situation. Le narrateur se présente comme le témoin d’un épisode qu’il a lui-même vécu,

habituel […] repose sur une logique de progression, mais aussi de compensation : à la situation difficile du goupil réduit à la fuite répond d’abord une épreuve, la meule de foin assiégée par l’Oise, puis un renversement de situation avec l’arrivée du rapace, qui permet au goupil de donner toute la mesure de son ignominie. »[1] Diptyque qui, d’un point de vue structurel, s’accorde donc parfaitement aux canevas généraux du RdeR, avec les variations de situations propres aux aventures du goupil. Cependant

pensait « captif », mais non! Cette cage n’est pas une prison sûre. Le poète doute qu’on puisse empêcher l’oiseau de s’envoler. D’où son inquiétude : si l’oiseau rompt sa cage, qu’adviendra-t-il de lui? Strophe 7 Cet oiseau est un carnassier. Un rapace. Rien du petit oiseau tout de grâce et de légèreté. Il ronge de l’intérieur les barreaux de sa cage. Il se nourrit de sa cage. Il semblerait même qu’il doive manger le cœur du poète pour se libérer. Strophe 8 Plus de doute possible, l’oiseau prendra