Raisonnement Quintilien

Panurge, laisse libre-cours aux transports de son imagination. 2. Un raisonnement ab absurdo, fondé sur des observations essentiellement justes. - Réfutation de l'hypothèse de départ, par déduction logique de conséquences ridicules. - Panurge s'impose une argumentation a contrario. La preuve est remplacée par la réfutation d'une assertion inverse. - Parce que l'argumentation de Panurge est le fruit d'un raisonnement d'une subtillité poussé jusqu'à l'excès, il convient de la qualifier d'argutie

pas en permanence à l’esprit puisque nous l’acceptons tous. Néanmoins, l’acharnement à trouver la vérité nous montre combien il est difficile de la connaître véritablement. Tout d’abord, l’interprétation du « vrai » peut être une multitude de raisonnement bien qu’il est possible de s’en tenir à une interprétation primaire ; la sienne. De plus, qu’est ce qui nous pousse à ne pas rechercher la vérité ? Que peut-il arriver si un homme refuse d’adhérer à une vérité si celle-ci contredit ses certitudes

première phrase, l’auteur donne une autre explication pour montrer une différence entre l’instinct et la raison. De cette façon « on en ôte la principale qui consiste en ce que les effets du raisonnement augmentent sans cesse, au lieu que l’instinct demeure toujours dans un état légal ». Les « effets du raisonnement » sont les résultats de ce qui est produit par la faculté de sa capacité de réflexion. En effet, l’homme fait différentes réflexions grâce à sa raison, et est capable de retenir les résultats

Lecture analytique d'un extrait d'essai : '' Des femmes et de leur éducation '' de Choderlos de Laclos Définition d'une argumentation : c'est le fait de défendre son point de vue (1)sur un sujet (2) débloquant un raisonnement (3) qui prend appui sur des idées (4), elles même illustrés par des exemples (5) 1 thèse adverse ( explicite/ implicite ) § thèse soutenue ( explicite ou implicite ) a exprimé sous forme d'une phrase verbale : ''l'auteur pense que [ …] = thèse

capacité de raisonner est en permanence étendue (enrichissement de la BC). • séparation totale de la connaissance et des moyens de l’utiliser. Un SE se compose essentiellement d’une BC et d’un système de déduction (MI). • possibilité d’expliquer le raisonnement suivi par le système pour résoudre un problème donné. 3 Caractéristiques d’un SE • Dialoguent avec l’utilisateur dans un langage proche du sien “ quasi- naturel ” pour l’acquisition de l’expertise, la définition du problème à résoudre

technique, d’approfondir nos connaissances. Les sens semblent donc nous fournir des connaissances de la manière la plus simple, la plus basique qui soit. Mais est-ce que les sens sont-ils suffisants ? Est-ce que l’apprentissage, les traditions, le raisonnement et le calcul ne peuvent-ils pas, eux aussi, nous apporter des connaissances ? Indépendamment de nos sens ? Et même si nous admettions que nos sens suffisent à nous fournir notre savoir, est-ce que cela ne dépend que d’eux, ou peut-on prendre en

" Nous connaissons la vérité, non seulement par la raison, mais encore par le cœur ; c'est de cette dernière sorte que nous connaissons les premiers principes, et c'est en vain que le raisonnement, qui n'y a point de part, essaye des les combattre. Les pyrrhoniens, qui n'ont que cela pour objet, y travaillent inutilement. Nous savons que nous ne rêvons point ; quelque impuissance où nous soyons de le prouver par raison, cette impuissance ne conclut autre chose que la faiblesse de notre raison, mais

un fait ; – l’argument logique, un type d’argument qui s’inscrit dans un raisonnement logique. • Les exemples servent à renforcer l’argumentation : – l’exemple illustratif, comme son nom l’indique, sert à illustrer un argument : il le rend plus concret, plus compréhensible ; – l’exemple argumentatif remplace un argument : c’est le cas du récit dans une fable (? fiche 36). 3 Les types de raisonnement • Le raisonnement déductif va du général au particulier. On part d’une loi, d’un axiome, d’une

«Nous connaissons la vérité, non seulement par la raison, mais encore par le coeur; c'est de cette dernière sorte que nous connaissons les premiers principes, et c'est en vain que le raisonnement, qui n'y a point de part, essaye de les combattre. Les pyrrhoniens, qui n'ont que cela pour objet, y travaillent inutilement. Nous savons que nous ne rêvons point, ; quelque impuissance où nous soyons de le prouver par la raison, cette impuissance ne conclut autre chose que la faiblesse de notre raison,

véhément, mais il reste lucide. Las Casas est décontenancé et n’est pas à l’aise ; il va avoir beaucoup de mal à réfuter les propos de Sépulvéda. L’auditoire est transparent mais attentif ; sauf le supérieur qui est à côté de la plaque.     Le raisonnement de Sépulvéda est imparable. On peut imaginer une éventuelle riposte de Las Casas, mais aussi que l’assemblée suivra l’opinion de Sépulvéda après cette argumentation impressionnante…