Raisonnement Et Demarche Clinique Infirmiere Avc

UNITE D'ENSEIGNEMENT 3.1.S1 Raisonnement de démarche clinique infirmière SOMMAIRE SITUATION Monsieur Paul 89 ans agriculteur a la retraite de nationalité française,il est veuf depuis un an et a une fille qui lui rend visite tous les jours. Il vivait encore a son domicile, et a été admis en service de court séjour gériatrie le 5 avril 2013 pour dépression,altération de l'état général (AEG) avec une perte d'appétit. Monsieur Paul est pris en charge par la sécurité sociale et mutuelle,il

atteindre le seuil de réussite, l’étudiant devra prouver qu’il est capable: de rédiger un rapport de stage relatif à une prise en soins d’une personne adulte hospitalisée ou séjournant en maison de repos pour personnes âgées suivant les étapes de la démarche en soins infirmiers. Pour la détermination du degré de maîtrise, il sera tenu compte de la capacité de l’étudiant à utiliser ses acquis théoriques pour justifier avec pertinence ses observations et de la qualité de la relation qu’il peut établir

mandat du psychologue de la santé au sein d’une structure de soin. En effet, les différents acteurs de l’institution hospitaliére (médecins, infirmières, thérapeutes, patients, . . .) vont se créer des représentations sur le rôle du psychologue à l’hôpital. Mais quel est exactement son rôle ? Le psychologue de la santé va, en fait, chercher, par la démarche clinique, les comportements du patients adaptatifs ou inadaptés à sa situation médicale et à lui permettre de surmonter la rupture que représente

RÉALITÉS QUOTIDIENNES, LES MENTALITÉS, LES QUALIFICATIONS SONT TRÈS ÉLOIGNÉES DE CELLES PERSONNELLES. CELA OUVRE L’ESPRIT, ET C’EST AUSSI DANS CE CONTACT PARTICULIER QUE RÉSIDE L’INTÉRÊT D’UN TEL STAGE, CAR POUR ÊTRE UN BON SOIGNANT, LES COMPÉTENCES CLINIQUES NE SUFFISENT PAS. IL FAUT Y AJOUTER LA CONSIDÉRATION DE LA SPÉCIFICITÉ DE CHAQUE PATIENT, AU TRAVERS DE SA CULTURE, DE SON HISTOIRE, DE SA PROVENANCE, DE SON APPARTENANCE SOCIALE ET DE SON ENVIRONNEMENT. .........................................

succès, j’en suis convaincue. Elle est essentielle pour faire connaitre la spécificité de la recherche sur l’aide à l’autonomie, une démarche qui s’appuie très largement sur les sciences humaines et sociales, une démarche qui fait une large place à l’innovation, à l’expérimentation, à la recherche appliquée parfois plus encore que fondamentale, encore que… Une démarche surtout qui exige la participation des personnes concernées. Ce principe de participation est au cœur de la loi du 11 février 2005

BEZANAHARY : interniste, médecin des hôpitaux, CHU Limoges. Thierry BOËLY : médecin généraliste, médecin des hôpitaux, CHU Limoges. Christine BONNET : rhumatologue, médecin des hôpitaux, CHU Limoges. Dominique BoRDESSOULE : professeur d’hématologie clinique, CHU Limoges. Xavier CAHUET : médecin généraliste, Dournazac. Jean-François CHAMBRIER : médecin généraliste, saint Bonnet/Briance, attaché CHU Limoges. Éric DENÈS : interniste, infectiologue, médecin des hôpitaux, CHU Limoges. Jean-Jacques DUMOND

Présenté et soutenu par : jacqueline LEQUEUX Directeur de mémoire : Professeur Philippe TIZON chargé de cours de sociologie à l’UPPA Référent professionnel : Docteur Jean-Pierre MAUPOME, faculté de médecine de Bordeaux, diplômé de gérontologie clinique LA STIGMATISATION DE LA DEMENCE De la pertinence de la création d’unités « Alzheimer » Un extrait du livre de Jean Maisondieu «  le crépuscule de la raison » : « Comme il est impossible d’essayer de décoder les

professionnels, pour chacune des huit compétences requises : accompagner une personne dans les actes essentiels de la vie quotidienne en tenant compte de ses besoins et de son degré d’autonomie, apprécier l’état clinique d’une personne ; réaliser des soins adaptés à l’état clinique de la personne, utiliser les techniques préventives de manutention et les règles de sécurité pour l’installation et la mobilisation des personnes, établir une communication adaptée à la personne et à son entourage

de soins Réseau de santé Source : élaboration personnelle 7 Introduction générale D. Le positionnement épistémologique et les choix méthodologiques La posture épistémologique ne se trouve pas dans l’objet de recherche mais dans la démarche de recherche entreprise par le chercheur pour tenter de répondre aux questions qu’ils se posent (Charreire et Huault, 2002). Partant de là, annoncer que les réseaux de santé sont des construits sociaux ne suffit pas à justifier un positionnement