Raison

d'adapter le monde à lui-même. Tout progrès dépend donc de l'homme déraisonnable. » George Bernard Shaw Depuis toujours l'homme, l'animal, tout être vivants dû s'adapter au milieu où il vivait. Ce qui permet de dire que l'homme est raisonnable. La raison est une faculté de l'esprit humain dont la mise en œuvre nous permet de fixer des critères de vérité et d'erreur, de discerner le bien et le mal et de mettre en œuvre des moyens en vue d'une fin donnée. Dans notre monde actuelle, dans notre siècle

que je suis en train de penser, et si je pense, c'est que j'existe (p54) -la pensée représente donc la première évidence. Je pense, donc je suis. -je ne suis, précisément, qu'une chose qui pense c'est-a-dire un esprit, un entendement ou une raison. -c'est l'entendement qui caractérise l'home: faculté de concevoir et de penser le monde réel a l'aide d'idées. -conception spiritualiste: l'esprit est entité distincte et supérieure (vs matière) -introduit la distinction entre âme et le

Philia (aimer) + Sophia (sagesse) } ami de la sagesse Sagesse? 1. Dimension MORALE = viser le bien, être vertueux = être RAISONNABLE 2. Dimension épistémologique = être savant, rechercher la vérité = être rationnel = Être sage : savoir utiliser sa RAISON.  Quelles sont les relation entre la philosophie, la religion et la science ?  La religion = son objectif est de répondre à des questions existentielles en proposant ou en imposant des dogmes, c'est à dire des vérités qui ont fait l'objet d'une

l’autre fausse. L’une est une vérité même si elle n’a pas été prouvée. Seulement personne ne sait qu’elle affirmation est la vraie car des deux côtés les personnes sont persuader qu’elles ont raison. Il y a donc bien des vérités sans preuve. Platon dans La république dit que la vérité est l’addition de la raison, des principes et des idées. Pour lui la vérité ne se prouve pas, il suffit de se libéré des illusions et des opinions pour atteindre le savoir et la vérité. Il nous le montre avec l’exemple

d’une loi divine et par là-même la nécessité pour nous, créatures, d’y obéir. Mais la liberté de Dieu est-elle liberté absolue ou nécessitée en sa manifestation ? Comment une liberté qui s’exprimerait par une loi ne serait-elle pas loi elle-même ? Raison pour laquelle Leibniz rejetait la thèse de la création des vérités éternelles, thèse qui semblait introduire de l’arbitraire dans la création divine. Mais un problème se pose en ce que, par le fait du recours à la loi divine pour expliquer la liberté

sage Croit toujours seul avoir la sagesse en partage, Et qu'il n'est point de fou, qui, par belles raisons, Ne loge son voisin aux Petites-Maisons ? Un pédant enivré de sa vaine science, Tout hérissé de grec, tout bouffi d'arrogance, Et qui, de mille auteurs retenus mot pour mot, Dans sa tête entassés, n'a souvent fait qu'un sot, Croit qu'un livre fait tout, et que, sans Aristote, La raison ne voit goutte, et le bon sens radote. D'autre part un galant, de qui tout le métier Est de courir

fournis" ou que " la note dependera egalement de la clarté des copies", lorsque l'on depend d'une chose, c'est de dire que l'on ne peut être realisé sans l'action, l'intervention de celle-ci. Quand a l'homme, il est definie comme etant un être doué de raison, on parle alors d'homme politique ( notion mise en avant par Aristote) ou "d'homme sage". Par ailleurs, le langage apparait comme etant l'ensemble des elements composables permettant l'expression orale. En d'autres termes, dans quelle mesure l'être

telle, que le caprice des hommes s’est si bien diversifié, qu’il n’y en a point. Le larcin, l’inceste, le meurtre des enfants et des pères, tout a eu sa place entre les actions vertueuses. […] Il y a sans doute des lois naturelles ; mais cette belle raison corrompue a tout corrompu. La propriété est l’origine de l’injustice : 295. Mien, tien. – « Ce chien est à moi, disaient ces pauvres enfants ; c’est là ma place au soleil. » Voilà le commencement et l’image de l’usurpation de toute la terre.

Est-il légitime de penser que l’histoire se répète ? La question est en réalité : est il « légitime », c'est-à-dire juste , voire moral, de penser que l’histoire se répète ? On examinera donc avec soin la raison pour laquelle se serait illégitime. Penser que l’histoire se répète, c’est penser que les événements historiques se répètent ou ont la même signification : on peut par exemple apparenter l’ambition de Milosévic en 1989, de reprendre et réaliser le projet d’une grande Serbie 0 celle d’Hitler

c’est conférer au « je » une dimension d’universalité propre à la raison humaine, qui pose désormais le sujet comme principe sur lequel l’ensemble de la connaissance, de la morale et du droit va pouvoir se fonder. Je peux douter de tout, de mon éducation, de mes croyances, du réel ; Toutefois, rien ne pourra m’enlever le fait que « Chaque fois que je pense ; Cela manifeste que je suis. » Dit autrement, être sujet, c’est rendre raison des choses et de soi-même ; mais vraiment, en faisant l’épreuve de