Raison Libre Spinoza

question de produire une "œuvre" qui ne se confond pas avec celui qui l'a produite. La pratique est une action dont le résultat est intérieur : il s'agit de transformer "l'agent" ou l'acteur lui-même. On peut distinguer (depuis Kant et donc après Spinoza) à l'intérieur de la pratique 3 espèces différentes : la pragmatique, la morale, l'éthique. La pragmatique concerne les actes pratiques visant une transformation de soi qui ne vaut pas par elle-même : par exemple, dans l'instruction, celui qui apprend

ostraciser la crème de la " création ". Assurément cela l'humilie. Mais ce n'est pas encore comprendre qu'il n'échappe pas à la règle commune des choses singulières dans lesquelles s'exprime universellement la puissance de la nature. Sur ce point Spinoza reprend volontiers le vocabulaire de la scolastique, faisant de l'être, ou substance, ou Dieu la natura naturans et des choses " créées " la natura naturata. Même si Saint Thomas d'Aquin range évidemment l'homme parmi les " créatures ", il déclare

Philosophie : Dissertation « La liberté, c'est la possibilité de s'isoler. Tu es libre si tu peux t'éloigner des hommes sans que t'oblige à les rechercher le besoin d'argent, ou l'instinct grégaire, l'amour, la gloire ou la curiosité, toutes choses qui ne peuvent trouver d'aliment dans la solitude et le silence. » Fernando Pessoa Depuis la Grèce Antique déjà, à travers la notion du bonheur, les philosophes recherchaient la liberté. De nos jours aussi, on en parle de plus en plus. Plusieurs

près intégralement. Elève de Socrate, dont il défendra la mémoire, il est aussi la première figure du philosophe engagé dans son siècle sur le plan politique. On sait que Socrate se défiait de l'écriture au profit d'un enseignement oral. C'est la raison pour laquelle Platon écrivit essentiellement des dialogues, cette forme d'écrit si proche de la parole. Mais c'est dire aussi qu'on ne peut connaître dans la solitude mais seulement par le débat. Dans un texte célèbre, l'allégorie de la caverne,

texte retransmettre une de leur principale idée que l'on peut résumer ainsi : il faut penser (ou raisonner) par soi même si l’on veut être libre. La liberté est définie par le fait de n’être soumis à aucune contrainte qui viendrait entraver notre volonté. C’est l’acte d’un sujet libre doué de raison, qui est capable de faire des choix, personnels, de se justifier rationnellement et de décider. Raisonner c’est : observer et agir selon sa réflexion, se forger sa propre opinion et donc s’affranchir de

son libre-arbitre, une volonté dénuée de toute contrainte constituant une faculté innée pour chacun de nous. Dans son texte, l’auteur va au-delà de la critique du traditionnel dogme de la volonté cher à de nombreux philosophes depuis l’Antiquité. On retrouve la remise en cause de l’idée même de liberté, l’illusion d’être maître de ses choix et l’impossibilité d’échapper à sa finitude mais la fatalité chère à Nietzsche est ici doublée d’un certain cynisme selon lequel la notion même de libre-arbitre

contraintes (le fait de ne pas être tout seul, et la loi). Si bien que l’on ne peut pas faire ce que l’on veut. Le problème essentiel est de savoir si l’on peut concilier la liberté et certaines déterminations. I_ Etre libre, est-ce faire ce qu’il nous plaît ? 1) L’animal est-il libre ? Les animaux quand ils vivent dans leur milieu naturel peuvent nous donner l’impression qu’ils sont libres, qu’ils n’ont aucune contrainte. Il est vrai qu’il dispose de la liberté de mouvement. Mais même dans leur

première «toujours» veut dire que se ne sera pas jamais ni parfois se sera tout le temps, sans exception. A se « toujours » se rajoute le deuxième terme « avoir le choix », le choix est de ne pas nous obligé mais aussi le choix nous contraint à être libre. Cette question veut aussi dire si un choix est toujours possible ? Un choix est toujours possible car nous décidons de notre vie. Mais il faudra subir les conséquences non prévues mais aussi, nos choix nous sont souvent imposés ou conditionné par

veut ? i.e. penser n’importe quoi ? Confusion fréquente : « libre de nos opinions » ( la liberté d’opinion ( la liberté d’expression. On peut peut-être assimiler liberté d’opinion et liberté d’expression mais à condition que l’opinion désigne l’opinion publique ! Or dans le sujet proposé, il s’agit de « nos » opinions et non pas de l’opinion publique. 1ère Remarque : De plus, la question de savoir si l’opinion publique est libre c’est-à-dire si elle jouit de la liberté d’expression donne lieu

Etre libre est-ce ne renconter aucun obstacle ? Notion : La liberté • Date de publication : 01/07/2006 • 909 vues Note du corrigé : Currently 5.00/5 Nombre de mots : 1679 Version imprimable Dissertation que j'ai composée et où j'ai eu 18/20. La distinction fondamentale, essentielle entre l'animal et l'être humain, entre la chose et la personne, ou bien encore entre l'objet et le sujet procède du fait que l'homme est doté par nature de la raison. Selon Descartes, c'est