Raison Croyance Spinoza

pousse l’homme à prendre ses idées fausses pour des idées vraies, c’est alors une véritable puissante inhérente à la volonté de l’homme car elle peut outrepasser sa raison. La raison étant ce qui permet à l’Homme de penser connaitre et juger justement, il peut donc est donc très grave d’imaginer sans s’en rendre compte. Puis, pour Spinoza, l’imagination passive conduit l’Homme a avoir des représentations imaginaires, c’est-à-dire des idées inadéquates, une connaissance tronquée et donc une vision erronée

et particulièrement en France, au XVIIIe siècle auquel il a donné, par extension, son nom de siècle des Lumières. Les penseurs, scientifiques et écrivains ont imprimé sur cette époque leur esprit critique, se donnant pour tâche d'éclairer par la "Raison" une humanité plongée aussi bien dans les "ténèbres" de l'ignorance, que dans l’"arbitraire" politique, aveuglée par l’"obscurantisme", la "superstition" et le "fanatisme" religieux autant que par les "préjugés" moraux. Les membres de ce mouvement

la maîtrise technique (grâce à laquelle, reconnaît Descartes dans le Discours de la méthode, nous pouvons « nous rendre comme maîtres et possesseurs de la nature »). D'après Descartes le corps est ainsi une machine actionnée par l'âme, siège de la raison,de la connaissance et de l'expérience du monde. Mais peut-on connaître l’union de l’esprit et de la matière aussi bien que l’on connaît chacun d’eux ? Nous faisons certes l’expérience de l’union intime de l’âme et du corps : le corps agit sur l’âme

non-identité n'est-elle pas la négation de l'idée de sujet ? Le sujet peut-il exister dans le temps ? la conscience de soi : cette conscience veut-elle dire que nous nous connaissons en tant que sujet ? L'idée de sujet n'est-elle que l'objet d'une croyance ? Cette conscience fait la synthèse entre le sujet en tant que propre (ou moi-même en personne, le fait que j'existe) et sujet de la connaissance (sujet qui connaît, qui se représente et ce que je suis). Le sujet, chez Descartes par exemple,

Dissertation « Ce qui est hors des gonds de la coutume, on le croit hors des gonds de la raison » Montaigne D ans un monde où la norme est la règle, qui prévaut, de plus en plus, un modèle d’assimilation et de conformisme, peu de place est laissée aux idées nouvelles qui peinent tant bien que mal à émerger de cette océan unique, engloutissant, d’un bleu uniforme, animé par des vagues régulières. Ces pensées émergentes

commencement de la sagesse."Elle est source de croyances qui entraînent des conséquences bonnes ou mauvaises et aussi source de cruauté. Et selon Russell, la sagesse débute dès qu'on surmonte cette peur, en affirmant ainsi sa pensée. Il faut savoir que Russell pratiquait l'athéisme, les athées qualifient fréquemment la religion de superstition. Les superstitions au niveau religieux ont finies par se matérialiser, les doctrines religieuses fournissent aux croyances et aux pratiques superstitieuses une idéologie

consciemment) d’être attentif à telle chose ; la conscience est attention et donc choix : cf. Bergson. D’où son lien avec la vie affective consciente ou non : désir, vouloir, intérêt, pulsions. - La forme de la conscience qu’est l’activité de la raison, la pensée logique, est étroitement liée au langage. - Cette relation de la conscience, donc du sujet humain aux autres et aux choses n’est pas seulement de l’ordre de la connaissance théorique ; elle a une dimension pratique : le travail,

près intégralement. Elève de Socrate, dont il défendra la mémoire, il est aussi la première figure du philosophe engagé dans son siècle sur le plan politique. On sait que Socrate se défiait de l'écriture au profit d'un enseignement oral. C'est la raison pour laquelle Platon écrivit essentiellement des dialogues, cette forme d'écrit si proche de la parole. Mais c'est dire aussi qu'on ne peut connaître dans la solitude mais seulement par le débat. Dans un texte célèbre, l'allégorie de la caverne,

qu’imprévisibles. Pour les philosophies idéalistes (Kant, Hegel, Comte), il existe une rationalité profonde qui gouverne le monde et qui en constitue la trame cachée. Pour Hegel, en particulier, les passions des hommes ne sont que les « matériaux » que la raison utilise pour parvenir à son but. Pour les matérialistes (Marx et Engels) l’histoire repose sur une base matérielle (l’infra-structure économique) qui la détermine en premier lieu. Les approches hégelienne et marxiste sont « dialectiques », ce qui

c’est pourquoi l’idée d’un acte absolument gratuit qui serait comme la caution de la toute puissance de ma volonté, ou celle d’une liberté d’indifférence, qui me placerait sur un plan euclidien idéal, sur une ligne de partage invisible sans aucune raison ni aucune cause exogène qui m’inclinât à aller d’un côté plutôt que de l’autre et laisserait le choix à un délibéré absolument libre, semblent des fictions grammaticales ou métaphysiques auxquelles nulle expérience ne saurait correspondre. Mes