Raison Croyance Spinoza

elle est ce qu’on nomme une substance. C’est pourquoi selon Aristote l’âme est une substance individuelle qui fait se mouvoir notre corps, et qui fait exister les êtres vivants que nous sommes. Tout être vivant a une âme, mais l’homme est doué de raison : il doit délibérer pour agir. La thèse d’Aristote semble donc défendre l’idée que nous sommes fondamentalement libres, puisque nous devons délibérer, décider par nous-mêmes. Seulement par ailleurs selon Aristote nous sommes soumis à un ordre

1) Rapport science – philosophie • science s’intéresse aux « phénomènes » (la philosophie aux « noumènes ») • science démontre (philo questionne) : activité probatoire de la raison ( pas de connaissance possible du noumène – croyance/savoir, pensée/connaissance chez Kant ) • science s’applique dans les techniques ( > Henri Bergson, « temps »/« durée » ) – (philo dans la politique) 2) Sens et réalité de l’expression « servir

définir la métaphysique car historiquement ce terme a pu recouvrir des problèmes et questions très variés. Par métaphysique on entend l'étude des questions fondamentales telle la question concernant l'immortalité de l'âme, l'existence de Dieu, les raisons de l'existence du Mal ou le sens de la vie. Mais plus spécifiquement par métaphysique on entend aussi l'étude de l'« être en tant qu'être » (cette discipline est l'ontologie) pour reprendre la célèbre formule d'Aristote c'est-à-dire de l'étude

volonté absolue lui permettant d’agir comme bon lui semble indépendamment des contraintes extérieures. - la conception déterministe(Spinoza) : l’idée de libre arbitre est une illusion. L’homme comme les autres êtres de la nature est soumis à la nécessité : il n’est pas libre. En effet l’homme ne doit pas seulement être compris comme un être de raison, il a aussi un corps qui fait de lui un vivant contraint à satisfaire à un certain nombre de nécessités : subvenir à ses besoins par le travail

>> Freud, Introduction à la psychanalyse. Ce n'est pas moi qui pense, « ça >> pense en moi. « Avant que d'être hommes, nous avons été enfants >> ect... Je ne suis que l'écho de ce qui se pense autour de moi : je crois raisonner ; je ne fais que raisonner. De ce que nous n'avons pas sur nos pensées, sur celles du moins qui nous viennent sans qu'on les ait prévues, de contrôle possible, faut-il affirmer que nous ne pensons pas mais que nous sommes pensés ? Ce serait faire de l'économie

fixons. La technique ne pense pas par elle-même, elle ne pose pas de buts, elle est (trouvez un qualificatif ) ……………. TRANSITION : Mais ne pouvons-nous remettre en question l’idée que la technique est subordonnée à notre volonté ? N’y a t-il pas des raisons de croire que nous avons perdu le contrôle au point que le défi est désormais moins de libérer les hommes de la nature par la technique, que de libérer la nature de la technique des hommes ? Le danger de la perte de contrôle de la technique

vivent avec leur famille et n’ont pas besoin des autres pour survivre. Une suite de catastrophes va les amener à entre en société (lier des relations nécessaires avec autrui), ce qui provoque le développement de la propriété privée -> inégalités + raison morale (connaissance du bien et du mal). En conséquence, il y a bien l’idée d’une nature humaine dans le sens où une certaine idée, définition de l’homme, est antérieure à toute culture. Le problème : Rousseau pense bien un état de nature mais celui-ci

Cinq leçons sur la psychanalyse, La Métapsychologie Emmanuel Kant Pensée Le « je pense » n’est pas une substance mais une fonction transcendantale qui permet de réunir en un ensemble cohérent l’ensemble de nos représentations. Œuvres Critique de la Raison pure La perception Aperception La différence entre perception et aperception rejoint celle qui sépare « percevoir » et « apercevoir ». La perception n’est pas nécessairement accompagnée

apprendre à aimer les autres en tant qu’ils sont source d’altérité créatrice. Pour Spinoza, la charité qui est produite par les religions doit permettre à des gens de vivre harmonieusement avec des gens qui ont d’autres religions. Il défend le fait d’admettre la pluralité des religions parce qu’il y a une pluralité d’imagination, cette pluralité peut être harmonieuse si l’imagination est au service de la charité. Spinoza n’envisage pas d’ailleurs qu’il n’y ait qu’un seul système rationnel qui soit vrai

Exigences de la société et de la religion sont complémentaires Par son étymologie, le terme de religion suggère immédiatement ce qui peut le rapprocher du lien social : la religion est " ce qui relie ", le " lien " unissant des hommes dans une même croyance. Dans la mesure où toute société suppose l'existence de relations suivies entre ses membres, il apparaît que les exigences de la société et de la religion peuvent se renforcer l'une l'autre. Ainsi, dans les sociétés dites traditionnelles, une religion