Rage

comparaison = colère / rage, enthousiaste / fanatisme On nous donne des raisons d'en parler, on illustre avec des exemples (bibliques aussi) pour appuyer sa thèse et convaincre l'audit. Le fanatisme est présenté comme une maladie dangereuse A partir de cette définition : superstition // fanatisme : excessif, violent // plus précis, grave. On défini par l'excès (extrémiste) le fanatique est un extrémiste qui part d'une croyance non-vérifier (superstition), qui se base sur la rage (fini par le meurtre)

et dépitéLors du quiproquo du bal, quand il comprend que la princesse aime de Guise, qu'il a un « rival aimé », il est « accablé comme d'un coup de tonnerre ». Il ressent de la « rage » et de la « jalousie » pour le duc de Guise. B. Un homme dangereux L'accumulation de ses sentiments : « La jalousie, le dépit et la rage se joignant à la haine qu'il avait déjà pour lui firent dans son âme tout ce qu'on peut imaginer de plus violent » s’accumule et montre la violence de ses sentiments.Il aimerait tuer

»). Cependant, la vision particulière du texte est accrue par l’horreur de l’extrait. On peut voir cette horreur dans le champ lexical de la destruction (« détruire, trépas, apocalyptique ») mais aussi par le champ lexical de l’horreur (« enragé, rage, infernal, panique, frousse »). De plus, Bardamu accentue cette vision apocalyptique par l’utilisation d’oxymores : « imbécilité infernal », « fou héroïque ». Cette conception horrible est transcrite dans la deshumanisation du paysage et des « acteurs

Contentement = Plaisir  Enjouement = Entrain   Liesse = Allégresse  Béatitude = extase  Joies = Satisfaction    4) Classer :       Sentiment faible  Sentiment fort  La colère  irritions, contrarié,  agacement,  exaspération,  mécontentement   rage,hargne,fureur  La haine  Ressentiment, inimité,  antipathie  Détestation, hostilité,  exécration  Le chagrin  peine, tristesse,  affliction   Souffrance Déception  La surprise  ébahissement,  stupéfaction,  étonnement,ahurissem consternation

finit par se replier devant l'incapacité d'avancée et la boucherie que cela entraine. Le général Mireau, qui avait fait de cette mission un devoir personnel, devint fou de rage à la vision et la tournure des évenemments. En s'apercevant qu'une partie des hommes n'avaient même pas quitté la tranchée, il décida de rage, de leur faire tirer dessus pour qu'ils quittent leur position et partent attaquer l'ennemi. Mais son ordre qu'il transmit oralement, fut refusé par l'officier responsable de l'artillerie

il en fut tellement exaspéré que, dans sa rage, il le tua avec son épée » ; « Ainsi s'en alla notre pauvre colérique » Déchu socialement, Picrochole est colérique et égocentrique. Le Roi de Lerné, suite à l'incident des fouaces, il déclare la guerre à son voisin Grandgousier. Ses plans prévoient d'envahir la terre entière. Il refuse les envoyés de Grandgousier qui veut négocier la paix. C’est un personnage montré sans remords, furieux et emporté par la rage. On découvre un roi perdu et mal entouré

souffrance, conscience de sa différence, même s’il ne peut ni l’expliquer ni le changer, et en souffre énormément. Le malade peut donner l’impression qu’il ne ressent pas toute l’étendue des émotions, alors qu’en réalité il les ressent trop. Ainsi rage, colère, larmes sont fréquentes avec des passages brutaux d’un état à un autre. La maladie est construite dans l’enfance, la construction de la personnalité de l’enfant ayant, elle, été entravée par, par exemple, des troubles de l’attachement (notamment

poème d’Alphonse de Lamartine s’intitulant Contre la peine de mort. Lamartine y décrit l’avancée d’un condamné à l’échafaud sous les cris de la foule. Il compare d’ailleurs celle-ci à un élément que rien ne pourrait arrêter, une foule aveuglée par la rage et la colère. Dans le deuxième texte, Victor Hugo s’adresse à la république de Genève pour abolir la peine de mort. Il y déclare que ce système n’est que l’instrument de la vengeance, de l’injustice. La peine de mort n’enseigne pas, elle n’avertit

un peu trop ambiguë, David la repoussa brusquement et lui ordonna d’aller se coucher. Katy était folle de rage, son plan avait échoué ! Maman arriva à la maison terrifiée par les paroles du docteur à propos de sa fille. Elle scruta toute la maison mais ne vit personne à part Katy : son mari avait disparu. Elle prit de suite sa fille pour l’unique cause de sa disparition. Ma mère folle de rage, courut après Katy, elles sortirent et une course folle commença. Soudain, elles glissèrent sur la mare glacée

le comte de Chabannes est influencé par une passion violente (champ lexical de la violence : «violence »l.2, « violente agitation »l.10, « mort »l.23), cette passion violente le conduit à la jalousie « le comte s’abandonnait à un désespoir et à une rage qui le poussa mille fois à donner de son épée au travers du corps de son rival »l.63; 64; 65 la jalousie est renforcée par l’hyperbole « mille fois ». Mais néanmoins la fidélité du comte de Chabannes en vers la princesse prend le pas sur la passion