Radicalité

ses connaissances. Le doute, de Descartes est radical, donc même le fait qu’il existe, et même le fait qu’il soit là entrain de penser à ce qu’il croit être entrain de penser, doit être mis en doute, si on suit bien la logique de Descartes, et sa radicalité. Ainsi le doute de Descartes va se radicaliser à travers sa remise en question, ses limites. Il émet l’hypothèse de l’existence d’un Dieu, d’une puissance supérieure, « n’a t’il point quelque Dieu ». Si Descartes n’existe pas il

avec le lecteur, placé sur un pied d'égalité avec lui (l.18,34,47,59,63) ►son langage devient presque familier (l.18 je parie) ►il donne à son discours une forme presque improvisée (l.26 etc , l.62 voilà à peu près les effets ) II) mais d'une radicalité impitoyable 1) la faiblesse de la raison ►l.7-19 dévalorisation de la raison avec gradation inverse : hyperbole l.7, solidité de la raison a besoin d'être renforcée l.11, perte de la gravité du magistrat et réduction de la raison à une posture

et l’opinion publique. I/ Acte d’authentification de la souffrance et responsabilisation des autorités. Dans cette première partie, nous verrons que la grève de la faim répond d’abord à une logique d’authentification de la souffrance par la radicalité de la grève, mais également à une responsabilisation du pouvoir. A. « Une puissance authentificatrice » Le gréviste de la faim authentifie sa souffrance en s’en déchargeant totalement. Il est prêt tout, y compris à mourir, pour voir reconnaître

allemands connaissent, comme partout en Europe, une baisse de leurs effectifs. • Nouveaux partenariats La politique de la négociation marque toujours majoritairement l'action syndicale. • Nouvelles radicalités L'émergence du mouvement die Linke a encouragé certains syndicats à un retour à la radicalité, à la grève et à des prises de position hostiles à la mondialisation libérale. Ainsi, évolution socialisme, communisme et syndicalisme en Allemagne est un bon révélateur de l'évolution d'une idée

elles y trouvent un terreau favorable à leur développement. 3) Radicalisation et fondamentalisme Film. 1. Radicalité : La pensée extrême, Gérald Bronner, 2009 La pensée extrême : elle manifeste l’aptitude de certains individus à sacrifier ce qu’ils ont de plus précieux (vie, profession, liberté…) et dans de nombreux cas celles des autres au nom d’une idée. Il définit la radicalité = comme une certaine croyance et au rapport qu’entretien l’individu avec cette croyance : une pensée extrême c’est

conserver la primauté des sentiments de la nature ». Cet homme ne sera jamais « ni homme ni citoyen ; il ne sera bon ni pour lui ni pour les autres […] ce ne sera rien ».Nous voyons bien que chez Rousseau, la radicalité est primordiale ; c’est elle qui permet au moi d’être signifiant. Et cette radicalité ne peut se trouver qu’aux deux extrémités antinomiques du moi : le moi civil et le moi naturel. Tout ce qui se trouve entre les deux ne vaut rien. Pour finir, nous pouvons soulever l’impossibilité pratique

et la méthode elle-même sont issues du projet, de son idée même. En ce sens Descartes représente, par sa tentative de penser, dans les Méditations, non pas un devancier ou un modèle à imiter, mais bien un sujet qui a compris cette nécessité de la radicalité, pour chacun, de refaire en lui-même, tout le chemin de la science. 2ème tâche : Quelle division adopter pour faciliter l’explication ? Diviser en 3 (Hatier : l. 1 à 7, 8 à 12, 13 à fin) Diviser en 2 (1 à 10 et 10 à fin). Avantage : faire

religions révélées – abrahamiques – sont sans cesse menacées par la radicalité – l'Inquisition et la justification de la torture par le pape Innocent IV, les guerres de religions, etc. - et par l'intégrisme, qui est toujours lié à une lecture littéraliste (et non littérale) des textes et à leur instrumentalisation à des fins politiques et sociales. Avec, sans cesse, cette volonté de contrôler les corps, la sexualité, la famille. Radicalité et intégrisme ne seraient-ils pas les deux dangers majeurs qui

c’est admettre la proximité du mal et reconnaître qu’il constitue un problème incontournable, qui concerne tous les hommes sans exception. Il ne suffit donc pas de reconnaître le caractère aporétique de la pensée du mal, il faut aussi en mesurer la radicalité. Le mal nous montre que le monde estincontestablement mauvais. Les c imes commis pendant la seconde guerre mondiale nous conduise a prendre en compte d'une nouvelle forme de mal vis a vis desquelles les concepts forgés par la théologie ou la philosophie

pourrait mener au chaos si cela n’est pas contrôler. Le mal est injustifiable, même s’il débouche sur un bien supérieur, il n’aurait dû ne pas être. Ceci est la pensée de beaucoup de philosophes, comme par exemple, Ricoeur qui a des réflexions sur la radicalité du mal, ses causes possibles et son énigme. Il se pose des questions sur l’intolérabilité du mal et lutte contre la violence. La violence est quelque chose d’extrême et on pourrait trouver des solutions avant d’en arriver à son utilisation. De plus