Qui Sait Le Horla

qu'il y ait de marques du discours direct. De plus, le narrateur adopte le point de vue omniscient et se permet des interventions dans son récit, qui amplifieront la complicité qu’il tente d’établir entre le lecteur et lui-même. En effet, le lecteur en sait plus que les personnages, il a une vision d’ensemble tel que dans Le Père Goriot grâce à la description exhaustive des personnages, de leur caractère, leur vécu, leur sentiments… Et Flaubert met en œuvre toute une série de procédés stylistiques dans

l’armée en 1870 au cours de la guerre franco-allemande, les Contes de la bécasse (1883) et Le Horla (1887). La nuit est un texte de Maupassant publié dans le célèbre quotidien Gil Blas le 14 juin 1887, puis publié dans le recueil Clair de lune (Édition Ollendorf, 1888). Le thème majeur de l’œuvre est la folie, la paranoïa, thème que l’on retrouve également dans plusieurs autres textes comme Le Horla (1887), Lui ? (1883), La chevelure (1884), Mademoiselle Hermet (1887), etc. Maupassant connaît

contes et de nouvelles naturalistes, ses thèmes de prédilection étant la vie des paysans normands, des petits-bourgeois, narrant des aventures amoureuses ou les hallucinations de la folie : la Maison Tellier (1881), les Contes de la bécasse (1883), Le Horla (1887, où l'on peut voir l'expression des premiers signes de sa maladie). On retrouve également chez Maupassant cette peur de la mort, et du surnaturel (qui sont en partie responsables de sa folie), dans plusieurs de ses nouvelles Fort comme la mort

thème de la folie et renvoie le lecteur au Horla qui constitue un autre exemple de ce même thème : « Cette présence de l’inconnu, animant les objets familiers, annonce les données les plus captivantes du Horla » (641 n1). Que les deux nouvelles aient une certaine ressemblance est évident – Forestier ne fait que documenter cette ressemblance en ajoutant un renvoi explicite. Il n’y a rien de systématique dans ses renvois cependant ; aucun commentaire du Horla ne renvoie réciproquement à La Petite Roque

faire quelques rapprochements avec Le Horla à propos du thème du double. Pierre et Jean et Le Horla Le Horla, récit fantastique écrit quelque temps avant Pierre et Jean, est l’histoire d’un être angoissé, tourmenté par son double. Tenter une comparaison entre Pierre et Jean et un conte fantastique peut sembler vide de sens, mais dans ces deux récits aussi différents le « double », un des thèmes majeurs de la littérature fantastique, y est omniprésent. Le Horla est une entité invisible qui se manifeste

propice à la folie. Ce dernier, Poprichtchine, vit en Russie, à St Petersbourg, pendant les années 1830, la période du capitalisme naissant. C’est un fonctionnaire de 29 ans, qui vit seul avec sa bonne, il n’a pas de femme ou d’enfants, et l’on ne sait rien de sa famille proche. Au bureau, il ne parle à personne, il semble s’être créé une bulle, et il ressort du personnage que la plupart du temps, il est plus en train de rêver que de travailler. Son quotidien se résume à tailler des plumes pour son

Jean n’en veut pas à sa mère car « il lui prit la main.» Les deux expressions « tu as vu ? » et « oui j’ai vu » sont un parallélisme grammatical et symbolique au thème du double. Le roman se finit mais des questions restent sans réponses. On ne sait pas comment va se terminer le couple de Jean et Mlle Rosémilly et ce que va devenir Pierre. L’excipit est un deuxième incipit grâce à sa fin ouverte, d’où le thème du double entre ces deux scènes. 2) Cette notion est très poussée lors de la

m’essort de certains mouvements, comme le naturalisme qui fait appel aux recherches scientifiques et aux découvertes de la médecine au 19°s. et s’en inspire pour des romans tels que Les Rougon Macquart, Le roman expérimental de Zola, ou encore le Horla de Guy de Maupassant. Le naturalisme et la médecine moderne. ➢ En effet, Le naturalisme se nourrit des changements politiques, sociaux et scientifiques (notamment médicale). Le naturalisme a pu prendre son élan grâce a Claude Bernard avec l’introduction

l'auteur de nombreux romans connus tel que une vie (1883), Bel ami (1885) mais aussi par ses nouvelles réalistes comme Boule de suif (1880), le contes de la Bécasse (1883) ou le Horla (1887) . La nouvelle : Le gueux parut le 9 mars 1884. Cette nouvelle porte sur Cloche, un infirme, nous ne connaissons pas son âge mais on sait qu'il mendie depuis plus de 40 ans de village en village. Enfant trouvé dans un fossé par un curé, la veille du jour des Morts, et baptisé pour cette raison Nicolas Toussaint

«Ça » Publié en 1986 « La Ligne vert » Publié en 1996 « Le Singe » Publié en 1980 -Guy de Maupassant : «Le Horla » Ecrit en  1887 « La main d’écorché » Publié en 1875 -Robert Louis Stevenson : «L’Etrange cas du docteur Jekyll et de Mr.Hyde » Publié en 1886 -Bram Stocker : «Dracula»