Qui Rêve Trop Oublie De Vivre

ordinaire à Jérusalem, un attentat moyen : un kamikaze dans un café, six morts, deux jours d’info à la télévision. Oui, depuis trois ans, l’horreur est devenue routine, et la Ville sainte va tout droit en enfer. Tal, elle, ne s’habitue pas. Elle aime trop sa ville et la vie. Elle veut mourir très, très vieille et très, très sage. Un jour, en plein cours de biologie, une ampoule s’allume au-dessus de sa tête, comme dans un dessin animé. Voilà des jours qu’elle écrit ce qu’elle a sur le cœur, ses souvenirs

pourquoi je ne pense qu'à toi, pourquoi j'écris tout ça, pourquoi, trop souvent, tu me manques? Dis moi pourquoi je ne supportes plus tout ça, pourquoi j'ai peur de tout perdre? Dis moi pourquoi je me souviens de tout comme si c'était hier? Pourquoi j'ai toujours cette envie de tout recommencer depuis le début pour tout pouvoir revivre & en profiter comme je le voudrais? Dis moi pourquoi je ressens tout ça? Pourquoi tu es encore trop présent? Pourquoi, pourquoi ... » « De tes rêves à mes rêves,

vide et triste…Et pourtant la vie continue, alors il faudra que je m'habitue a vivre sans toi je pense à toi, quand je regarde l'horizon,a l'heure où le soleil disparaît sous la brume, laissant à l'infini le rêve ou l'amertume… Et par-delà le temps, par-delà les saisons, au moment où le jour se glisse dans la nuit, où la terre s'endort, où la brise s'envole, tandis que chaque fleur referme sa corolle, mon cœur oublie le monde et te cherche sans bruit,absence l'année s'est écoulée, me laissant bien

A la pèche des cœurs A la pêche des cœurs, je ne veux plus aller Je ne veux plus, ma mère Y en a trop de douleur quand l'amour s'envoler Et laisser pauvre gars qui pleure Ma cocotte elle est partie Avec un vilain bonhomme Je suis seul toute la nuit Pas possible de faire un somme A la pêche des cœurs, je ne veux plus aller Je ne veux plus, ma mère Y en a fini de bonheur quand l'amour s'envoler Et laisser larmes amères Au bistro d'oncle Fernand C'est l'calypso qui commence Je vais

donc dire que la lecture est un moyen de liberté car elle permet de s’évader, de se divertir, permet d’acquérir de la culture, de la connaissance, et une certaine éducation donc en quelque sorte la liberté. On pourra y trouver un certain réconfort, oublier les problèmes, devenir un autre, être qui on veut. Elle procure aussi du plaisir, et une envie, un besoin comme l’indique Jean-Jacques Rousseau dans les confessions  « nous lisions tour à tour sans relâche », « j’acquis une intelligence unique à mon

monde redoute d'être sur sa route Trop mal pour le dire Trop mal pour écrire Trop mal pour aimer Trop mal pour parler Et ce mal nous ronge Et ce mal nous plonge On est submergé. Tenir sans craquer C'est un mal sournois Et on est la proie Cette putain de bestiole subie comme un viol Cette chose malfaisante Et on la connait Car sans aucun doute On est sur sa route Et on est ... Trop mal pour écrire Trop mal pour le dire Trop mal pour parler Trop mal pour chanter Ce mal est tordu

d'afficher ton putain de bonheur, tes rêves les plus fous qui se sont réalisés auprès de tout le monde. Je ne t'en veux pas, non mais je te reproche juste de ne pas chercher à creuser. J'aimerai que tu me dises que tu sais que c'est faux, que c'est trop facile comme réponse, que tu veux savoir ce qu'il y a. Que tu veux comprendre ce qu'il me passe par la tête quand j'en arrive à me demander pourquoi je suis sur terre, quand je cherche la réponse et que je ne trouve rien, le néant. Par moment, je perds

logement dans le quartier de Galata et est tombé sur de grandes demeures d’artisans ou de marchands, réhabilitées pour devenir des maisons a vivre de tous les jours. En somme, la vie de tous les jours vivant dans des espaces conçues pour d’autres histoires. Il se rend alors compte que l’architecte ignore tout de l’essence narrative D’un espace, trop de construction qui n’ont pas de sens, alors il préfère se tourner vers l’écriture. « Mieux vaut écrire, car les espaces ne sont pas immuables

XIXème siècle, Arthur Rimbaud inspiré par la guerre franco-prussienne de 1870, écrit « le dormeur du val » dans poésies. Louis Aragon écrit en 1944 « Paris », dans la diane française. Il crie la libération de son peuple, de sa ville tant aimé qu'il a trop vu vue souffrir. Ces poètes écrivent en réaction au monde dans lequel ils vivent, soit pour ce souvenir, soit afin d'exprimer leurs peine suite aux horreurs qu'il ont vécues. Lors de ces guerres, certains poètes réagissent et s'engagent politiquement

- Lorsque l'on perd quelqu'un de proche, c'est fou l'énergie et le temps qu'on met pour adopter la bonne attitude... Mais la meilleure manière de lui rendre hommage, c'est de continuer à vivre. - A quel moment il faut arrêter de rêver, et redescendre sur Terre ? - Je voulais que tu me prouves que tu tenais à moi Je voulais que tu me dises que j'était la seule qui te plaisait Et que tu préférerais passer le reste de ta vie tout seul Plutôt qu'avec