Quel Rôle Joue Selon Vous Les Traditions Dans Notre Société

forme dans le miroir est celle du corps, de notre corps, celui que nous découvrons. Le miroir joue un rôle essentiel pour l’homme, qui n’a cessé de vouloir y distinguer ses propres traits, comme en témoigne le mythe tragique de Narcisse. C’est surement de ce fait qu’Alberti fait de Narcisse l’inventeur de la peinture : « C’est pourquoi j’ai l’habitude de dire à mes amis que l’inventeur de la peinture, selon la formule des poètes, a du être ce Narcisse qui fut changé en fleur car, s’il est vrai que

Littérature comparée Cours du 25/09/14 Différence entre la Grèce antique, entre erastes (l'amant, actif) et eromenos (l'aimé, passif), ce qui montre la supériorité se l'homme dans la société. Dans le théâtre antique, valorisation de l'actif. A l'époque, on se méfie des corps. Rapports homosexuels. Le personnage de Pausanias dans le banquet de Platon représente 2 Aphrodite : vulgaire : Pandemos. Qui aime les corps. L'Aphrodite céleste, qui aime les âmes. (fille d'Ouranos, le ciel, qui a été châtré

l’Asie du Sud Est, ce pays rassemble modernité architecturale, avec de nombreuses différences ethniques et religieuses au sein de sa population. Ce pays est modernisé voire occidentalisé, mais derrière la richesse de l’architecture se cache une société plurielle, un melting-pot dont les origines asiatiques sont toujours bel et bien présentes, et constituent une richesse et une diversité que l’influence occidentale n’a pas entravé. Ce pays a été touché par les immigrations de diverses régions,

L’ARCHITECTURE de la POSTMODERNITÉ : DE LA FORME AU SYMBOLE « La postmodernité n’est pas un mouvement ni un courant artistique. C’est bien plus l’expression momentanée d’une crise de la modernité qui frappe la société occidentale, et en particulier les pays les plus industrialisés de la planète. (...) Elle tient aujourd’hui une place considérable dans le débat esthétique sur l’art contemporain »1. Les manifestations artistiques contemporaines seraient donc l’expression plastique de cette crise

commandement-obéissance. D’où il résulte d’emblée que les sociétés où ne s’observe pas cette relation essentielle sont| |des sociétés sans pouvoir… ». La définition donnée par les auteurs du dictionnaire d’action sociale[4] enrichit les deux précédentes : « Le pouvoir est à la fois  le fait de disposer de moyens | |naturels ou occasionnels qui produisent un effet sur quelqu’un ou quelque chose, et la conscience que l’on a de ce fait même ». Selon | |les mêmes auteurs, l’autorité quant à elle renvoie

d’actualité en 2015, comme le montre le livre de Thomas Legrand, publié en novembre 2014 : Arrêtons d'élire des Présidents. Cette oxymore s’équilibre entre deux traditions, deux héritages, que la Vème République semble combiner : un héritage monarchique, qui renvoie à la monopolisation de tous les pouvoirs aux mains d’un seul, et la tradition républicaine, à savoir l’exercice de ces pouvoirs dans le cadre d’institutions républicaines. "Certes, il est de l'essence même de la démocratie que les opinions

lignes un modèle d’idéologie africaine, le Bwami, dont le souci politique majeur est de mieux servir le peuple dont on a la charge, en assumant la gestion du Bien commun dans la justice. Cette justice a pour expression bonne la répartition des biens, selon le mérite, entre individus réunis en communauté. Ce qui conduit à la mise en place d’un Etat qui peut être dit de droit. Le Bwami semble être pour nous le modèle, en tant qu’il donne la capacité aux gouvernants d’établir l’équilibre et l’harmonie

au sujet du socialisme et du libéralisme. Il ne s’agit pas pour elle de former un système philosophique mais d’aborder un ensemble de problématiques variées comme celles de la révolution, du totalitarisme, de la culture, de la modernité et de la tradition, de la liberté, des facultés de la pensée et du jugement. Ces thèmes sont l’essence même de ses principales œuvres. Parmi elles, on retrouve Les origines du totalitarisme3, La crise de la culture4, la condition de l’homme moderne, Eichmann à Jérusalem

Le pouvoir politiques dans les sociétés sans Etat : l’étude de Pierre Clastres sur les sociétés primitives amérindiennes Le lieu d’expression du politique pose la question des « sociétés sans Etat » étudiées par Pierre Clastres[1], une étude critiquée par Jean-William Lapierre[2]. En effet, Clastres s’est intéressé aux sociétés traditionnelles amérindiennes (les Tupi-Guarani, les Guayaki). Etant l’un des premiers anthropologues à avoir étudié des sociétés dépourvues d’un centre politique

: « corriger les moeurs par le rire » ( cf Premier placet sur Tartuffe ) ; son ambition est donc à la fois de divertir le spectateur en peignant la société de son temps, mais aussi de l’éduquer en se posant en moraliste. Présentation du Malade imaginaire : - Dernière pièce de Molière, qui est au bord de la mort lorsqu’il l’écrit et joue le rôle d’Argan ( il entre en agonie le soir de la 4ème représentation et meurt dans la nuit, le 17 février 1673 ). - Cette pièce illustre son génie et sa maîtrise