Quatre vérités

Camus, Caligula I,8 Montherlant, La reine morte, I,6 Genet, Les bonnes, scène du jeu. Ce corpus est composé de quatre textes qui abordent tous la question du pouvoir et des relations humaines qui en découlent. Nous allons nous demander comment le pouvoir est théâtralisé dans ces extrait : quelle facette de ce pouvoir y est représentée et comment est-elle mise en scène ? Ces quatre textes présentent tous la figure du tyran : tous les personnages dotés de pouvoir y abusent de leur autorité, prenant

domaine des sciences déductives, quand nous exposons à quelqu’un quelque vérité à nos yeux certaine, nous supposons toujours que, mis devant l’évidence, l’autre ne pourra pas ne pas voir le lien que nous cherchons à produire. Tout l’art de la pédagogie, finalement consiste plus à ôter ce qui gênera la perception de l’évidence, mais en définitive, nous supposons que l’élève doit, au final, voir par lui-même et en lui la vérité de ce que nous voulons montrer. Mais d’où nous vient la certitude que

Utopie et Liberté (la vérité comme errance) Les différentes dimensions de la vérité (conformité, vérification, impartialité, authenticité) peuvent donner l’illusion qu’il suffirait de "rétablir le sens des mots" comme le voulait Confucius, rejoignant une idéologie scientiste et logiciste, où les problèmes bien posés et un langage bien employé permettrait un accord et une certitude supprimant tout conflit. Pourtant dans ce monde objectif (psychotique en fait) il n’y a plus de nécessité d’échange

déduit qu’elle ne détient pas de vérité solide car ses fondements ne sont pas fermes, et il ne s’intéresse qu’à la recherche de la vérité. Partie 2 Dans la seconde partie, Descartes nous explique que « le vrai » ne s’obtient pas grâce à plusieurs affirmations déjà tenues pour vraies. « Mais on voit bien que plusieurs font abattre

L’amour est s’en doute l’un des sentiments les plus rechercher cher l’être humain. Plusieurs personnes tente de trouver la vérité par rapport à l’amour. De mon point de vue peu y arriveront, car ce sujet est tellement vaste qu’on pourrait dire qu’il n’a pas de fin. Dans Le Banquet de Platon plusieurs discours sont transmis au lecteur sur le thème de l’amour. Chaque personnage dévoile leur point de vue sur l’amour. Ils essayent tous de démontrer que leur théorie est la meilleure. L’amour peut-il

grands-parents étaient mariés. Je n’ai jamais vu une aussi grande amour survivre entre deux personnes. Ils étaient un couple âgé comme nous n’avons plus l’habitude d’en voir aujourd’hui. Il y a plusieurs mois de cela mon grand-père qui a maintenant est âgé de quatre-vingt deux ans, me parlait que tout cela était très difficile pour lui car il devait accepter le fait que, plus jamais il allait tomber en amour et qu’il se devait se résigner à finir ces jours seul mais au plus profond de lui-même, il espérait énormément

satisfaction complète, idéal de l'imagination. Mais au sens large: recherche de la vie la meilleure possible, satisfaction des besoins pour obtenir du plaisir. La vérité: c'est une idée de la raison, une valeur, ce que l'on recherche: - dans les rapports sociaux par opposition au mensonge - dans le rapport à la nature, la recherche de la vérité par opposition à l'ignorance. Dans tous les cas, et donc les deux points de vue peuvent apparaître dans votre développement, c'est l'ajustement d'un discours

pensant, je m'applique à la contemplation d'une vérité quelconque, suis-je en train d'agir par liberté, ou bien sous l'effet d'une contrainte extérieure ? Il s'agit, en introduction, de montrer comment les deux réponses possibles peuvent convenir à la question posée. Dans le cas présent, le problème se pose de la façon suivante. *D'une part, toute vérité s'impose à moi indépendamment de ma volonté : je ne suis pas libre de décider que deux et deux font quatre ; je ne suis pas libre de décider qu'une proposition

autres". Il faut donc chercher la cause de la distinction entre les hommes ailleurs que dans leur raison, à savoir dans l'application qu'ils font de leur raison. Le Discours de la méthode (sous-titré Pour bien conduire sa raison, et chercher la vérité dans les sciences) est le premier texte philosophique publié par René Descartes, en 1637. Il marque une rupture avec la tradition scolastique, jugée trop « spéculative » par Descartes, et se présente plutôt comme un plaidoyer pour une nouvelle fondation

Bayle, De la tolérance. Dans ce texte, Bayle établit un lien entre la croyance et la vérité ainsi qu’une opposition entre eux. Il donne aussi une sorte de règle d’action que les croyants doivent suivre. Effectivement, Bayle pense qu’il faut obéir à sa conscience même si l’on doit tuer. Seulement, un problème persiste, faut-il chercher la vérité continuellement ? Et, nos croyances ne suffisent elles pas ? Dans cette première partie, Bayle oppose par plusieurs termes la croyance de la connaissance